Isobel Addams

Chapitre 29

ISOBEL

Avec Mercredi, on est dans notre chambre pour essayer d'appeler Goody Addams, mais elle ne nous a pas l'air décider à entrer en contact avec nous.

? : désolée de vous interrompre.

Je reconnais la voix de Enid et avec Mercredi on se relève avant de nous retourner vers Enid.

Enid : je peux savoir ce que vous faites ?

Mercredi : on essayait de contacter une parente.

Enid : rien de surprenant venant de vous. Vous avez une parente qui s'appelait Goody ?

Moi : elle faisait partie des premiers marginaux. On essaye de l'invoquer, mais elle semble ignorer notre requête.

Enid : oh, peut-être que mes bougies parfumées la feraient venir ? Celle à l'odeur de steak tartare est une tuerie.

On entend un bruit de feuille derrière nous et quand on se retourne on voit une feuille glisser sous la porte.

Enid : peut-être que Goody vous à entendue finalement.

Je me dirige vers la porte pour prendre le papier avant de le déplier et je vois quelque chose d'écrit avec des lettres découpées dans un magazine.

Moi : je doute qu'elle communique via des lettres de magazines découper.

Je lis ce qu'il y a marqué et je tends le papier à Mercredi qui le lit elle aussi avant qu'on ne se prépare pour y aller suivie par Enid. Alors qu'on arrive devant la crypte on entend Enid sortir ses griffes alors on se retourne vers elle.

Mercredi : c'est toi qui as insisté pour nous suivre.

Elle nous regarde.

Mercredi : on aurait pu venir seules.

On voit que la porte de la crypte est déjà ouverte alors avec Mercredi on se regarde.

Moi : on dirait que notre apprentie informateur est déjà là.

Enid : beurk. Qu'est-ce qui est mort là-dedans ?

Mercredi : ça me rappelle notre enfance. Suis-nous.

On attend pas de réponse de la part de Enid qu'avec Mercredi on rentre à l'intérieur. On entend plusieurs bruits et quand je me retourne, Enid n'est pas là.

Moi : Enid ?

Je rejoins ma sœur qui avait avancé et on entend quelqu'un tousser.

Mercredi : qui que vous soyez, montrez-vous. Un seul geste et vous perdrez un membre.

On les voit tous sortir de nulle part.

Eux : surprise !

Oh c'est pas vrai. Ils commencent à chanter ''Joyeux anniversaire'', et on voit Enid arriver avec un gâteau. Quand ils terminent de chanter Mercredi regarde immédiatement la Chose.

Mercredi : on aurait dû savoir que c'était toi.

Moi : que ne comprends tu pas dans la phrase : ''pas de fête sous peine de torture''.

Xavier : avouer que j'ai étais inspiré pour la décoration de votre gâteau.

Enid : le ballon rose, c'est ma petite touche perso. Allez-y faites un vœu.

Je continue de regarder le gâteau puis Xavier avant d'entendre Mercredi.

Mercredi : il y a une inscription en latin.

Je me retourne et ma sœur touche la pierre avant de se raidir et de tomber par terre.

Moi : Mercredi !

Je pars immédiatement la voir.

Davina : est-ce qu'elle va bien ?

Moi : oui, c'est rien.

Une fois que Mercredi revient à elle, elle me prend le bras avant de m'emmener en dehors de la crypte pour me raconter ce qu'elle a vu.

...

Mercredi et en train de dessiner, le portail qu'elle a vu dans sa vision quand la Chose vient sur son épaule.

Mercredi : méfie-toi, je pourrais en venir aux mains.

Enid : ne t'en prend pas à la Chose. Cette fête c'était mon idée. Dit-elle à ma sœur alors que la Chose descend de l'épaule de Mercredi.

Moi : il sait pertinemment qu'on aime pas fêter notre anniversaire.

Enid : j'ai des cadeaux pour vous.

On se retourne et Enid nous tend des cadeaux. Avec Mercredi on les prend avant de les ouvrir pour trouver quelque chose en laine..

Enid : alors ? Ça vous plaît ?

Moi : qu'est-ce donc au juste ?

Enid : c'est un snoode idiote. Je l'ai tricoté à vos couleurs. Et vous savez ce qu'il y a d'encore plus cool ?

On regarde Enid qui enfile une rose.

Enid : j'en ai un aussi ! On pourra les mettre toutes les trois en cours.

Mercredi : Enid, c'est trop...c'est trop pudique pour qu'on le porte en cours. Attendons une occasion plus exceptionnel...

Elle se met à sourire.

Mercredi : un enterrement par exemple.

Sauf qu'elle perd immédiatement son sourire, ce qui me fait rire.