Une brillante idée dans la tête,
Cherchant désespérément la plume,
Comme en état d'ivresse
Ne voulant qu'écrire,
Suffisant pour avoir un sentiment de fête
Ne la trouvant pas,
Perdue était-elle,
Devant écrire par ses propres moyens,
Elle fut tellement obstinée qu'elle commença
comme s'il n'y aurait de lendemain
De mes ongles,
De ma chair et de mon sang,
Je jure solennellement,
De faire de mon mieux,
Pour produire un écrit prodigieux
Elle écrit toute la nuit,
Le papier froissé,
Coloré du rouge vif qu'avait la teinte de son sang,
Si pétillant,
Pouvant vous brûler les yeux à chaque instant
Son travail comme elle l'avait dit,
Celui pour lequel elle avait sacrifié toute une nuit,
Le monde l'a vu d'un oeil nouveau,
Ils l'ont jugé trop excentrique,
Avec comme seule raison,
Que c'était trop "spécial",
Que c'était trop "original"
La personne s'étant énervée,
Elle n'a pourtant dit que la vérité,
"𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐚𝐯𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐬𝐢𝐦𝐩𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐭𝐬, 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐧'𝐚𝐜𝐜𝐞𝐩𝐭𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 ? 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐮𝐭𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐬𝐞𝐮𝐥 𝐚𝐫𝐠𝐮𝐦𝐞𝐧𝐭,𝐪𝐮𝐞 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐭𝐫𝐨𝐩 𝐝𝐢𝐟𝐟é𝐫𝐞𝐧𝐭 ?"
Ces gens qui jouaient les saints,
En furent profondéments choqués,
Pas parce que c'était faux,
Mais bien au contraire,
Car elle disait toute la vérité
Malheureusement,
Les plus hauts gradés avaient parlé,
Ils décidaient malgré tout,
De continuer sur leur lancée
Les gens ne comprenant,
Les profonds sentiments,
Que pouvaient éprouver seulement une simple poétesse
Ce mot était certe bien trop peu,
Mais les gens ne la connaissant pas,
Ne pouvaient prétendre autre chose que ce mot là
Une simple poétesse,
Ils ne se doutaient point,
Que ces écritures parlaient de tout et de rien,
Du plus pur des anges,au plus grandes pécheresses
Ils ne voulaient que croire aveuglément,
Aux avis de simples jeunes gens,
Qu'ils n'avaient même pas vus ne serait-ce qu'un instant
Ces gens qui ne savaient même pas,
On finalement condamnés ces écrits fabuleux,
Ne sachant qu'ils auraient pu leur apporter des jours heureux
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Mes poèmes
PoetryVous, Simple passant.e, Devenant presque récurrent.e Je vous ai vu sur ce seuil, Observant mon âme semblant en deuil Qu'en avez-vous pensé ? Je ne sais pas. Vous avez vu mes pensées, Parfois tristes, Souvent lassées Pourrez-vous ne serait-ce qu'une...