LE SOLEIL DU KURDISTAN

CHAPITRE I

«ax pişti te yar, bila dunya xirabe.... »

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Baba: Rojin rentre tu entend pas les bombe ?

Rojin: oui mais baba ..... si je ne joue pas aujourd'hui peut être que demain je ne pourrai pas.

Baba: tu n'a plus l'âge pour sa Rojin.....

Rojin: -tristement- je n'ai plus l'âge pour rien .....

Elle n'avais plus l'âge pour rien car ses terroriste lui ont volé son enfance.

Les bruit de balle se font entendre. Ce village qui a toujours était protégé par les combattants kurde vient d'être touché.

Les cries se font entendre dans les montagnes. Le père de Rojin sort rapidement armé.
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Moi: baba reviens vite.

Baba: rentre Rojin et ne sort que quand tu n'entendras plus aucun éclat.....prend soins de ton frère et de ta mère.

Moi:baba reviens je t'en supplie.....

Baba: je reviendrai mais si je tombe au combat bat toi à ton tour.

Il s'en va combattre Daesh.

Je rentre puis regarde ma mère qui n'avait plus aucune larmes.

Mère:nous ne pouvons pas laisser ton père tout seul. La moitié des combattants sont tombés.

Mon petit frère nous tend les armes que je prend. Ma mère met son ensemble militaire puis son Hijeb.

Je met mon jilbeb prend une mitraillette puis nous sortons. Ma mère embrasse nos front comme si c'était la dernière fois qu'elle nous voyais puis nous partons.

Elle part de son côté avec mon frère moi je m'en vais à la recherche de mon père.

J'arrive sur le front kurde puis vois une dizaine de combattants kurde parmis eux mon père.

Père:ROJIN QUE FAIT TU ? RENTRE !

Uruç:ALI CONCENTRE TOI.

Mitraillette à la main je me met à tirer sur chaque ombre que je voyais au loins.

Fatim:ILS SONT TROP NOMBREUX.

Bim une balle de sniper atterrit entre ses deux yeux.

Roja:c'est la fin....

Père:PARTEZ ! JE PROTÈGE VOS ARRIÈRE ALLEZ VOUS BATTRE DANS LA VILLE D'À CÔTÉ.

Roja:Nous ne pouvons pas fuir comme sa.

Père: Si nous mourrons tous personnes ne continueras se combat allé vous en et former d'autre soldat.

Uruç:je reste avec lui.