CHAPITRE XV

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Ne pleure pas petit oiseau de liberté

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J'avance encore le chemin me semblais long mais je me disais qu'une chose, ont ne peut pas me détruire plus.

Tout le monde a une faiblesse et la mienne était Majid.

Me voilà dans une salle étroite et mal entretenue.

Des flaque gluante imprégnés le sol.

Devant moi 5 soldats avec une caméra.

Soldat 1: Voilà Rojin Suzuk elle va être jugé et punis pour son crime contre l'état de Syrie.

Un homme rentre sans doute le juge. Il n'est pas comme ceux de France sa c'est sur.

Un avocat ? Ils ne connaissent pas.

Juge: j'ai lu le dossier et la justice a pris sa décision. Rojin Suzuk vous êtes condamné à la mort par pendaison pour crime contre l'état de Syrie commis au côté de votre père Ali Suzuk. Vous aurez le choix à un appel et une visite. Vous pourrez aussi choisir votre repas du jour. La Syrie est aussi un pays de droit vous voyez?

Je lâche un léger sourire moqueur. Droit ? Ont me condamne pour crime contre la Syrie ? J'ai tuer des terroriste !

Ils arrêtent la caméra.

Soldat 2: si sa ne tenait qu'à nous ont t'aurais déjà offert à Daesh.

Voilà qu'ils me jette dans une cellule.

.............

Cette journaliste me fixe.

Journaliste: comment vous sentez vous ?

Moi:apaisé.

Journaliste: mais vous aller mourrir.

Moi: je vais mourrir pour une raison, la liberté.

Journaliste:aujourd'hui c'est votre mort qu'elle message voulais vous faire passer ?

Moi: je veut montrer au monde l'injustice que vive les personnes étrangères. Vous voyez ils ont jugé mon mari sans savoir. Ils l'ont condamné à la mort sans même l'entendre. Ils m'ont envoyé en Syrie dans le pays ou le droit humain n'y est pas. Je veut montrer au monde la liberté pour laquelle nous ont se bat et j'y laisserai ma vie. L'espoirs fait vivre c'est le cas de le dire mais la liberté tue.

Journaliste: que voulais vous exactement?

Moi: je veut que le monde se lève et ne se taise jamais. Je veut que mes paroles raisonne pour la liberté. Je ne suis pas qu'une simple kurde. Je suis une femme, une femme forte qui ne laisse pas les hommes décidé pour elle. Ouvrez les yeux sur la cruauté du monde et rappeler vous l'oiseau de la liberté viendras que lorsque le monde la demanderas.

Elle me regarde les yeux qui brille.

Moi:La justice seras rendu peut être dans 10 ans ou 20 mais un jour j'aurais justice mais sa seras trop tard.

*:finis,  aller ta ton appelle.

Je me lève.

Moi: croyez en vous . Vous êtes forte ne l'oubliez pas.....

LE SOLEIL DU KURDISTAN Where stories live. Discover now