Chapitre 28: Animosité

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⚠️ Ce chapitre est violent + Attention aux âmes sensibles, prenez de soin de vous et parlez en si cette situation vous arrive ou si un proche subi cet acte inhumain !⚠️ Bon chapitre.

...

Aster 15 ans :

-Calme tes pleurs ou je les étoufferai.

Beaucoup plus âgées que moi, beaucoup plus grand et muscler, ses mains me répugne, j'ai envie de vomir.

Ses cheveux bruns et légèrement blanc, ses yeux noirs et sa carrure impressionnante.

Sa respiration perverse dans mon oreille, sa barbe de trois jours qui me pique la peau.

-Merde, tu bouges trop. Dit-il en me tirant les cheveux.

-Stop... dis-je en essayant de m'enfuir.

Il me bloqua contre lui, contre le sol froid qui tape dans mon dos, ma robe déchirée plus loin et ma culotte baissée sur mes cuisses.

-Je vais te faire mal si tu continues comme ça.

-Tu me fais déjà mal connard... dis-je en le frappant au visage.

Je frappe souvent ces bâtards, quand mon oncle n'est pas présent.

Ça me fait du bien et au moins, je ne me laisse pas faire. 

En vérité, j'espère mourir en les provocant.

-Petite pute. Dit-il en m'envoyant un coup.

Ma lèvre saigne, mais ça ne me fait rien.

Je me redresse et je lui crache dessus.

-Va te faire foutre fils de pute.

Depuis mon adolescence, je réplique, j'essaye de pas me laisser faire depuis mes 13 ans, mais c'est compliquer avec la force de taureau qu'ils ont.

Il bloqua mes mains au sol, et appuie son corps lourd sur moi, m'empêchant de bouger, ses yeux qui me dévorent.

-Une rebelle ? J'aime ça. Dit-il en léchant mon cou.

C'est dégueulasse, mes nausées remonte de plus en plus, pitié que quelqu'un m'aide.

J'essaye de me débattre, mais son sexe frotte le mien, ça me dégoûte, ma respiration se coupa et son toucher me glaça le sang, je déteste ça.

Je préfère être battu.

-Je te tuerai un jour... dis-je en regardant le plafond blanc.

Il ricane et continue son affaire jusqu'à que son plaisir arrive, il m'embrasse une dernière fois et il se relève, remonte son pantalon, putain de bâtard, j'ai une soudaine envie de meurtre, un couteau dans sa gorge me ferait plaisir.

Un autre rejoint cette pièce vide, rien autour, juste un endroit blanc, seule entre quatre murs, entourée de porc sans valeurs.

La naissance de l'obsession .  ( EN COURS DE RÉÉCRITURE ! ) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant