Chapitre n•8•

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PDV SHIGAHIME :

La soirée passe et les pochons ce vides petit à petit.
Ni moi, ni Sanzu ne brisons le silence qui c'est installé entre nous.

Le THC prend le contrôle de mon cerveau et je me sent plus légère.
Détendu.
Mais en même temps.
Tous mes vieux démons sont là, je les entends me hurler mes crimes, mes péchés.

Puis je l'attend elle.

- Maman ....

- Hien ? Qu'es que tu as dis Shi'?

Je ferme les yeux et attrape ma tête dans mes mains.

J'arrache mes cheveux par poignet et hurle.
Je n'entend plus Sanzu qui doit surment me hurler dessus pour me demander ce qu'il ce passe.

Lorsque je réouvre les yeux je ne suis plus avec lui.
Je regarde au tour de moi.

Je ne suis plus dans ....
Je suis dans ma maison d'enfance ?

Je regarde au tour de moi et me rend compte que ma visons et plus base que d'habitude.
Je regard alors mon corps dans le miroir en face de moi.

J'ai l'impression d'être retourner seize ans en arrière...

Je me dirige doucement vers la cuisine comme si je ne contrôler pas mon corps.
Je regard a travers la fente de la porte.

Ma mère assise sur la seule chaise présente au tour de la table, une bouteille de whisky a la main, son joint ce fumant dans le cendrier.
Elle est au téléphone.

Ma tête me fait mal mais je ne peux rien y faire.
Je veux partir mais mon corps ne bouge pas.
Je reste là en bloquant ma respiration et j'essaie d'écouter au maximum ce qu'elle dit.

- Mais je te dis qu'elle est vierge putain!

Elle attend une réponse de son interlocuteur et ce remet à parler.

- Elle a quatorze ans ouai... Pourquoi je m'en débarrasse ? Cette connasse m'attire que des ennuis ! J'ai jamais voulu d'elle c'etais une putain d'erreur que j'ai eu avec un coup d'un soir! En plus elle m'a ramené les flics a la maison l'autre jours car elle fait partie d'un gang de bosozoku et elle a volé une putain de moto !
Je peux plus me la voir si ça continue je vais la buter sans en tiré du pognon, que je sais qu'avec vous je pourrais en tirer une belle petite somme.

Je met mes mains sur ma bouche alors que les larmes ce mettent a roulé sur mes joues.
Maman ...
Je me souviens.

Ce jour là tu m'a vendu à un Yakuza qui pratiqué le trafic d'enfants.

- Ok ça me va, à dans une semaine.

Il repose son téléphone et reprend son joint le mettant a sa bouche.

- Je vais enfin être débarrassé de cette merde.

A ce moment là, mon sang ne fait qu'un tour.
Je sais que je dois la tuer.
Sinon c'est moi qui vais être envoyé en enfer.

Je me dirige vers le placard affaiblie par la faim qui me ronge depuis plusieurs semaines et l'ouvre.

Je prend la batte de baseball qui ce trouve à l'intérieur.
Je vais vers le buffet et donne un grand coup dans les vases qui y sont et cour me mettre sur le coter de la porte.

J'entends alors ma mère arriver en hurlant et m'insultant.

- QU'ES QUE TA ENCORE FOUTU PUTAIN DE MOINS QUE RIEN ?!

Elle ouvre la porte a la voler.
Je me tiens derrière elle et me jette sur elle.
Je brandit la batte que j'ai entre les mains et que lui assène un coup dans la tête.

Elle tombe a quatre pattes mais elle n'est pas morte.

- Je vais te butter petite salope....

Elle saigne au niveau du visage mais je ne lui laisse pas le temps et lui remets un coup.
Deux.
Trois.
Quatre.
Cinq.
Six.
Vingt.
Soixante.

J'ai arrêté de compter.
Et j'ai perdu le contrôle de mes actions. Je ne suis plus moi.
A l'époque j'avais juste l'impression d'être entrain de rêvé. Tous me semblait être une épaisse brume.

Je me lève couverte de sang et telle une machine je me lève et vais vers la cuisine et prend un couteau.

Je reviens vers le corps de ma mère.

Sa tête est éclaté contre le sol.
De son crâne il ne reste que ses yeux qui sont sorties de leurs orbites et qui on glisser sur le sol.
Son cerveau est une bouille rougeâtre, visqueuse qui colle sur le sol.

Je m'assoit a genoux devant ma mère la faim me hante et telle le robot sans émotion que je suis a ce moment là, j'enfonce la lame dans son abdomen.

Je taille d'une mains expertes dans la chaire de celle qui m'a donné la vie.

Je sort son intestin et le jeté a coter de son corps.
Je la vide en entier puis prend le foie dans mes mains.

Je le porte à ma bouche et vient croquer dedans.
Le sang coule le long de ma bouche alors que j'avale le morceau de corps de ma mère.
Je me lèche les lèvres et continue.

Encore.
Encore.
Et encore.

Je coupe toujours plus le corps de ma mère.
La poitrine.
Les jambes.
Les bras.

Je me délecte de cette chaire immonde qui m'a donner la vie.
Cette chaire salé par mes larmes.

Je regarde sur le sol les yeux de ma mère et les prends dans mes mains.

Ses deux globes oculaires qui ont passé leurs vie à me dévisager me dégoûte au plus haut point.

Un derrière regard sur eux et je fini mon repas en les gobant.
Puis je m'arrête.
Je ne sais durant combien de temps.

Je reste là assise.
Alors que j'entends la sonnette de la maison retentir.

Lorsque des pas qui avance a reculons arrive vers moi.
Je relève la tête vers ceux qui sont maintenant la.

Mikey, Baji et Sanzu.

- Qu'es qu'il ce passe ici ...

Je me lève et vais vers eux.

Keisuke et Mikey recule apeuré par... Moi.

Mais alors que j'allais tomber a genoux Sanzu me prend contre lui.
Ses bras m'entourent et me retiennent.

- Shi' ... Qu'es qu'il c'est passé.. qu'es que tu as fais ?

Je le regarde en pleurant toutes les larmes de mon corps.

- Mikey, Baji, appelez la police. Je me rend.

Je regard Sanzu qui est maintenant lui aussi couvert de sang et je met ma tête dans son cou.

- Je crois qu'on ne vas pas ce revoir avant un bout de temps Haruchiyo...

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HEYYYYY PETIT CHAPITRE POUR CETTE NOUVELLE ANNÉE !
J'ATTEND VOS AVIS !

Shigahime Where stories live. Discover now