Chapitre n•11•

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Une fois mon verre avec Ran fini je suis partie avec ma moto est mes affaires compris dans un sac à dos.

Je suis actuellement devant cette maison.
Les murs sont délabré et taguée.

- Ça faisait longtemps que j'étais pas revenu ici.

Je m'avance vers la porte et la pousse.
Elle s'ouvre et je sort mon couteau au cas où elle serait squatter.
Je longe les murs et avec le reflet de mon téléphone je regard si il y a quelqu'un dans la pièce d'a coter.

Personne.
Je me détend mais reste sur les gardes.

Il n'y a personne dans le salon mais je n'ai pas encore été à l'étage ni dans la cuisine.
Je monte à l'étage et avance doucement dans le couloir.
Je me met sur le coter de la porte et l'enfonce a grand coup de pied.
Personnes.

Je dessant.
Maintenant la cuisine.
Je suis en plein milieu du salon et je m'arrête.

Il y a toujours du sang sur le parquet.
Sur les étagères également.
Mais les meubles ont étaient vandaliser.
Et sur les murs de nombreux tags.

" Ici vie une cannibales"

Puis de nombreux noms sont tagué a coter.
Quand j'étais encore en prison Sanzu était venue me prévenir qu'il y avait toujours une énorme foule devant chez moi.
Des jeunes de différant gangs qui venaient déposer leurs noms sur les murs de ma maison.

Des fans de moi.
D'ailleurs sur la table de la salle sous une couche de poussière plus ou moins ressente des tones de lettres.
Je les regarderai après.

Je vais vers la cuisine et ouvre la porte.
Vide.
C'est bien ce qu'il me semblait il n'y a personne.
Et la salle de bain a été condamnée avec du béton.
Pourquoi je ne sais pas mais vue les aglots qu'il y a devant je suis sur qu'il n'y a personne.

Je sort ma clope et prend la seule chaise qu'il y a dans la cuisine et vient la mettre en face de la table de la salle.
Je m'assoit dessus et allume ma blonde.

J'inhale la fumer et prend une lettre qu'il y a au dessus et l'ouvre.

A l'intérieur une lettre d'un " fan ".

Blablabla shigahime tes trop classe blablabla je t'admire blablabla moi aussi je veux tuer mes parents ils me casse les couilles.

Ouai.
Tu parles pour rien dire.
Je jette la lettre sur le sol et ouvre les autres.
La plus part du temps toujours la même choses.

Mais là.

Non.
Je reconnais cette écriture.

Je prend la lettre et enlève la poussière qu'il y a dessus.

- De Haruchiyo Sanzu à Shigahime Miya.

Je l'ouvre et regard le contenu.

" Salut Shi'
Je sais que comme depuis dix ans tu ne verras pas cette lettre car tu es en prison.
Mais cette lettre est le derniere que je dépose.

Je ne sais même pas pourquoi je t'écris ceci alors que tu sorts de prison demain.
Peut-être parceque on a tous pris l'habitude de t'écrire ?

Je ne sais pas.
Je ne pense même pas que tu verras les lettres.
Elles seront peut-être voler avant même que tu ne décide de retourner chez toi.

Je voulais de dire dans cette dernière lettre que.
Peut importe ce que tu as fais et ce que tu feras par le futur Shi'.
Je m'en moque.
Je serais toujours de ton côté.

Si un jour tu décides de faire un massacre de masse et que la police est à tes trousse alors je me dénoncerais à ta place.

Je ne te l'ai jamais dit avec Shi'. Mais je t'aime.
Lorsque l'on ta retrouvé couverte de sang.
Je crois bien que c'est ce jour là que j'ai compris mes sentiments pour toi.

Peu importe ce que tu fais je serais je resterai à tes côtés car je t'aime.

( Toutes les autres lettres que je t'ai écrit sont a l'endroit où tu sais.)

Sanzu Haruchiyo "

- Décidement Sanzu, de nous deux je ne sais pas qui est le plus fou.

Je regarde les autres lettres.
Celle-ci aussi je les connais...
Mikey
Baji
Kazutora
Et j'en passe.

Ils m'ont tous écrit durant tous ce temps.

Je balance la tête en arrière et explose de rire.

- Durant toutes ses années vous avez continuer de faire genre qu'il n'y avait rien alors que j'ai bouffé ma mère ! C'est si drôle !
Moi même j'aurais abandonné une personne comme moi.

Après quelques secondes à rire toute seule je prends les lettres et les met dans mon sac et je me lève.
Je met ma clope a ma bouche et vais vers le buffet ou j'ai tous reversé il y a seize ans.

J'ouvre le tiroir et le jete sur le sol.
Je met ma main dans le haut du meuble et souri.

- Ça sa n'a pas été volé.

J'enlève doucement le scotch et prend la photo.

Shinichiro, Benkei, Takeomi, Wakasa, Sanzu, Emma, Baji, Mikey et moi.
Tous sur cette photo avec le sourire au lèvre.

- Ça me rajeunit pas tous ça.

Je la met dans mon sac avec les lettres et monte a l'étage dans ma chambre.

J'entre et je regarde cette pièce vide.
Elle n'a pas été vandaliser vue que je dormais a même le sol et mes habits était chez Shinichiro.

Je marche sur le parquet et en arrivant sur une latte en particulier je donne un coup de talon dedans.
Elle ce lève et alors ma cachette ce dévoile.

Des tonnes de lettres y sont.
Je les prends toutes et les met avec les autres.
Mais surtout en dessous encore, sachet sous le deuxième faux sol par une plaque de boit.

- Mon collier.

Je prend le pendentif en or avec un coeur au milieu et souris.

Je l'ouvre et regarde la photo a l'intérieur.

- Non en faite c'est ça qui ne me rajeunit pas.

Je le met au tour de mon cou puis prend les photos et tous le reste que j'avais cacher dedans.

- Bon. J'ai tous pris avec moi. Il est temps de dire adieu a ce lieux.

Je me lève et ouvre mon sac et en sort deux gros bidons.

J'ouvre le premier et commence à sortir de la chambre tous en laissant le liquide s'étaler sur le sol.
Je dessant les marche et le jete.

J'ouvre le deuxième et fait de même dans cuisine puis la salle.

Un fois devant la porte d'entré je prend mon zippo et l'allume.

- Cette maison ne me manqueras pas.

Je le jette sur le sol alors que le feu ce propage.
Je referme la porte derrière moi et monte sur ma moto.

Maintenant je dois éliminer ma cible.
Mais avant je dois aller dormir.

PDV EXTERNE :

La jeune femme a la chevelure couleur nuit part alors sur sa moto, laissant la maison de son premier crime partir en feu.

Shigahime Where stories live. Discover now