Cette nuit fut très froide, très agitée
La cadence du vent fut nonuplée
Nos pivoines, les plus belles,les plus froides avaient fâné
Nos peurs ne firent que se multiplier
Nous sûmes d'ailleurs que cet orage
Plein de rage
Ne prédisait rien de bon
Ton dernier soupir nous laissa sans son
Oui la mort t'a emporté pour d'autres cieux
Pour un lieu
Ou tout va du mieux
Tu n'agonises plus, on le sait
Ton âme éternellement repose en paix
Adieu donc, cher frère
On se reverra certainement après.
PAJ
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Dernières Coulées
PoetryLa mort, inévitable et implacable, est le rappel ultime de la fragilité de notre existence. Elle nous rappelle que malgré toute notre peur et notre souffrance, notre vie est éphémère et que notre vanité humaine ne peut la prolonger. C'est un rappel...
