De ses mains osseuse,crasseuses
Elle essaya,me tira presque par le bras
Elle tenta,retenta ,me cogna
Me poursuivis encore,cette créature monstrueuse
Je continuai toute anxieuse
Cette course à l'aveugle dans le noir
Pleurant ,cherchant un abri,un toit
Mais elle se moquait,me trouvait miteuse
J'étais bientôt à bout de force
J'allais finir sur sa table de noce
Mais à deux doigts de m'attraper
Je sentis une main toute fraîche me tapoter
Ouf! Trêve ! Trêve!
Ce ne fut qu'un horrible rêve.
PAJ
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Dernières Coulées
PoetryLa mort, inévitable et implacable, est le rappel ultime de la fragilité de notre existence. Elle nous rappelle que malgré toute notre peur et notre souffrance, notre vie est éphémère et que notre vanité humaine ne peut la prolonger. C'est un rappel...
