C'est comme si mes paupières
Avaient disparu dans la poussière
De mes pensées boureaux,
De nos moments d'hier restés beaux ;
Elle, jouant la lyre de mes euphories
Moi, dansant la melodie de ses flatteries
On était comme dans les yeux du ciel
Deux étoiles a la lumière providentielle.
C'est comme si le vent
Avait quitté le temps
Et que le temps désolé
Respirait des secondes déshéritées ;
Elle, mordant la langue
De notre belle et longue
Histoire. Comme dans l'enfer
Du soleil l'unique flamme qu'on veut défaire.
Moi, brûlant dans la flamme
Des larmes de nos âmes,
Fatigué
Et affligé.
...FONSECO
