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-Nous sommes de retour.
-Sont-elles avec vous ? Je demande.
-Oui, elles sont toujours enfermé dans la cage.
-Faites-les sortir, je veux qu'elles se présentent devant moi.
-Bien Majesté.
Être Sultan est forcément un confort. J'aime cette notion de pouvoir, de richesse. Pouvoir être plus haut qu'autrui me plaît. J'aime les soumis. J'ai donc forcément des femmes, qui sont des harems. Ce sont en quelques sortes des esclaves bien élevée. Elles connaissent la langue, le mode de vie, la religion et tout ce qui s'en suit. Je dois en avoir une centaine, mais je me lasse vite de mes préférées.
Ce sont toutes les mêmes, elles vont essayé de me séduire pour parvenir au mariage et à la nuit de noce. Elles m'auront eu dans leur lit, auront des enfants avec moi et seront riche. Mais c'est peine perdue. Aucune ne m'a encore tapé dans l'œil. C'est donc pour cette raison que j'en ais racheter vingt-cinq autre. J'espère qu'une d'entre elles réussira à me séduire, s'en pour autant le vouloir.
Des esclaves lambdas s'occupent de moi durant ce temps. L'un me fait du vent, l'autre me nourrit de fruit, un énième m'offre un baiser sur le dos de ma main en signe de soumission.
Mon assistant d'il y a quelques minutes, Jungkook, revient à la charge avec ses femmes. Je les entends dans le couloir juste à côté de la salle dans laquelle je me trouve. Il fait rentrer une première, une deuxième, une troisième et ainsi de suite. Les quinze premières viennent du sud de l'Égypte, les trois suivantes de Libye, et les autres viennent de Grèce.
-Faites rentrez la dernière s'il vous plaît.
Celle-là, je l'ais acheter de France. Elle m'a coûter très cher, alors j'espère qu'elle en vaut la peine.
Jungkook la tient de force par le bras, bien qu'elle essaye de se débattre. Je ne vois pas son visage à cause de son voile défait qui la cache. Je commence à m'énerver, elle ne fait que de se débattre.
-Cesse ces pitreries ! Ou bien je t'envoie aux crocodiles !
Elle se calme, mais Jungkook resserre d'autant plus fort sa main sur son bras. Il lui chuchote quelque chose dans l'oreille. Elle semble ordonner ces ordres puisqu'elle vient vers moi. Je m'étonne moi même qu'elle se prosterne devant moi. Elle s'excuse, et je décide de passer pour cette fois.
-Comment t'appelles-tu ? Je demande.
-Marianne, votre majesté.
-Relève-toi.
Elle exécute mes ordres et je me lève de mon lit. Je me mets devant elle et lui retire son voile. Elle ne bronche pas. Je relève son menton et observe son visage de fond en comble. Une peau blanche et lisse. Des yeux profond et expressif. Des lèvres fines et rosées. J'avale difficilement ma salive.
