MON MARIAGE AVEC LUI

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Salam mes hbibah

Rachid : mais mdr et tu crois que je vais te laisser partir comme ça ??

Moi: et pourquoi pas ?

Rachid : wallah, sur Allah que si tu sors je ne m'appelle plus Rachid.

Moi: bah alors prépare-toi à jeûner pendant trois journées entières car tu prendras un kaffara*. Au pire tu changes de prénom.

Kaffara* (quand tu jures sur Allah que tu ne feras pas telle chose et que finalement tu l'as faite, ça veut dire que ton"wallah" est annulé...tu jeûnes pendant trois jours pour avoir le pardon d'Allah d'avoir menti en jurant sur lui).

Rachid : tu penses que je prendrai le risque ?

Je hausse les épaules et après avoir fini ma valise je me dirigeais vers la porte quand Rachid me tire par le bras, m'allonge sur le lit et vient se coucher sur moi.

Moi: lève-toi , c'est quoi ton problème ?

Lui: mon problème c'est le fait d'avoir pris la décision de partir sans mon accord.

Moi: mais laisse-moi, tu n'en as rien à faire de moi de toute façon, alors ne plus me voir te donnera l'occasion de ne plus me supporter.

Lui: Non, tu as tout faux.

Lui: SAMIRA AUJOURD'HUI TU DORS ICI DANS MA CHAMBRE. FERME LA PORTE AVANT DE DORMIR. AUJOURD'HUI JE DORS AVEC MA FEMME.

Elle: D'ACCORD MAIS ESSAYE AUSSI DE TE FAIRE PARDONNER POUR CE QUE TU LUI AS FAIT.

Lui: J'Y COMPTAIS, MERCI.

Lui:(me sourit) alors aujourd'hui je vais dormir sur toi mdr ... mais attends.

Il appelle Samira.

Lui: ferme notre porte à clé par derrière comme ça elle ne pourra pas sortir.

Elle: mdr elle voulait partir c'est ça ?

Moi: Samira stp dis-lui de se lever, il est sur moi, il m'écrase.

Samira : désolée chérie mais aujourd'hui je suis de son côté. Tu ne peux pas t'en aller comme ça.

Moi: pff je t'aime plus toi.

Elle: bah moi je t'aime toujours hein mdr (me fais un clin d'œil avant de fermer à clé la chambre par derrière et s'en aller)

Moi: maintenant la chambre elle n'est plus ouverte, je peux plus m'en aller donc tu peux te lever.

Lui: on ne sait jamais, tu l'as peut-être cassée. En plus c'est confortable comme ça.

Moi: je manque d'air.

Lui: je t'en donnerai par mes narines.

Il rit tout seul pendant que ne le fusillais du regard.

Lui: en fait je ne sais pas mais je pense que je commence à ressentir des trucs pour toi (dit-il sans le savoir)

Moi: eh oh tu ne parles pas à Aïda là.

Lui: hein ?? j'ai dit quoi ??

Moi: tchip demande à ma tête et lève-toi !

Samira : RACHID ON A UN PROBLÈME LÀ