Sur mon fauteuil

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PDV NICK FURY :

- Monsieur, plusieurs de nos agents sont morts. L'agent Barton se serait retournait contre nous après que Loki ait utilisé ses pouvoirs sur lui. Me prévient mon agent.

- Où en sommes nous sur le projet ? Demandais-je à mon bras droit.

- L'agent Romanoff est partie convaincre le docteur Banner. Et nous n'avons toujours pas contacté le Dieu du tonnerre. Nous espérons que Stark prendra part au projet mais il n'avait pas l'air de trop si intéressé, monsieur.

- Bien, et pour le capitaine ?

- Il serait en train de préparer ses affaires. Il prendra part à la partie. Me répondit-elle.

- D'accord, merci. Elle hoche de la tête .

Je commence à sortir de la salle de contrôle mais Hill me suit et me demande :

- Où allez-vous, patron ?

- Chercher une autre des recrues. Lui répondis-je.

- Puis je savoir de qui il s'agit ?

Je monte à l'intérieur du quinjet et elle me suit à l'intérieur.

- Une personne qui combat le feu par le feu....

PDV DE HOPE :

Journée de m*rde. Comme toujours, en fait. La routine s'est faite une place dans ma vie pourrit.

Chaque jour, je me réveille à je ne sais qu'elles heures pour faire du café et le servir à des inconnus et le soir c'est la même chose mais avec de l'alcool. Serveuse le jour mais barman la nuit. Si c'était ça que faisait Bruce Wayne, le film aurait été moins cool.

Nous sommes le soir et comme toujours Marcus dégage les gens trop bourrés du bar.

- Salut, Hope ! Une voix me fait sortir de mes pensées.

- Salut, Lili. Saluais-je l'habituée du bar.

- Ta journée c'est bien passé ? Me demande-t-elle bien trop fort à mon goût.

- Bien et toi ?

- C'était super !

- Tant mieux pour toi, alors. La même chose que d'habitude ?

- Bien sûr, merci.

Je lui fais alors son cocktail favori et le lui donne. Puis Marcus se joint à sa petite amie et il me pose les mêmes questions que sa copine.

La soirée se passe bien et un client était tellement déchirés que j'ai reçu le plus gros pourboire de toute ma vie. Tant mieux pour moi, parce que mine de rien, j'ai un loyer à payer.
Les clients s'en vont et le bar se vident de plus en plus. Lili et Marcus restent avec moi pour selon eux " me soutenir mentalement. "

- Vous savez, je ne vais pas mourir si vous rentrez chez vous. Leurs dis-je.

- On n'abandonne pas ses amis, Hope.
Me répond Lili.

- Tu as raisons, mon cœur. Répond Marcus en embrassant sa petite amie.

A ça, je vais semblant de vomir pour les taquiner. Ce qui marchent puisqu'ils font semblant de bouder.

- Oh, c'est bon Hope, c'est pas la mort de voir des gens s'aimer, non ?
Me questionne Marcus, en levant un sourcil.

- Tu veux vraiment que je te réponde, mon pote. Lui dis-je en levant moi aussi un sourcil.

On rigole tous ensemble et la soirée continue. Le bar est de moins en moins rempli mais il y a toujours pas mal de monde. Mais plus les verres se vident et plus mes oreilles saignent lorsque j'entends les gens passer au karaoké.

- Bon, nous on va te laisser ! Me dis Lili en mettant son manteau.

- Nan, je vous en supplie, je supporterai pas les prochaines chansons sans vous ! Leurs suppliais-je en serrant mes mains pour les implorer de toute mes forces.

Ils rient et me disent :

- D'un coup, nous sommes indispensables ? Bizarre, tu trouve pas, chéri ? Dis Lili à l'intention de Marcus.

- Oui, très bizarre même. Disent-ils en se fout*nt de moi ouvertement.

- Vous êtes de vrais démons...

Elle prend son sac et devant la porte ouverte, ils se retournent vers moi et me disent en même temps :

- Peut-être, mais toi tu es le diable.

Je leur montre mon affection avec un doigt et Lili m'envoie un baisers vers ma direction. Puis ils partent et la fin de soirée et interminable. Les chansons suivantes sont toutes massacrées et franchement je crois que je vais devoir me faire installer un appareil auditif.

- Enfin ! Criais-je en levant les bras en l'air pour célébrer le fait qu'ils soient tous partis.

Je nettoie un peu le b*rdel qu'il y a. Je prends mes clés et je rentre chez moi.

[...] Élypse du trajet :

J'entre et pose mes clés sur le tabouret à côté de la porte. J'enlève ma veste et la pose sur le porte manteau. Mais bizarrement je le sens pas. Quelque chose cloche. Mon instinct me le cri.

Je m'avance doucement et sur mes gardes vers le salon. Puis arrivée dans la pièce, je vois très peu à cause de la nuit, mais je jure voir une silhouette.

Mes doutes se confirme lorsque l'une de mes lampes s'allume et que je vois un homme à la peau noir et borgne sur mon fauteuil.

- Bonsoir, mademoiselle Williams.

- Euh.....bonsoir......mais qui êtes vous ? Demandais-je incrédule et surprise.

- Mon nom est Nicholas Joseph Fury mais tout le monde m'appelle Fury.

- Quoi, même votre mère ?

- Oui, même ma mère.

- Même votre femme ?

- Je n'ai pas de femme mais si j'en avais une, elle m'appellerait Fury.

- Wouah, qu'est ce que votre vie est triste....Dis-je pour blaguer.

Il me regarde comme si j'étais folle mais je vois qu'il est un peu amusée dans ses yeux, enfin dans son œil.

- Nan, mais plus sérieusement, qui êtes vous et qu'est ce que vous foutez dans mon appartement ?! Dis-je un peu plus sérieusement.

- Je suis ici car je suis au courant de vos.....capacités.

Mon cœur s'arrête et mon expression faciale doit être livide. Mince, il doit être là pour me capturer ou je ne sais quoi !

- Ne vous en faites pas, je travaille pour une agence secrète du gouvernement et je suis ici pour vous demandez votre aide.

Je me détend légèrement et :

- Quoi, et pour quoi faire ?

- Pour sauver le monde....

Tous ensemble, comme une familleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant