𝐃𝐚𝐧𝐬 𝐋𝐞𝐬 𝐂𝐨𝐮𝐥𝐨𝐢𝐫𝐬 𝐃𝐮 𝐂𝐚𝐦𝐩𝐮𝐬

7 - Vie de rêve, Jalousie en vue

[...]

Théo : Si tu veux . Personne ne t'y force. Mais je n'ai aucune raison de te mentir on est d'accord ?

- Si. Peut-être pour me draguer ?

Théo : Ahh lol j'aurais besoin de te draguer alors que je te plais déjà simplement et que tu attendais juste que je  sois célibataire pour l'avouer ?

-Tu n'es peut-être plus en couple mais moi je le suis.

Théo : Pardon?

- Tu m'as très bien comprise.

Théo : C'est la blague de l'année. Tu es en couple avec qui?

- En quoi ça te regarde ?

Théo : Tu as commencé à raconter donc raconte tout une fois.

- Il s'appelle Yann.

Théo : Les noms des bandits Mdr.

- Lol.

Théo : Et tu es en couple depuis combien de temps ?

- Un mois.

Théo : A peine arrivée à Douala tu viens te mettre en couple avec le premier venu. Je croyais que tu valais mieux.

- Comment tu me parles d'abord?? Et puis s'il fallait se mettre en couple avec le premier venu, je serais en couple avec toi et ce n'est pas le cas donc fiche moi l'air.

Il s'approche dangereusement de moi et il saisit brutalement mon cou.

Théo : Tu crois que parce que tu es en couple tu peux me parler n'importe comment ?

- Lache moi tu me fais mal.

Théo : J'ai arrêté ma relation avec Julia pour être avec toi alors tu dois être à moi.

- Je n'appartiens à personne et puis lache moi je te dis -arrêtant son bras lié à mon cou-

Théo : Eh bien tu vas rompre ce n'est pas trop compliqué. -me lâchant enfin-

- Je ne vais rien rompre du tout.

Théo : Okay. Il va donc falloir employer les méthodes fortes.

Il me prit d'une main et comme un sac de koppo, il me balança sur son épaule. Je me débattais comme je pouvais mais rien, il m'avait embarquée et il prit la route des escaliers.

Il faut avouer que Théo c'est un géant de deux mètres pour 100kgs donc à côté de lui je suis comme un grain de maïs à côté d'un épis.

On arriva dans ce qui semble être sa chambre - je n'en suis pas sure, j'ai la tête en bas - et il me balance sur le lit. Il s'empresse de ferme la porte rapidement et je n'ai même pas le temps de reprendre mes esprits pendant la roulade forcée que je viens de faire que monsieur est calé sur la porte à me regarder comme si j'étais le eru et qu'il avait très faim.