𝐥'𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫, 𝐥𝐞 𝐯𝐫𝐚𝐢 - 𝐓𝐡𝐞𝐨 𝐇𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐝𝐞𝐳

chapitre 7

MILAN
Samedi 06 juillet

LEYNA

Avant hier a eu lieu le match de Theo auquel je me suis rendu. Ma voiture est tombée en panne mais j'ai pu la réparer hier. Je n'ai pas eu l'occasion de revoir monsieur Hernandez étant donné que j'ai passé ma journée à bosser.

Aujourd'hui également est une grosse journée. Le week end, la boutique est plus convoité et les enfants avec leurs parents se font nombreux.

Il est 11h45 lorsque je suis en arrière boutique. Je m'occupe des mails et dès stocks dans les rayons.

- Léyna, tu peux venir s'il te plaît ? m'appelle Clara.

Je termine de ranger rapidement et rejoins mon employée derrière le comptoir. Je remarque qu'il y a quelques personnes dans la boutique, mais surtout un livreur devant nous.

- C'est vous Léyna ? me demande-t-il.

- Euh... oui.

Clara s'en va avec des clients tandis que le livreur dépose un bouquet de rose devant moi.

- Une livraison pour vous.

- Hm... c'est de qui ?

- Un certain Théo. Y'a pas de nom...

- D'accord. Merci beaucoup.

Il me sourit et s'en va. J'emmène le bouquet dans mon bureau et sens les roses. L'odeur est incroyable mais je me demande en quel honneur Théo m'envoie t'il des fleurs. Alors, pour avoir réponse à ma question, je décide de l'appeler.

« - Allo ? dis-je lorsqu'il répond.

- Ca va ?

- Tres bien. Et toi ? t'es à l'entraînement ?

- Non je suis en voiture la.

- J'ai reçu des fleurs ce matin.

- Alors ?

- En quel honneur ?

- Hm... j'avais envie de t'en envoyer.

- C'est adorable Théo. Merci beaucoup.

- Si ça t'a fait plaisir alors c'est le principal.

- Oui t'inquiète pas. Mais t'étais pas obligé.

- Tu fais quelque chose ce soir ?

- Oui, je sors avec des copines.

- Tu retournes en boîte ?

- Non c'est pas prévu. Pourquoi ?

- J'aurai aimé te voir. Mais peut être demain ?

- Je passe la journée avec ma mère... mais on se tient au courant pour plus tard ?

- Tu bosses la ?

- Hm...

- Tu prends une pause si je passe te voir ?

- Tu peux déjà plus te passer de moi ? demandáis-je en rigolant.

- Non je peux plus. J'arrive dans 5 minutes, je suis en route.

- Je t'attends alors.

- Nickel à de suite. »

Je raccroche et souris bêtement. C'est vrai qu'avec Theo nous avons une relation particulière. On s'entend plutôt bien et je l'apprécie un peu trop à mon goût. Et pas qu'amicalement je dois le reconnaître.