ℂ𝕙𝕒𝕡𝕚𝕥𝕣𝕖 𝟙𝟠 : 𝔼𝕟𝕥𝕣𝕖 𝕕𝕖𝕦𝕩 𝕥𝕒𝕓𝕝𝕖𝕒𝕦𝕩

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Chapitre dix-huit

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Chapitre dix-huit

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Imelda prend place à table à nos côtés, et attrape la tasse de café qu'Ominis s'est servi plus tôt.

Il remarque qu'on lui vole sa boisson et proteste en direction de notre amie, mais c'est trop tard, ses lèvres sont déjà posées sur le récipient.

« Merci Gaunt, j'en avais bien besoin. Tu peux m'en servir une autre s'il-te-plaît ? » Dit-elle en plaçant son menton dans le creux de sa main, pour maintenir sa tête.

« Je...je vais prendre une autre tasse. » Répond Ominis en tâtant les alentours à la recherche de vaisselle propre.

Pendant ce temps ma colocataire se sert un grand bol de corn-flakes, qu'elle s'empresse de dévorer.

« Au fait, tout est sous contrôle, la bête a été neutralisée. » Dit-elle en riant sarcastiquement.

Je remarque que le beau blond relève subitement la tête aux paroles de notre amie.
Génial, moi qui voulais faire profil bas...

Je donne un léger coup de pied dans le tibia d'Imelda et articule un grand "ARRÊTE" en silence.
La situation est déjà assez catastrophique, inutile d'inclure Ominis dans cette affaire.

En réceptionnant mon geste soudain et peu délicat, Reyes s'étouffe avec son petit-déjeuner.

« Pourquoi t'as fait ça ?! »

Je lève les yeux au ciel et laisse mon corps s'avachir sur la table.
C'est fichu, je ne vais pas m'en sortir comme ça.

Et pour cause, contre toute attente Gaunt ne reste pas de marbre et quémande des explications.

« Qui est "la bête" ? » Demande-t-il en fronçant les sourcils.

« Juste un élève Serpentard qu'on a surpris ce matin en plein duel avec un membre de la maison Poufsouffle. »

Qui sait, si je modifie légèrement la réalité ça marchera peut-être. Ce n'est pas un mensonge mais une vérité déguisée !

« Depuis quand les Poufsouffles défient les verts et argents ? C'est complètement absurde. » Répond mon camarade en secouant la tête de gauche à droite.

« Crois-moi, je connais certains d'entre eux qui n'ont peur de rien... »

Le visage d'Aslan me vient immédiatement à l'esprit. Je sais que maintenant qu'on a mutuellement connaissance de l'existence de chacun, je vais être amenée à le rencontrer fréquemment. Il ne va pas me lâcher, j'en ai la certitude. Reste à espérer que son préfet-en-chef ne le choisisse pas pour prendre sa relève l'année prochaine.

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