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Salem les fillesss

P.D.V IBRAHIM

J'me réveille à cause d'elle. Même la nuit elle sait pas rester tranquille.

Moi: Même le soir tu fait du-

Attendez, qu'est ce qu'elle a ? Sa peut pas être ses crises d'asthme elle aurai pas réagis comme ça.

Moi: T'as quoi ??

Elle était toute blanche et elle transpirais, j'suis pas médecin mais je pense que c'est pas une bonne chose nan ?

Moi: Oh répond ta race !

J'me lève j'appuie sur leur bouton mais y'a personne qui arrive ils se foutent de ma gueule ?

J'me rapproche d'elle pour voir ce qu'elle a. J'la regard deux seconde et je capte. Elle arrive pas à respirer.

Moi: Putainn une galère celle là

J'allais partir mais elle m'attrape le bras. Elle a serrer bien fort carrément ses ongles ils sont rentré dans ma peau.

En tant normal je l'aurai defoncer mais là je pense c'est pas le moment j'pense même pas elle sait ce qu'elle fait.

Moi: Lâches mon bras.

Elle lâches pas. Je crois même pas elle m'écoute.

Moi: J'vais les appeler lâches mon bras.

J'sens qu'elle désert mon bras. Je pensais qu'elle m'avait écouter mais non vraiment pas elle c'est juste évanouie. C'est la merde là.

Je sors de la chambre et je trouve enfin un gars qui avait l'aire de travailler ici.

Moi: On a besoin d'aide elle a fait un malaise.

Lui: J'ai fini mon service moi.

C'est un fou lui.

Moi: T'as rien fini du tout tu vas venir dans la chambre avec moi et tu vas appeler tes collègues

Lui: Allez les chercher vous même. Ils-

Il m'énerve. J'le prend par le col et j'le soulève. Y'a que comme sa que sa fonctionne.

Moi: J'te tue la maintenant si tu viens pas dans cette putain de chambre tu m'as comprit ?

Lui: O..Oui.

Merci.

J'le lache et j'le ramène dans la je chambre. Il appelle ses collègues qui arrivent tous d'un coup. Ils devaient être une dizaine.

Un d'eux: Vous allez devoir sortir monsieur.

Moi: J'reste ici faites ce que vous avez à faire.

Un autre: C'est une obligation vous n'êtes pas autorisé à resté.

Moi: Occupez vous d'elle au lieu de me dire de sortir zbi !

Encore lui: Mais v-

J'le laisse même pas finir et j'sors en claquant la porte. Voila il veut que je sors bah je sors si elle ressort pas vivante j'le tue moi.

Après dix minutes y'a l'infirmier de tout à l'heure qui sort et viens vers moi.

L'infirmier: Euh-

Moi: Elle est vivante ?

L'infirmer: Son cœur c'est arrêté là tout de suite ils essayent de le faire repartir.

Moi: Et toi tu fais quoi avec moi ? Va les aider.

L'infirmier: J'ai fait ce que je pouvais moi.

Moi: Tu vas retourner dans cette chambre et continué à faire ce que tu dois faire tant que son cœur il est pas reparti.

Chronique de Safiya: « Je suis pas comme tout le monde »Where stories live. Discover now