18.

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Salam les fillesss

J'vous passe jusqu'au lendemain, aujourd'hui je travaillais donc toute la mâtiné j'ai fait le ménage puis j'me suis préparée et j'suis sortie.

J'ai été travaillé puis sur le chemin du retour j'sentais qu'on me suivait donc j'me suis retourné et y'avait un gars qui était derrière au début j'me suis dit qu'il allait juste chez lui mais à chaque rue où je tournais il tournait aussi.

J'ai commencé à stressé j'avais les yeux humide j'avais grave peur un moment j'ai été dans une petite ruelle pour me cacher je pensais qu'il m'avait pas vu mais il m'avais vu.

Il m'as prit le bras et il m'as mit contre le mur mais j'ai ressenti une sensation bizarre quand la personne m'as touché et cette sensation je la ressentait qu'avec une seule personne.

Moi: Ibrahim tu m'as fait peur !!

Ibrahim: Tu pleures ?

Non je suis trop heureuse là.

Ibrahim: Arrêtes de pleurer.

Moi: Je pleure pas.

Il abuse du terme pleurer c'était juste des larmes de stresse et y'en avait que une en plus.

Il a mit sa main droite sur ma joue et il a essuyé ma larme avec son pouce.

Ibrahim: C'est bon j'suis pardonner ?

Moi: Non toujours pas.

Ibrahim: Bah toz.

La façon dont il l'as dit ça m'as fait rire mais j'ai pas rigoler.

Moi: Comment tu sais que je travaillais là ?

Il m'as regardé et il a juste sourit puis il a directement arrêté de sourire et il a froncer les sourcils.

Ibrahim: Enft toi t'écoute pas quand on te parle ?

Il est vraiment bipolaire lui. Un coup il est calme l'autre il est nerveux.

Moi: Pourquoi ?

Ibrahim: Je t'avais dit de pas travailler ?!

Moi: Mais faut bien que je travaille pour m'acheter ce dont j'ai besoin.

Ibrahim: Tu me dit ce que t'as besoin et j'te l'achète.

Moi: Non j'préfère travaillé moi même.

Il a soufflé puis il a commencé à marcher. J'savais pas si j'devais le suivre donc je suis resté à ma place en le regardant partir.

Un moment il s'est arrêté, il c'est retourné et il m'as fait signe de venir avec sa tête donc je l'ai rejoins.

Ibrahim: Demain tu travailles ?

Moi: Non pourquoi ?

Ibrahim: Et après demain ?

Moi: Nan lundi je travaille.

On était jeudi.

Ibrahim: Quel heure ?

Moi: 16h

Je pensais qu'il était venu avec sa voiture mais non il était venu avec sa moto. J'étais grave contente j'aimais trop monter sur sa moto mdrr.

On est monté puis on est arrivé à la cité y'avait plein de gars devant mon bâtiment.

Ibrahim: Rentres par derrière.

Il a redémarré et il est parti j'sais pas où. De toute façon je comptais rentré par derrière mdr.

Je suis rentré j'ai mangé, j'me suis douché j'ai prié et je me suis endormie.

Chronique de Safiya: « Je suis pas comme tout le monde »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant