Chapitre 72.

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- Debout Marmotte.

Je sens des petits baisés le long de ma mâchoire.

- Hum, non laisse-moi dormir.

Je me place sur le dos, le bras sur les yeux.

- Il est déjà midi.

- C'est quand même trop tôt.

- Bon d'accord.

Elle se glisse sous les couettes et commences à embrasser chaque parcelle de mon corps, j'ai plus envie de dormir maintenant c'est malin.

- Qu'est ce que tu fais ?

- Rien. Répond t elle de façon innocente.

Puis elle baisse mon caleçon et se met à embrasser mon sexe. C'est bon je suis tout à fait réveillé et ma bite aussi. Elle me suce doucement pendant un petit moment. Même si ce n'est pas ce qu'elle préfère elle le fait pour me faire plaisir.

- Viens là.

Je la relève, j'ai tellement envie de l'embrasser, de sentir son corps sous le miens. Elle est déjà habillée, de toute façon elle est toujours debout avant moi, je ne l'entends jamais se lever. Mais je lui enlève rapidement son haut et son soutif, sérieux, ses seins sont justes magnifiques, j'ai envie de jouer avec ma langue et ses tétons. Je sens que son excitation naît en même temps que la mienne. Elle découvre son corps et de nouvelles sensations. J'aime que ce soit avec moi et grâce à moi.

- J'ai tellement envie de toi bébé.

Pour seule réponse elle m'embrasse, passionnément.

- Elé ! Cris une petite voix derrière la porte.

- Et merde ! Le devoir m'appel.

- J'en ai pas finis avec toi.

Je lui fait un clin d'œil. Elle se rhabille chancelante et sort de la pièce.

- On manges dans 15 minutes bibou.

- Je m'habille et je descends.

- Hum, ça sent le fromage.

- On manges tartiflette ! Sans lardon.

Ah oui c'est vrai ici on ne mange pas de porc, les estomacs d'Alice et Lucas sont fragiles.

- Passes-moi ton assiette ?

Tout le monde rejoint la table, avec des plats dans les mains. On commence à manger.

- Elé, il revient quand papa ? Dit Zélie.

- Je ne sais pas ma puce.

- Il me manque.

Les enfants et Eléonor ont rendus visite à Patrick hier.

- J'imagines, il m'a dit qu'il rentrerais bientôt.

- Je suis content qu'il fasse des efforts. Dit Lucas.

- Mouais, j'attends de voir. Répond Tom septique.

- Il essai c'est déjà bien. Dit Eléonor. Mamie, tu veux de la salade ?

- Non merci ma chérie, c'est très bon.

- Cécile m'a aidée à tout préparer.

- C'est qui Cécile ? Répond la grand-mère désorientée.

- La maman d'Adelphe.

- Je connais pas d'Adelphe.

- Oh, oui c'est vrai, excuses moi je me suis trompée.

Répond Eléonor pour ne pas brusquer la grand-mère.

- Manges Marie-Victorine, t'es toute maigre ce n'est pas comme ça que le bébé va grandir. Gronde la grand-mère.

Bien que ces scènes soient habituelles dans cette famille, ça touche et bouleverse toujours autant ma mère mais elle s'habituera. On termine le repas dans la bonne humeur. Jusqu'à un nouveau délire de la grand-mère.

- Le diable est parmi nous.

- Qu'est ce que tu racontes mamie ?

- Je le sens. Dit-elle gravement, on dirait qu'elle est possédée. Quelqu'un veux de la salade ? Rajoute t elle d'une voix douce et posée.

- Non merci.

Tout le monde hausse le épaules, surpris par cette saute d'humeur.

- Aller les mecs, on débarrasse. Dis-je.

Le midi c'est les garçon, le soir les filles, c'est la règle je m'y suis plié. Eléonor le fait tout le temps, que ce soit le midi ou le soir, elle fait le plus gros et elle supervise les opérations en quelque sorte. Ma mère nous aide aussi maintenant.

- On peut aller jouer dehors ? Demande Alice et Zélie.

- Oui, mais pas sur la route. Si vous faites du vélo vous restez sur les pavés devant, sinon restez derrière la maison. Compris?

- On va faire du roller.

- D'ac mais attention à la route ! Les voitures roulent comme des folles dans la rue. Dit Eléonor.

Elle n'a pas tort, c'est une route de campagne limitée à 90km heures, mais puisqu'il n'y a pas beaucoup de maison et que c'est une ligne droite, les automobilistes roulent beaucoup plus vite. C'est dangereux.

- Oui ne t'inquiètes pas.

- Non je suis jamais inquiéte. Dit ironiquement Eléonor.

Je l'embrasse dans le cou, puis on se met tous à débarrasser. Ça prend un petit moment. Quand soudain on entend les cris horrifiant d'Alice et ceux d'un homme.

Mon amour pour elleHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin