Chapitre 133

275 5 4
                                    


Salem aleykoum mes tomatiich♡♡🍅🍅

~~~~~~~~~~~~~~~~~

《La manière dont tu comptes en dit long sur ce que t'as brassé, la manière dont tu pompes en dit long sur ce que t'as sucé》PNL

~~~~~~~~~~~~~~~~~

Il ramenais des cuteur et plantait les gens qu'il n'aimait pas déjà en primaire.

On a fini par prendre la route pour bejaia arrivé la bas, on va tout de suite dans la villa.

On a decider de passer une journée seul et apres sa on appelera les autres, on a pas pu entierement profité l'un de l'autre, car zaim etait malade, mais desormé il va beaucoup mieux.

Le docteur hassani ne nous a toujours pas appeler.

Et on a decider de ralonger le voyage et de rester ici deux jours de plus.

On est actuellement a la maison.

On est assis sur le lit de notre chambre au troisieme etage, devant la télévision.

Zaim : vien la

Il ouvre ses bras je vais donc dans ceux-ci en posant ma tête sur son torce.

Moi : zaim ?

Zaim : oui hobi ?

Moi : tu es sur que ça va ?

Zaim : pourquoi sa n'irai pas

Moi : non, je veux dire que, tu es sur que tu n'est pas gravement malade que tu va beaucoup mieux depuis la derniere fois

Zaim : je ressent aucune fatigue aucune douleur, ni aucun symptome me prevenant d'une maladie, donc je ne crois pas

Moi : tu es sur hein ?

Zaim : mais biensur yousra

Moi : certain

Zaim : oui oui, ne t'inquiete pas pour moi, c'est mon rôle de faire sa normalement

Moi : c'est notre role a tout les deux

Zaim : mais plus le mien que le tien

Je léve legerement la tête vers lui.

Moi : enfaite toi, tu cherche mon poing sur ton magnifique visage parfait

Il lache un petit rire.

Zaim : ah oe, il est magnifique mon visage

Moi : non...

Il ne me lache pas du regard.

Moi : c'est ton corp tout entier qui est magnifique et parfait

Il me regarde quelques secondes avec un sourire en coin, et se mort la lévre comme pour se retenir de faire quelque chose.

Zaim : toi tu veux vraiment que je te fasse des dingueries

Je me detache de ses bras et me met sur lui a califourchon.

Moi : pourquoi pas ? De toutes manieres on ne sera pas aussi tranquille avant quatres long et interminable jour

Il me regarde le sourire en coin toujours scotché au visage, et me serre contre lui de sorte a coller mon torce au sien.

Zaim : tu es sûr ? Parce que si je commence je ne m'arreterai pas

Moi : oui

Il rapproche son visage doucement de moi, et son regard descend vers mes levres.

Chronique de Youssra : jusqu'a ce que le paradis nous unisseWhere stories live. Discover now