Chapitre 138

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Salem aleykoum mes tomatiich♡♡🍅🍅

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《J't'ai pas perdue d'vue, t'es aveuglé par les scores, toi, t'as peur de Dieu, mais j'sais qu'ta peur de la mort 》werenoi

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La gynécologue lâche un petit rire.

Mme. Mayer : vous êtes encore plus excité que la principal concerné, j'y viens

On se met a rire, et au même temps madame Mayer s'occupe de bien scruté l'écran.

Mme. Mayer : c'est un petit garçon félicitation

Un énorme sourire s'affiche sur mon visage, je suis super contente.

Elle me pointe du doigt un endroit sur l'écran.

Mme. Mayer : vous voyez la ?

Moi : oui

Mme. Mayer : et bien c'est son penis

Moi : on vois a peine

Mme. Mayer : c'est normale, il faut juste trés bien se concentré

A force de regarder j'ai fini par voir.

Mme. Mayer : bon...

Elle me tend un paquet de mouchoir.

Mme. Mayer : veuillez essuier votre ventre, maintenant, on a fini

Moi : d'accord

Je m'essuie donc le ventre redescent mon debardeur, me léve du lit medical et met ma veste.

Je paye la ginécologue et on sort de son cabinet.

On monte en voiture, j'avais toujours cet enorme sourire collé au visage.

Dounia : alors, comment tu compte l'annoncé a zaim ?

Moi : je ne sais pas, mais une chose est sûr je ne tournerai pas autour du pot

Dounia : comme tu veux

Moi : tu veux que je te dépose quelque part, ou je te ramène chez moi ?

Dounia : dépose moi à la cité

Moi : d'accord, envoie un message au filles pour les prévenir qu'on est sortie, j'avais complètement oublier

Dounia : d'accord

Le reste du trajet s'est passé en silence, je la depose puis je vais au travail.

De la je plonge à l'intérieur de mon ordinateur et mes document.

~21h12°

Je ne rentre que maintenant à la maison, alors comme d'habitude, je met ma veste prend mon sac verrouille la porte de mon bureau a clef, presque toutes les lumières du bâtiment sont éteinte tout le monde est rentrer chez sois, il ne restais que moi.

Je prend l'ascenceur, arrivé au rez de chaussé je sort du batiment, je salut les hommes de securité, puis je prend ma voiture et je rentre chez moi.

Je vois une personne plus loin de ma voiture, marcher mais pas normalement celle-ci avait l'air d'être blessé, plus j'avance plus je remarque que c'est une jeune fille qui doit avoir quinze ans tout au plus.

Après plusieurs secondes d'hésitation, je m'arrête derrière elle, je descend de la voiture, et je vais vers cette fille.

Je pose ma main sur son épaule qui d'ailleurs était mouillé, je me rend vite compte qu'elle est toute mouillé, elle a les cheveux sale marron clair, de vieux vêtement déchiré plus exactement un t-shirt noir manche longue, un jogging beige et des pantoufles a fourrure rouge.

Chronique de Youssra : jusqu'a ce que le paradis nous unisseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant