1| La place est mienne

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𝓐𝓾𝓻𝓸𝓻𝓮

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𝓐𝓾𝓻𝓸𝓻𝓮

—    Meuf, c'est trop bien au Corée. Nous sommes tellement heureux. À vrai dire je veux même pas retourner un jour, je crois même que je vais essayer de convaincre Edward de déménager ici.

Je ressens à travers sa voix douce tout l'excitation qu'elle asperge pour ce moment irréel qu'elle y vit à présent avec son mari.

Un léger sourire apparaît sur mes lèvres en écoutant Diana me racontant ses journées exaltées réalisé avec son mari lors de sa lune-de-miel et —comment son mari lui répondait à tout ses caprices—.

Étant donné que Diana est obsédé par des kdrama son mari lui a offert un voyage en couple en Corée du Sud. Et pour l'instant elle vit sa vie de rêve.

J'étais en appel téléphonique avec ma meilleure amie tandis que je conduisais direction l'université. Ma première année en tant qu'enseignante.

Mon cœur n'arrête pas de pomper promptement contre ma cage thoracique emparé d'un puissant surexcitation de y intégrer dans l'université le plus célèbre d'Angleterre et bien évidemment l'angoisse écume ma chair d'une manière inculpé.

Je m'enfonce dans le parking souterrain qui très rapidement je suis accueillie de la présence d'un gardien. Les mains moites je lui présente ma carte qu'il accepte afin de vérifier mon identité.

— Et tu sais la meilleure de toute ça. J'ai rencontré l'acteur le plus SEXY et le plus HOT de la société —Ji Chang-wook—!

J'écarquille les yeux lorsque la voix aiguë de mon amie se répande depuis le haut parleur et ébréché la silence palpable qui s'était installée tandis que le gardien relève la tête dans un haut-de-coeur pour m'adresser un œillade chiffonné.

Il s'attendait pas de cette voix soudaine quoique moi non plus je ne pensais pas que Diana allait trouver ce moment pour me mettre dans la gêne totale.

Je m'excuse embarrassé pendant qu'il me tend ma pièce d'identité et m'offre l'accès du garage clos et limité. Je le récupère en fuyant son regard et me dépêche de pénétrer dans la pièce.

— Je vais te tuer DIANA!

— Mais que ce passe-t-il, me questionne-t-elle d'un ton ébahi. Je n'ai rien fais à part rencontrer l'idole de mon enfance.

Mes prunelles se replissent en jonction la luminosité éclairante de la pièce. Je jongle l'environnement en fouillant des yeux pour trouver un place libre.

—     Ferme-la, tu m'as fichu la honte. Le gardien qui sauvegarde le parking m'a lance un mauvais regard à cause de toi.

Je suis tout de même émerveillé par les superbes et huppes véhicules stationnés qui croisent en ce moment mes iris brillants. Ils sont installés par des numéros et n'empêchent l'une est plus belle que l'autre.

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