2| Avant-gôut

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𝓐𝓾𝓻𝓸𝓻𝓮

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𝓐𝓾𝓻𝓸𝓻𝓮

L'université est présenter par un aspect de design créatif industriel et des couleurs de tons neutres qui révélaient un milieu vif et étincelant. Les grands fenêtres à coussièges rondes rehaussaient la lumière du jour au cœur du grand hall manifestant l'anatomie du château.

Comme dans le château de la bête, dans —la belle et la bête.—

Je m'en laisserai jamais de re-regarder ce dessin animé. Mon préférée !

Les couloirs s'imposent d'un géant stupéfiant envelopper dans des séries de divers options qui sont séparés en cinq étages. Sans manquer le décor qui nous flatte en première aux yeux; les sculptures de bronze, en marbre et en plomb qui ornent l'espace sont collées au mur ou simplement installés dans le centre du hall.

C'est bizarre, mais cette endroit sent l'odeur d'un mystère défraîchie. Une évidence voilée par une souffrance qui n'a pas l'air d'avoir achevée. Comme si, si les statues auraient le droit à parole ils nous auraient raconter cette épouvantable anecdote.

Un frisson parcourt tout mon corps. Cette endroit ne m'inspire pas du tout confiance. Il semble remplie d'intrigues lymphatiques, au quotidien le jus des péchés paraît encrassé dans l'aira.

Mais qui m'a envoyé ici ? Je me sens presque dans un film d'horreur..

Je ravale mes pensées excessives et avance, relevant un peu plus cette nature auquel je passerai tout une année scolaire. La positivité se dessine sur mes lèvres laissant tout mes craintes derrière mon dos.

Ma démarche est équilibrée et rassurée, je plisse mes lèvres dans le but de rafraîchir mon gloss rose à paillettes. Pas besoin de rajouter une nouvelle couche, la marque de — fenty beauty — est résistible et dure des heures. Mes cheveux châtains foncés lisses sont rajustés en avant, sur ma poitrine.

Je rajoute mon sac — Valentino — sur mon épaule, l'autre sac contenant, mes cours ainsi que mon ordinateur, est tenu par ma main. Mes escarpins.. oh.., je suis actuellement en basket, et ce détail suffit amplement à m'irriter. Sans mes escarpins je me sens pas dans ma hauteur encore moins dans ma ère de « femme fatale. »

La preuve de ne pas faire confiance à personne, ni à ton propre mari.

Je n'aurais pas du lui accordé une tâche aussi importante pour moi. Mais ça m'apprendra. Je le ferai plus. Ma chair s'échauffe en me rappelant qu'à l'heure actuelle ils sont dans les mains de ce gamin. Tant pis, enfin..

Bon, revenons au détail de la découverte.

L'intérieur semble spectaculaire mais tout autant bordélique encombré du monde par toutes les coins possibles. Il faut savoir que même sans mes escarpins, j'ai réussi à avoir tout les regards sur moi. — Ok, j'avoue que y a à voir. —

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