Une soirée d'horreur

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Il es sur moi. Son regard et noir furieux. Il lâche mes poignets sentant que je n'ai aucune force. J'essaie de le pousser aussi je sent sa main s'abattre sur ma joue avec violence. Il ce lève du lit je le vois ouvrir sa braguette et relève ma robe. J'essaye encore et encore de le repousser. Et dit d'une voix faible.
- Nico s'il te plaît...
Je sent ma tête tourné les larmes coulent encore et encore. Je ne veux pas il prends ma taille et pousse mon corps dans le milieu du lit il défait sa cravate. Et attache mes mains rapidement sans aucune difficulté.
- Tu vas rester tranquille petite salope.
Je le sent caressé mes cuisses je les serre du mieux que je peux mais ça s'avère inutile il écarte sans aucune onse de difficulté. Je suis incapable de les bouger non c'est officiel j'ai plus aucun contrôle juste des sensations. Je tourne la tête ne voulant rien voir.
- Tu veux mourrir?
Il prends violamment mon visage et me force à le regarder.
- Tu vas me regardé te baiser.
J'ouvre les yeux avec terreur non. Pas ça en plus. Il relève une dernière fois ma robe et regarde vers mon intimité. Non non non il n'as pas le droit de me regardé. J'essaie encore une fois de refermé mes cuisses mais n'y arrive pas.
- Quel joli sous vêtement. Mais il ne te sert à rien.
J'entends le tissu ce déchiré le peu de dignité qui me resté s'envole en même temps. Je ferme les yeux je veux rien voir je rien savoir. Je sent ces mains ce posé de nouveau sur mon cou. J'ouvre les yeux paniquée et le regarde droit dans les yeux. Un sourire narquois ce forme sur ces lèvres. Il enlève ces mains et les dirigent vers mon intimité il enfonce deux doigts en moi. Il me fait mal. Il fait de violant aller retour avec ces doigts. Les larmes ce sont arrêté je n'arrive plus à pleurer. Mon visage et sans expression. Je le fixe terrifiée. Je veux qu'il arrête.
- Tu me fait mal...
Il abat une nouvelle fois sa main sur ma joue.
- Ta gueule. Tu vas être bonne à baisé. Depuis le temps que je l'attend.
Il continue à me faire mal je vois mettre sa tête entre mes jambes tout en tenant mes jambes. Malgré ma tristesse mon angoisse et ma peur quelques vagues de plaisir me traverse quand il ce met à sucer mon clitoris. Je sent sa langue me parcourir je ferme les yeux. Non je ne rien ressentir. Il reste à s'occuper de mon clitoris pendant une éternité sans me laisser jouir ce qui frustrant c'est douloureux sa fait mal. Je ne laisse presque aucun son sortir de ma gorge. Les larmes coulent de nouveau.
Jusqu'à ce qu'il ce redresse les lèvres mouillé de mon plaisir non consentant.
- Tu mouille tellement si tu te voyais tu me fait pitié. Je vais garder des souvenirs.
Je le vois sourire et sortir son téléphone puis des flash m'aveugle à plusieurs reprises. Il me prends en photos en détail. Il fini pars me montré le résultat. Je me regarde avec pitié oui je suis misérable..
- Pitoyable. Un vrai regard de soumise. Regarde sa tu as mouillée les draps.
Il coupe son téléphone. J'ai les yeux gonflés ils me font mal.. J'ai mal partout.. Je le vois baissé son pantalon je ferme les yeux mais je sent sa main s'abattre encore sur ma joue.
- Je t'ai dit que tu aller me regarder salope.
J'ouvre les yeux difficilement embrumé par les larmes. Je le sent prendre mes jambes et s'enfoncer en moi. Mon corps ce cambre de douleur et je laisse échapper un gémissement de douleur. Il laisse échapper un soupire de satisfaction. Il attend quelques secondes et me regardant.
- Enfin je vois ce regard. Ce regard terrifiée.
Il mords mon cou et me dit d'une voix chaude.
- Tu es a moi petite salope. Et tu a intérêt à ne rien dire puisque j'ai des photos je peux les publier quand je veux. Donc vaut mieux faire tout ce qu'il me plait si ça me plaît pas ils te verront tous dans cette position.
Il commence ces vas et viens brutal. Ça dure une éternité. J'ai mal. J'en veux aux garçons si ils avaient était la je ne serais pas dans cette position si dégradante. Il me regarde en souriant ces yeux remplis de luxure.
- Tu n'aura pas d'orgasme je te préviens.
Il augmente ces coups de butoir violent et des que je sent un orgasme arrivé il s'arrête et attend quelques secondes. Plus les minutes passent plus j'en ai envie. J'ai honte de moi. Il trouve finalement mon point G et le harcele pendant un long moment mais s'arrête juste à temps pour m'éviter un orgasme. Il sort de moi et me retourne la cravate me fait mal. Je me retrouve sur les épais oreillers ce qui pour résultat de me retrouver dans une position bien plus humiliante mais au moins je ne vois plus son visage.
- J'aime la levrette.. Tu permet.
Il rentre aussitôt en moi brutalement je le sent en moi il et au fond de moi j'ai mal il pousse encore et encore. Que quelqu'un vienne m'aider. Je suis son objet. Je ne sert a rien d'autre.. Il attrape mes cheveux et tire dessus. Je me retrouve la tete en arrière.
- Nico...
Merde non non pas ça..
- Mais c'est que tu aimes ça.. Tu vas avoir ta récompense.
Il tire un peu plus j'ai mal. J'ai le souffle court. Mon corps et en feu. Je pleure de frustration et dégoût je me dégoûte. Mon intimité je ne la sent plus j'entends juste le bruit qu'elle fait. J'insulte intérieurement les garçons je leur en veut. D'un coup je sent un liquide chaud et epais couler en moi.
- Merci ma salope.
Je le sent m'embrasser à pleine bouche je sent sa salive couler en moi. Je sent de nouveau sa main autour de mon cou et je lui répond timidement.
Il ce défait de moi et caresse mon visage.
- Tu es magnifique dans cette robe elle te mais bien en valeur.
Il sort de moi je m'écroule sur le lit lui commence à ce rhabille et me regardant fier de lui.
- Tu était vierge?
Je tourne la tête vers la fenêtre. Il reste silencieux.
- Désolé que ta première fois était comme ça. Je me rattraperais mais je vais attendre que le manque s'installe.
Mon cœur bat de panique. Je ne veux pas.. Mon corps m'a trahis. Le visage d'Alex ce forme dans ma tête. Je suis désolée.. Je vois Nico commencé à défaire mes liens mes mains tombent sur le matelas il ce met à les massés. Puis remet sa cravate. Moi je me trouve vers la fenêtre.
- Je vais dire que tu dors. Bonne nuit. Ma petite pute.
Je regarde la lune à travers la fenêtre et ne dit rien.
- Ta chatte me manque déjà. A très bientôt.
Je le vois sortir de la chambre et fermé la porte. Je sent son liquide sortir doucement de mon intimité. Je reste là pitoyable à regarder la nuit. Et fini pars descendre difficilement ma robe et fixe le lune jusqu'à ce qu'elle disparaissent de ma vue m'endors péniblement le haïssent.

Ils m'ont construit. Ils m'ont détruite.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant