Ils m'ont construit. Ils m'ont détruite.

Chapitre 34

Je me réveil avec des bras autour de ma taille regarde autour de moi et me souviens d'hier soir. Je me rappelle que j'ai bu. Je me souviens juste de quand ont et rentré. Et de ce qu'il c'est passé dans ce lit. Je réalise que je suis nue. Mon cœur ce met à battre très fort. Je sent une douleur à ma tête. Je ferme les yeux voulant soulagé cette douleur puis me tourne vers Alex. Et le regarde dormir puis lève mon regard vers l'heure il es bientôt 10h. Je me blottit contre lui et me détend. Oui je suis en sécurité. Je peux m'endormir le cœur léger. Le soleil passe timidement à travers les volets. Ne plus partir c'est ce que je veux. Resté dans cette bulle. Des larmes montent rapidement et regarde Alex mes doigts touche ces cheveux. Et dit dans un murmure.
- Je suis désolé tu n'as pas était ma première fois. Nico... Nico et celui qui m'as changer mais je ne peux pas en parler.
Je ferme les lèvres, les mords. Après plusieurs secondes je pose mes lèvres sur les siennes. Aussitôt ces yeux s'ouvre ces mains ce retrouve sur mes joues et approfondit ce baisé. Je le sent mordre mes lèvres. Nos langues tournent joue entre elles. Ces mains glissent dans mon cou puis vers ma taille. Il s'arrête et me regarde.
- Tu as envie?
Je le regarde et baisse les yeux vers son torse.
- Pas tout de suite j'ai pas envie...
Il embrasse mon front et me sourit gentiment.
- Pas de soucis. Tu as bien dormi?
Je sourit et embrasse sa joue.
- Oui à merveille et toi?
Il pose rapidement ces lèvres sur les miennes puis embrasse ma joue.
- Oui très bien mon amour.
Il libère ma taille et ce lève et met simplement son boxer.
- Tu veux manger quoi ma chérie?
Je m'assois dans le lit tout en cachant mon corps en haussant les épaules.
- Ça aide pas ça mon cœur..
Je baisse les yeux en rougissant.
- Désolée..Je..
Il ce penche vers moi et m'embrasse furtivement. Puis continue de s'habiller rapidement.
- Je vais chercher le petit déjeuner je reviens vite. Je te laisse ça.
Il pose une cinquantaine d'euros en billet je n'ai pas le temps de répondre qu'il es déjà parti. Je me laisse tombée sur le matelas et fixe le plafond. Il vas prendre un petit moment. Je me lève d'un coup et prends mon sweat et mon jean pour m'habiller rapidement. Je prends la clé sur la porte et sort dehors l'air marin m'apaise aussitôt ferme derrière moi. Pour montrer le plus haut possible m'asseoir sur un mur les pieds dans le vide. Je sort mon paquet de cigarette et en allume une. Je réalise que je n'ai pas pris mon téléphone. Puis regarde en contre bas. Ma nuque ce briserai rapidement ce serait pratique. Mes doigts ce serre autour de ces billets et me tourne vers l'abbaye.. Je paye l'entrée rentre fait le signe de croix pars respect et tourne dans l'abbaye jusqu'à croisé un homme d'église. Je lui sourit maladroitement puis m'assois sur un banc d'église et je reste là à fixé les murs le sol et tout autour de moi. Après un long moment je me lève et fait demi tour. Je croise le même homme hoche la tête et me dirige vers la sortie. De nouveau je fais le signe de croix. A peine je sort je sent un Alex attrape ma main et me colle à lui.
- Putain enfin.
Je me décale de lui et lève mon regard vers lui.
- Qu'es qu'il y a ?
Il enlève ma capuche met sa main dans ma poche et en deux cigarettes. Ont les allument et commence à fumer.
- Depuis quand tu es chrétienne ?
Je secoue la tête négativement. Et lui sourit gentiment.
- Je m'intéresse à toute les religions mais attaché à aucune.
Il me regarde plusieurs secondes et sourit.
- Tant mieux je n'aurais pas à rentrer dans une église comme ça. Je t'ai cherché pendant mille ans j'étais à deux d'y rentrer.
Je le regarde surprise pars ces deux phrases. Il prends ma main et me tire vers la maison. Je remet ma capuche et je l'entend soupirer.
- C'est quoi cette habitude à te caché? J'hausse les épaules et met le reste de l'argent dans sa poche.
- Tiens je supporte pas d'avoir de l'argent sur moi.
Je le vois sourire et ont arrive à la *maison*. A peine rentré sent l'odeur de croissant de pain au chocolat. Il me pousse vers le lit et me force à m'asseoir. Je me cache sous les draps voulant me réchauffée rapidement. Je le vois revenir avec beaucoup de chose dans les mains. Il s'assoit derrière moi et embrasse mon cou.
- Mange ce que tu veux mon amour.
Croissant tarte au citron meringué pain au chocolat macaron. Je me tourne vers lui.
- Tu veux manger quoi toi?
Il regarde plusieurs secondes ce qu'il y a devant nous et me dit à l'oreille avec une voix chaude.
- Je mangerai bien tes lèvres.
Instinctivement j'humidifie mes lèvres.
- Je vais prendre ça pour une invitation.
Aussitôt je sent ces lèvres sur les miennes et ces mains passé sous mon sweat ces mains sont chaudes c'est agréable. Je ferme les yeux voulant profiter de ce moment. Effectivement je suis définitivement en sécurité près de lui et des garçons. Il ce redresse et prends un macaron. Et dit tout en mangeant.
- Chais bon t'ai contente ?
Je sourit et prends un croissant. Et le mange en le cassant en morceau. Et lui tend un pain au chocolat.
- Un macaron vas pas te suffire mange encore.
Il regarde ce que j'ai dans les mains et secoue la tête négativement. Mon sourire ce dégrade lentement.
- S'il te plaît Alex..
Il ce lève j'entends le micro ondes et ramène deux grands gobelets fumant.
- Café caramel vanillée ça te vas?
Je sourit et prends ce qu'il me tend.
- Attention c'est chaud.
Il pose le sien sur la table de chevet et enlève sa chemise je rougit aussitôt.
- Soit pas gênée ont n'ai plus à ce stade depuis un moment.
Il viens ce rassoir derrière moi et commence à boire son café. Je continue de manger tranquillement jusqu'à ce que Alex prend un morceau de macaron que j'avais déjà à moitié dans la bouche. Je le regarde surpris.
- Quoi je préfère manger comme ça c'est beaucoup plus intéressant.
Après un déjeune remplis de tension sexuel et de sous entendue de sa part je me sent fatiguée et je baille.
- Ça te dérange pas si je dors un peu... Boire hier ma pas fait de bien.
Lui était entrain de ranger me regarde.
- Tu t'en ai pas plainte hier soir bien au contraire.
Mes joues ce mettent à chauffer dangereusement et me cache dans mon sweat.
- T'ai mignonne quand tu dors couche toi j'arrive.
Je me couche aussitôt et enlève mon jeans et ferme les yeux je l'entend fermé les volets ce déshabiller et venir ce coucher m'embrasser et je m'endors rapidement