chapitre 1

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-15 ans en arrière -

- nous somme dans le regret de vous dire qu'il n'y a aucun survivant monsieur Leoni.

Les oreilles sourd, assise sur une chaise dans la salle d'attente, Niccólo ne savait pas s'il avait vraiment entendu ce que le médecin venait de lui dire.

- vous pouvez retrouver leurs corps dans la semaine le temps que la police puisse faire son enquête.

Niccólo se leva brusquement dominant malgré son jeune âge la doctoresse.
La police?
Que pouvait faire ces bons a rien.

Le médecin recula et essaya de garder une contenance.

- je voudrais récupérer leurs corps toute suite ! Exigea t-il les yeux sombres.

- mains enfin cela mettrait en péril l'enquê...

- j'en ai rein a foutre de votre enquête je veux récupérer les corps de ma famille alors vous serez gré de m'écouter avant que j'ai recours a d'autre méthode moins clémente.

Bouge bé, la pauvre dame ne savait pas s'il devait juste faire ce qu'il dit ou alors attendre les suggestions de la police. Puis enfin elle lui accorde le droit de récupérer les défins.

Le visage de Niccólo était déformé par la rage. Une émotion jusque là inconnu. Oui tout avait changer ce soir.
En cette soirée pluvieuse sa vie avait changé a jamais ainsi venait de naître un nouveau Niccólo Leoni.

- présent -

Assis dans son bureau les pieds croiser, Niccólo essayait de se détendre avec son ver de whisky en main attendant les résultats avec impatience.

Enfin son téléphone sonna l'informant de leurs arrivé.

- Et donc messieurs, qu'elles sont les nouvelles ? Avez vous du nouveau ? Avait t-il demandé la mine grave.

Oui avec la mine grave, car les visages qui étaient devant lui n'envisageait rien d'acceptable dans sa tête.
Puis l'un d'entre eux eurent le courage de prendre la parole.

- nous sommes sincèrement désolés monsieur Léonie. Nous n'avons pas beaucoup avancée depuis la dernière fois.

Niccólo prit une grande respiration avant de laisser sa colère passer sur l'un d'entre eux.
Il en avait plus qu'assez. Cela fait maintenant quelques années et aucun changement. A chaque petit pas il y avait quelques choses pour les freiner, c'était quoi cette fois?

Son visage impassible revint, ce qui donna la force a l'homme de continuer ses explications.

- nous avons trouvé quelqu'un a interroger mais celui-ci n'est pas vraiment en mesure. Continua l'homme.

Niccólo leva un sourcil curieux.

- est t-il mort ? Demanda t-il

- non! Mais plutôt inconscient dans un hôpital a New York.

Andreï se leva avec une lenteur calculée et surtout terrifiante pour les hommes devant lui qui essayait d'enticiper le moindre mouvement alors qu'il avait ses yeux noir passée d'un a un sur leur visage.

- et bien qu'est-ce que nous attendons messieurs ?

...

Les orteils douloureux dans ses talons Anja souffla de fatigue. Elle n'était toujours pas habitué et peut être que cela ne sera jamais le cas.

Anja aimait son métier, bien qu'elle n'était pas médecin et qu'elle ne sauvait pas de vie mais elle y contribuait un peu.
Infirmière depuis maintenant deux ans dans cette hôpital, elle essayait de s'habituer du fait qu'elle passait ses journées sur des talons. Pas tellement pratique au moment où il fallait courire pour les urgences. Mais que pouvait t-elle faire, remettre ses converse pour que ses collègues recommence à se moquer d'elle?

Elle avait fini par mettre des talons n'ont pas parce-qu'elle se laissait faire, mais parce qu'elle avais du mal a se concentrer quand le centre de l'attention était porter sur elle car les rumeurs circulent très vite.

Anja poussa un soupir de soulagement quand ses pieds toucha le seuil de sa maison.
Enfin libre.
Mais pour combien de temps ?

Depuis qu'elle avait commencé ce travail elle n'a jamais penser à prendre des congés, et maintenant son corps avec les courbatures lui rappela qu'il était temps.
Il était temps de donner a son corps du repos, mais elle avait quand même l'intention de terminer ce moi.

Comme d'habitude à trop penser, elle s'endormit allongée sur le lit.

La nuit était déjà tombée, encore dans les bras de Morphée son téléphone sonna la réveillant.

C'était Léa sa meilleure amie mais surtout la seule a être restée depuis la fac.

Elles étaient très différentes toutes les deux et c'est peut être pour cela que leur amitié durait. Elle avait beaucoup de choses à apprendre l'un de l'autre.

- allô ?

- prépare toi ma chérie ce soir c'est la fête. Avait crié son amie dans ces oreilles.

Anja éloigna le téléphone de ses oreilles avant de répondre à son amie. D'après les bruits et la musique qu'elle entendait a travers le téléphone, elle était forcément dans une boîte de nuit.

- non Léa sans façon! Et toi aussi, tu devrais rentrer ! La sermona t-elle.

- oh, fait pas ton rabat joie, ça fait longtemps qu'ont a pas passer de temps ensemble, viens me trouver a l'endroit habituel.

- tu es ivre ? Demanda Anja un peu inquiète.

- mais non, je suis parfaitement ludice, euh je voulais dire lucide. Bafouilla son amie.

Sans répondre, Anja raccrocha et contacta Stéphane afin qu'il aille la récupérer au plus vite. Celui-ci accepta direct, il ne dira jamais non pour quelques choses qui concerne Léa.

Enfin elle pouvait se reposer pour être en forme pour la journée chargée qui l'attendait demain.

La ville demeurait inchangé. Cela fait pourtant un moment qu'il n'y avait pas mit les pieds. Pourtant New-York demeurait toujours un lieux pleine de mystère.
Niccólo était enfin prêt à agir.
Garé devant l'hôpital il attendait la notification des informations sur la porte de la chambre dans lequel il devait pénétrer et qui peut être renfermait le secret de la tentative pour décimer les Leoni.

Puis enfin il pénétra dans l'hôpital, c'est sans surprise pour lui que quelques personnes le reconnaît. Après tout, il était l'une des personnes les plus dangereux de l'Italie.
Il se dirigea droit vert le deuxième étage de l'hôpital le visage toujours sombre et impassible.

Presque arrivé devant la chambre, en raison de sa hauteur éternellement grand, il ne voyait pas la jeune femme venir. Et c'est ainsi qu'ils se sont percuté.

Anja pensais qu'elle allait s'étaler par terre mais non. Une main la retenait fermement contre un corps massif et musclé qu'elle avait comparé quelques secondes plus tôt par un mur a cause de la dureté de celui ci.
Elle leva la tête jusqu'à se faire mal a la nuque pour pouvoir mettre un visage sur ce corps.

Alors qu'elle aurait dû faire plusieurs pats en arrière, elle n'en fut rien.
L'homme devant lui était s'en doute l'homme le plus beau qu'elle ai vu de sa vie mais aussi le plus terrifiant.

Son visage était sombre ajoutant encore sur ces yeux noirs. Il était affreusement grand et son corps était comme tailler a la perfection. Ses mains qui reposait sur sa taille était eux aussi grand. Et la chemise noir qu'il portait qui mettait en valeur les tatouages sur ces avant bras qui semblait continuer plus haut lui allait parfaitement bien.

- voulez vous que je l'enlève ?

Sortie de sa trompeur, Anja cligna plusieurs fois des yeux essayant de comprendre ce qu'il voulait dire par là.

- qu- quoi? Bafouilla t-elle.

Un rictus sur les lèvres, le bel inconnu s'emblait se moquer d'elle.

- la chemise, voulez vous que je l'enlève ? Re demanda t-il toujours avec son sourire insuffisant.

Mon Cœur En Otage Where stories live. Discover now