Mon Cœur En Otage

chapitre 5

- mais c'est avec plaisir ma tigresse.

Anja recula après sa phrase. Puis elle s'enfuit de l'autre côté de peur qu'il l'a prenne au mots.

Arrivez a un autre couloir où elle se sentait en sécurité avec la présence des autres elle essaie de reprendre son souffle. Puis elle continua jusqu'aux hommes de la sécurité pour les prévenir de l'acte de l'homme.

Après les avoir prévenus, elle se dirigea au toilette afin de se passer de l'eau sur le visage et de reprendre ses esprits. Elle se regarda quelques secondes dans le miroir. Elle ne voyait qu'une fille banale les très fatiguée a force de perdre des heures de sommeil.
Et elle se demanda si elle ne venait pas d'échapper a la mort de la main de ce fou sortit de l'asile.

Elle sortit des toilettes et alla directement dans le bureau de son directeur, elle a prenait ses vacances dès aujourd'hui. Elle ne voulait plus prendre le risque de le recroiser.
Et son patron était plus que ravie de savoir qu'elle allait anfin pouvoir se reposer après des mois de travail acharné.

Alors elle prit ses affaires, et c'est sans regarder en arrière qu'elle quitta l'hôpital.
Elle n'avait pas prévenue sa mère de ses vacances, elle voulait la faire une petite surprise. Cela fait un moment qu'elle ne l'avait pas vu. Et elle comptait aller la voir et passer quelques temps avec elle.

Anja était assez proche de sa mère. Elle n'avait qu'elle de toute façon. Son père l'avait abandonnée depuis petite, elle ne se souvient même plus de lui.
Sa mère a toujours été vague quand il est sujet de parler de lui et le pire encore c'est qu'elle le défendait parfois. Surtout quand Anja le blâmait du fait qu'il ai laissé une famille derrière lui.

Avait t-elle tort ?

Avait t-elle tort de le blâmer du fait qu'elle ai grandit sans père. Quel sa mère a dit se battre toute seule.

Non

Il méritait chaque mots blessant qu'elle ai pu sortir de sa bouche depuis qu'elle avait l'âge de comprendre.

Perdu dans ses pensées Anja ne remarquait pas qu'elle était déjà sortit de l'hôpital.

Malgré son envie de marcher, elle décida de prendre un taxi afin de la déposer chez elle.
Si elle se perdait encore dans ces pensées elle allait encore se mettre a l'insulter son père.

Puis son téléphone sonna, c'était sa mère.

- enfin, depuis tout à l'heure je t'appelle.

En effet, Anja avait louper ses appels manqués.

- mais maman tu sais bien que je n'ai pas le droit au téléphone quand je travaille.

Elena Mirov souffla, elle savait très bien où était le problème.

- j'espère que ce n'est pas a cause de la dernière fois jaja. Je t'ai dit que je n'étais pas encore prête.

Anja souffla légèrement.
Encore cette histoire

- oui maman ça fait déjà 24 ans que tu me le dis, je connais la chanson.

Anja écouta les dires de sa mère en même temps qu'elle monte dans le taxi qui venait d'apparaître devant elle.

- tu me comprends ma chérie ?

- oui maman, qu'est ce que tu veux que je te dise de plus. De toute façon c'est entre toi et lui, moi j'ai déjà réglé mes comptes toutes seules. Articula Anja.

Elle donna l'adresse au taximan.

- d'accord maman on se voit bientôt.

Anja raccrocha et colla sa tête a la fenêtre de la voiture.
Et encore un dispute.
Bien sûr le responsable était toujours son père.

- monsieur, je pense que vous vous êtes trompés d'adresse, vous venez de passer le chemin là. Dit Anja .

Mais l'homme ne semblait pas l'écouter et continuait toujours tout droit et pris d'un coup une petite route.

Mais quel poisse, c'est quoi cette journée pourri, pensa Anja.

La voiture s'arrêta au millieu de la route et elle ne pris pas une seconde pour ouvrir la portière de la voiture. Mais a peine sorti qu'elle tomba nez a nez avec le fou de l'asile.

Non

Pourtant c'était bien lui qui se dressait devant elle. Toujours aussi sombre, avec ses gardes du corps derrière lui qui n'arrangeait pas les choses.

- re-bonsoir ma tigresse.

Sans qu'elle ne puisse faire quoique ce soit, Anja sentit son corps la lâché et elle se laissa aller.

Niccólo la rattrapa de justesse et ne pu s'empêcher de pousser un petit rire.

- messieurs, allons y !

***

- ne vous inquiétez pas monsieur Léonie, elle s'est juste évanoui a cause du choc, elle ne devrait pas tarder à se réveiller.

Assis sur le sofa décontracté, Niccólo fit simplement un signe de tête au médecin la tête pleine de penser.

- bien, vous connaissez le chemin. Avait t-il dit finalement.

Habitué à ce genre de traitement, le médecin se dirigea a la porte de sortie. Sachant que malgré se foideur, il recevra sa paye généreusement sur son compte en banque.

Niccólo se redressa et regarda les cheveux noirs corbeaux d'Anja éparpillés sur le lit, puis ses cilles qui se battait.

- bloquez toute les issues. Dit il au téléphone.

Et ensuite...ses magnifiques yeux émeraude.

Elle s'était réveillée.

Anja pris quelques secondes avant de réaliser ce qu'il se passait.
Elle sur le lit d'un fou qui venait de l'enlever.

Maintenant, c'est maintenant qu'elle autorisa les larmes de venir. Après tout elle ne pouvait plus les retenir.

Qu'est ce qu'elle avait de si horrible pour ce retrouver dans cette situation.

Anja se redressa sur le lit tournant la tête partout cherchant un issus de secours ignorant totalement l'homme qui est assis en face du lit.
Elle sauta du lit lorsqu'elle aperçoit la porte de la chambre. Mais bizarrement l'homme ne fit rien, il esquis simplement son rictus habituelle.

Anja n'y prêta pas attention et alla a la porte pour sortir de ce cauchemar.
Mais elle trouva celle ci fermer.
Elle tambourinai de toute ses forces mais rien y faire.

- cela ne sert a rien de t'acharnée sur la porte. Avait dit l'homme quel voulais fuir.

Elle se retourna doucement et se colla a la porte. Les larmes au yeux.

- qu'est ce que vous me voulez ? Demanda t-elle.

- allons, ça te dégoûte tant que ça d'être dans une chambre seule avec moi.

Il s'était levé et faisait des pats dans sa direction.

- pourtant ce n'est pas cette impression que j'avais tout a l'heure. Continua t'il en même temps que ces pas.

Les sanglots d'Anja se doubla quand elle aperçois le bout de quelques choses attachée à son pantalon.

Mon Dieu, alors c'est içi que tout allait se terminer ? Ou sont ces rêve, elle était pas prête à mourir. Elle ne s'était même pas encore mariée.

- je suis habituée à du fait que les femmes tombent tous a mes pieds, mais jamais au sens propre.

Puis il arriva complètement devant elle.

Les pensées d'Anja défilaient rapidement dans sa tête. S'imaginant de nombreuses fois comment elle allait mourir.
De ces mains, de cette armes planqué dans son pantalon ?

- allons, ne pleure pas. Ou est passé ma tigresse ?

Tout ce qu'elle savait c'est qu'elle ne voulais pas mourir tout suite.
Alors elle fit quelques choses qu'elle n'aurait jamais pensé faire.

Elle profita Di fait que l'homme ne faisait pas attention et elle saisit son arme pour la pointé sur lui.