III

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Les cinq enfants, dont Manon et Alicia, furent emmenés dans une voiture. Ils étaient installés à l'arrière, mais leurs mains furent attachées, et ils étaient incapables de voir l'extérieur. L'atmosphère dans la voiture était tendue et remplie d'anxiété. Ils se posaient tous des questions sur ce qui allait se passer ensuite. Pourquoi étaient-ils conduits quelque part en étant attachés ? Où étaient-ils emmenés ? Les questions tournaient dans leur esprit, mais ils n'avaient aucune réponse. Le silence régnait dans la voiture, à l'exception du bruit du moteur et des légers mouvements des enfants. Ils étaient inquiets pour leurs amis restés à l'école, ne sachant pas ce qui se passait là-bas. Manon et Alicia se serraient la main en signe de soutien, sachant que leur amitié était leur seul réconfort dans cette situation troublante. Alors que la voiture continuait de rouler, les enfants se demandaient ce qui les attendait à destination. Ils savaient qu'ils devaient rester calmes et vigilants, en espérant que quelqu'un pourrait bientôt expliquer la situation et leur donner des réponses à leurs questions. Après un trajet en voiture de plus de cinq heures, la voiture s'arrêta finalement. Les cinq enfants furent détachés et sortirent de la voiture, encore perplexes sur leur destination. Ils se tenaient en file indienne, regardant autour d'eux pour essayer de comprendre où ils se trouvaient. Ils avaient été emmenés devant un immense bâtiment qui ressemblait à un hôpital. L'endroit était imposant et intimidant, avec des lumières vives et une atmosphère clinique. Les enfants se sentaient désorientés et inquiets face à cette situation. Un adulte les attendait à l'entrée du bâtiment. Il se présenta comme un membre du personnel de l'établissement et expliqua brièvement qu'ils avaient été conduits ici pour un examen médical. Cependant, il ne donnait pas beaucoup de détails sur ce qui se passerait ensuite. Les enfants se sentaient méfiants et confus, mais ils n'avaient pas d'autre choix que de suivre les instructions. Ils pénétrèrent dans le bâtiment, les uns derrière les autres, se demandant ce qui les attendait à l'intérieur de cet endroit énigmatique qui ressemblait à un hôpital. L'incertitude régnait toujours. Les cinq enfants furent conduits dans une grande salle qui ressemblait à une salle de bains commune. Il y avait des rangées de douches ouvertes, sans aucun espace privatif. Cette salle était déjà occupée par d'autres jeunes, ce qui ajoutait à la confusion des nouveaux arrivants. L'atmosphère était tendue, et les cinq enfants se regardaient, de plus en plus inquiets quant à ce qui allait se passer. Ils ne comprenaient toujours pas pourquoi ils avaient été emmenés ici et pourquoi ils étaient rassemblés dans une salle de douches commune. Un adulte qui semblait faire partie du personnel de l'établissement expliqua que tous les jeunes devaient passer par un processus de vérification et d'évaluation. Il demanda aux enfants de se déshabiller pour qu'ils puissent être examinés. Cela suscita de l'inquiétude et de la gêne parmi les enfants. Ils se sentaient vulnérables et mal à l'aise d'être déshabillés devant des inconnus, d'autant plus que cette procédure semblait publique, avec d'autres jeunes présents dans la salle. Les cinq enfants échangèrent des regards anxieux, ne sachant pas comment réagir face à cette situation inhabituelle. Après s'être déshabillés devant les autres, les cinq enfants furent informés qu'ils devaient prendre une douche. La situation était de plus en plus gênante et humiliante, car ils se trouvaient dans une salle de bains commune, complètement exposés à la vue de leurs pairs et du personnel de l'établissement. Ils essayèrent de rester dignes et de préserver leur intimité du mieux qu'ils pouvaient, mais la situation était très difficile à vivre. La douche, normalement un acte quotidien privé, était devenue une procédure publique et dérangeante. Pendant qu'ils prenaient leur douche, les enfants se sentaient vulnérables et mal à l'aise. Ils se demandaient pourquoi ils devaient subir cette vérification et quelle était la raison de toute cette procédure. Après avoir terminé leur douche, les cinq enfants furent surpris de constater qu'on ne leur donnait aucun vêtement pour se couvrir. Ils se retrouvèrent nus et frissonnants dans la salle, ne comprenant toujours pas pourquoi ils étaient là ni ce qui allait se passer. On leur demanda alors d'aller dans la salle voisine, où des lits non confortables étaient alignés, accompagnés de chaises et de feuilles de papier. La configuration de la pièce ne ressemblait en rien à un environnement hospitalier classique. La tension était palpable dans la salle lorsqu'une dame se présenta à chaque lit et demanda à chaque enfant de s'allonger, tout en leur demandant de mettre les mains au-dessus de la tête. Les enfants obéirent, se sentant toujours vulnérables et anxieux face à cette situation mystérieuse et inquiétante. Alors qu'ils étaient allongés sur les lits avec les mains au-dessus de de la tête, chaque femme présente dans la salle les attacha avec des menottes à une barre au-dessus de leurs têtes. Cette mesure renforçait encore davantage leur vulnérabilité et leur sentiment d'impuissance. Les enfants se sentaient totalement pris au piège. Ils ne pouvaient plus bouger librement, et leurs mains étaient immobilisées, les empêchant de se couvrir ou de protéger leur intimité. L'inquiétude grandissait parmi les enfants, car ils ne savaient toujours pas pourquoi ils subissaient ces procédures intrusives. la dame entreprit un examen minutieux, vérifiant leur corps sans cérémonie. Cette procédure les faisait se sentir encore plus exposés et impuissants. Les cinq enfants se regardaient les uns les autres, partageant des regards d'incompréhension et d'inquiétude. Ils ne savaient toujours pas pourquoi ils étaient soumis à cet examen et quel était le but de tout cela. L'horreur et la perplexité atteignirent leur paroxysme lorsque les dames, après avoir pris des notes sur leurs fiches, saisirent des rasoirs et commencèrent à raser les poils pubiens d'Alicia, Manon et les deux autres fille ainsi que le garçon. La situation devint rapidement insoutenable, et les larmes commencèrent à couler des yeux des enfants. Alicia, Manon et les autres filles étaient choquées et terrifiées par ce qui se passait. Elles pleuraient à chaudes larmes, se sentant dégradées et humiliées. La douleur de la situation était insupportable, et elles ne comprenaient toujours pas pourquoi elles étaient soumises à un tel traitement. Les dames continuaient leur tâche sans montrer la moindre émotion, rendant la situation encore plus traumatisante pour les enfants. Les cris et les pleurs emplissaient la salle, créant un tableau de désespoir et de confusion. L'horreur de la situation était indescriptible, et les enfants ne savaient pas comment ils pourraient faire face à cette nouvelle épreuve. Ils se sentaient totalement impuissants et désespérés, espérant que cette épreuve s'achèverait bientôt et qu'ils obtiendraient enfin des réponses à leurs questions.

Le camp de régression Où les histoires vivent. Découvrez maintenant