Chapitre 4

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Miguel/Michou.

Le camion pouvait seulement contenir cinq place, donc sans hésiter, le prénommé "JD" en a assommé deux pour les mettre dans le coffre de cette dernière, mais voyant à nouveau que ça ne marchait pas, il s'est retourné vers ses hyènes et leurs à dit de les prendre avec eux.

La voiture était serrée, ce qui déplaisait grandement au blondinet, forcé d'être assit sur les genoux du demi Algérien. Sa tête aurait put le faire hurler tellement il avait mal, mais s'en empêchait, ce disant que la douleur finirait par disparaître à un moment où à un autre.

Il regardait le paysage défilé sous ses yeux plissés, il envoyait quelques oeillades en diagonale de lui au chauffeur qui se fichait complètement de se qui se passait à l'arrière. Il était assit au milieu du banc.

Le blond s'est demandé pourquoi il était toujours en vie, pourquoi il les traînait simplement à la dark zone avec eux ?

Entretemps, parce que ladite zone et l'avant post N'70 était tout de même à la même distance que ce dernier avec le QG, il se permit de somnoler, son crâne paraissait si lourd et ses paupières aussi, c'était une véritable torture de ne pas pouvoir amenuiser cette souffrance.

À un bref tournant, il a posé sa tête sur l'épaule du garçon derrière lui, et n'a jamais prit la peine de la relevée. Plusieurs minutes plus tard, il put sentir deux bras s'enrouler autour de sa taille, mais bon, est-ce qu'il était prêt à risqué sa vie juste pour se débattre à cause d'un petit geste tel que celui-ci ?

À un moment donné, il s'est juste.. endormi.

Pdv Miguel/Michou.

Quand j'ai rouvers les yeux, j'eus le réflexe de me redresser vivement, mauvais mouv parce que j'avais quatre fusils pointé sur moi, en direction de ma tête.

Gloussant bruyamment, je laisse le brun m'entraîner contre lui, l'une de ses mains sur mes clavicules, et la seconde, environ sur mon nombril.

Je calmais ma respiration saccadée, tout en regardant mes collègues, l'agent Amixem était si calme, il était posé pratiquement entre le siège conducteur et les jambes de celui appeler Théodore.

Je tourne mes yeux vers la droite où était posé le métis et Jordan. Ce dernier semblait si en colère, le moindre mouvement de l'un comme de l'autre semblait enragé le second. La hyène avait une poigne de fer sur le poitrail de l'agent, et l'autre était cacher derrière eux, mais dès que la voiture sautait, les mains de l'homme aux yeux verts fluorescents semblaient se déplacer légèrement et l'agent Joyca bougeait pour sortir de l'emprise de celui sous lui. Entretemps mon supérieur hiérarchique avec été réattaché, au niveau de ses poignets dans son dos.

Je regardais l'heure sur l'horloge numérique et vis que ça faisait pratiquement une heure trente qu'on roulait.

J'ai sentis une main se déplacer doucement et lentement, des doigts se posèrent sur mes cheveux, je m'attendais à ce qu'il les tire, qu'il les maltraite comme j'ai tant pus le voir faire par ses congénères, traîné les miens sur plusieurs mètres, mais rien de tout ça, il a simplement caressé mon crâne lentement, sans rien dire.

Je me laisse faire, et apprécie juste les caresses offertes, tout en me rappelant que c'était les seules que j'avais reçu depuis cette fameuse année, il y a dix ans, il n'était pas bien vieux à l'époque, mais il se rappelait très bien que son père l'avait rapidement oublié, ne le calculant même plus. Et se disant que ça allait sûrement être les dernières qu'il allait recevoir de sa vie.

Je regarde le paysage qui n'avait plus rien à voir avec l'avant post N'70, tout ici était complètement ruinées, bien-sûr chez nous aussi, mais là, on aurait juste dit un massacre.

Je m'enfonce dans le torse derrière moi, espérant d'une certaine façon que "Inoxtag" ne le remarque pas. Je ne voulais pas avoir l'air vulnérable ou bien faible, mais disons que je n'étais rassurer.

J'ai passer ma vie sur le champs de batailles, comme Joyca, j'étais plus jeune certes, mais on a toujours été ensemble et je ne voulais pas l'agacer. Mais bon, je dois dire que personne n'est rentrer dans la dark zone en étant sur dans ressortir, parce qu'il est à 99,99% de chance qu'on en sortirait pas vivant de là-bas.

- Enfin ! Fit la hyène à ma gauche.

xXx-xXx-xXx xXx-xXx-xXx

Ça à prit environ une quarantaine de minutes de passer les portes de la dark zone et d'aller à leur base.

J'observais à l'extérieur, il n'y avait que des personnes aux yeux verts flashs, partout, ils nous regardaient passer dans notre petite voiture qui ne payait pas de mine.

Quand on arriva dans une immense bâtisse, simple, pas trop en ruine et visiblement bien solide, tout le monde commença à descendre et je les imite sans un mot.

- J'ai des choses à régler, donc ces agents, vous en faites ce que vous voulez mais comprenez moi.. Fit le rouquin en se tournant vers ses sbires. Je.Ne.Veux.Pas.Qu'Ils.S'Échapent ! Gardez les avec vous, ou mettez les en cellules, si un seul d'entre eux part, je vous tuerais tellement lentement que vous me supplierez de vous en mettre une entre les deux yeux.

Je déglutis quand il pose ses iris luisantes sur chacun des agents présents, sur moi.

Quand il partit avec le grand Jd, je souffle, bien que cet instant ne dura qu'un instant.

- Question. Fit alors celui qui avait gardé Amixem sur lui durant le trajet. Est-il raisonnable de les laisser tous ensemble ?

- Clairement pas ! Fit Mastu tout en étant entrain d'empêcher Joyca de s'enfuir, puisque qu'il se débattait comme une force née.

Inoxtag se retourna soudainement quand un duo d'hommes passèrent proches.

- Hey, Christopher et Seb, j'aurais une faveur à vous demandez !

Un grand blond et un brunté se tournent vers nous, avant d'agripper leurs flingues à notre vue.

- Hey, les mecs, les blessés pas, se sont les biens de Cyril.

À cette annonce, leurs regards s'apaisent et leurs membres se détendirent.

- Vous pouvez gardez ses deux là dans vos appartements, il faut pas qu'ils soient ensemble, mais on a pas trop envie de les mettre en cellules, vous savez à quel point c'est peu sûr là-bas. Fit Théodore en poussant les deux Valentin vers eux.

- Nous, on prend ceux-là. Ce sont les pires. Lâcha finalement le métis tout en essayant de garder calme son agent.

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