The Whip - SAM

Chapitre 1

SAM

Je me demandais un instant pourquoi j'étais là se soir, deux ans que je n'étais pas venu. Bien sûr que sa me manquait mais je me rappelais aussi pourquoi j'avais arrêter de venir. Je saluais le vigil à l'entrée et lui tendit ma carte de membre, après l'avoir scanner il m'ouvrit la porte. Je pénétrait dans se lieux si familier qui n'avait pas l'air d'avoir changé, " The Whip" avait été comme une deuxième maison pour moi pendant très longtemps et y revenir me rempli d'un sentiment d'appartenance.
Les vestiaires étaient toujours les même malgré que je ne reconnaisse pas le boy en charge des lieux. Il me pris mon manteau tous en me déshabillant des yeux et esquissant un petit sourire. Un claquement de langue de ma part et il abaissa son regard au sol.

Une fois dans la salle je pris le temps de détailler ses lieux qui avaient fait parti de mon univers pendants de si longues années.Bien sur je voyais les autres dominants me regarder et chuchoter. La rumeur de ma venu allait faire rapidement le tour des lieux et je sentis l'anxiété en moi se propager.

Je me dirigeai vers le bar pour commander un verre et m'assis sur un des tabourets dans l'angle du bar de façon à pouvoir avoir une vu dégagée sur la salle.
Il ne fallut pas longtemps pour que l'un des barmans se présente devant moi.Je le reconnus de suite même si je n'avais jamais jouer avec lui son visage m'étais familier.

- Bonsoir, un perrier citron. Lucas demandais je.

-Tous de suite Monsieur, ravi de vous revoir dit-il.

- Moi aussi Lucas, tu as l'air en forme remarquais je.

Je l'observais plus attentivement c'était un grand gaillard, je remarquais de nouveau tatouage sur son torse toujours aussi bien sculpté, son pantalon le moulait au bon endroit, et mon regard s'attarda sur ses fesses rebondis. Je me demandais pensant un moment pourquoi il n'avait toujours pas de collier.
Je me tournais pour observer la scène où un trio était en pleine démonstration, le soumis se faisait cravacher par un dominant alors qu'il en suçait un autre. Le son, les bruits et les gémissement tous cela me remettait en mémoire des besoins trop longtemps négligées.

- Bonsoir Sam, sa fait longtemps depuis ta dernière visite.

-Bonsoir Maitre John. Oui sa fais un moment mais tu en connais la raison répondis je.

Il me sourit et me sembla tous d'un coup dans l'attente que je poursuive.
Mais ne souhaitant pas faire remonter des souvenirs, je reportai mon regard dans la salle ou se trouvait beaucoup de nouveaux visages mais aussi des familiers.

- Il n'est pas ici, tu sais qu'il ne joue pas le week-end me dit-il.

Je détournai mon regard de la salle et le posait sur lui. En deux ans il n'avait pas changé, toujours aussi élégant dans son pantalon de cuir et sa chemise blanche. Un peu plus de cheveux gris mais sa lui allait bien,sa lui donnait une allure distingué. Il avait été mon mentor à mes débuts quand je n'étais qu'un débutant hésitant, il étais celui qui me connaissais le mieux.

- J'attends depuis un moment que tu reviennes dans la partie. Attends tu un invité ? Ou es tu ouvert au rencontre s'enquiéra t'il.

- Je n'attends personne et ne suis pas en recherche d'un soumis. Je cherche un esclave 24h/24 à domicile et exclusif expliquais je.

Il me fixa d'un air étonné car c'était un grand changement pour moi mais ne me posa pas de questions, puis il sembla réfléchir.

- Je te laisse faire un tour et te re familiariser avec les lieux. On a fait quelque changements déclara t'il.

Il s'éloigna et je me reconcentrait sur la nouvelle scène où avait débuté une séance de shibari. Le dom semblait très compétent au vu de la complexité de la scène et le soumis très réceptif si j'en jugeait son érection. Cette pratique n'est pas pour les amateurs il faut de l'entraînement pour que le dominant réussisse la complexité de nœuds sans provoquer de douleur ou de gêne au soumis mais il faut aussi que le soumis est une grande confiance en son dominant et une bonne souplesse.
Je restait encore un moment à scruter la salle à la recherche d'un soumis qui retiendrait mon attention mais en vain.
Ne trouvant personne ayant éveillé mon intérêt je me dirigeai rapidement vers les vestiaires en me disant que finalement je n'étais surement pas encore prêt a rejouer.