Je ne joue pas

Je ne joue plus

POV : Doflamingo

Cette réunion est interminable et au vu de la tête des autres, ils sont de mon avis. Nous avons été conviés à une réunion organisée par nos amis de la Marine. Juste a ma droite se tient Crocodile, il semble dormir. Comment se sublime étalon, peut-il rester insensible à mes charmes ? Peu de personnes arrivent a rester neutre a ma présence, on me déteste, on m'aime, on me haï ou on m'admire, mais jamais au grand jamais la neutralité. Le voir endormi comme ça me donne des idées. Le taquiner un peu ne peut pas faire de mal et ça me fera passer le temps.

Je décale ma chaise pour me coller à lui légèrement en retrait. Je commence doucement, j'approche mon visage de son oreille pour que mon souffle tape contre sa peau. Je le vois légèrement bouger. Je n'y crois pas le Crocodile endormi est beaucoup plus réactif que le réveiller. Je sens que je vais m'éclater.

POV : Crocodile

Pourquoi j'ai si chaud tout à coup et pourquoi j'ai l'impression qu'on me touche. De grandes mains étrangement douces se baladent sur mon torse. Je sens un souffle brûlant sur ma nuque. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu ce genre de rêver. C'est quand tout à coup, je me rappelle ou je suis, je me relevais brusquement, mais suis arrêté dans m'a lancer par les mains puissantes qui se baladait sur mon corps un peu plus tôt.

- Que t'arrive t'il mon petit croco, tu avais l'air apprécier pourtant.

Oh non, ça ne pouvait pas être pire, de toutes les personnes possibles et inimaginables, c'est Donquixote Doflamingo cet espèce de psychopathe qui s'amuse avec moi. En temps normal, j'arrive à résister à mon envie de lui sauter dessus parce que c'est un joueur. Il s'amuse de tout et de rien. Mais bon sang qu'est ce qu'il est sexy.

- Lâche-moi tout de suite l'emplumer !

- Mais pourquoi ? On est bien là.

Pour appuyer ses propos, il descend une de c'est main de plus en plus bas sur mon bas-ventre. Oh, putain, il est doué l'enfoiré.

- Arrête !

- À qui tu dis ça à moi ou à toi qui apprécie beaucoup mes mains sur ton corps.

Mes joues sont de plus en plus rouges et je peine à rester silencieux. C'en a trop, je me lève et prenant son poignet pour l'obliger à me suivre. Je me rends aux toilettes, dans là panique, c'est le seul endroit qui ma paru adéquat. Je m'asperge le visage d'eau pour reprendre un peu de consistance.

- Je ne pensais pas que tu voudrais passer aux choses sérieuses mon petit croco.

- Ta gueule ! Ça t'amuse de jouer avec moi comme ça !

- Tu avais l'air si bien endormie, ça m'a donner envie de te taquiner.

Je me retourne et j'avance vers lui pour m'arrêter à quelques centimètres.

- Ça a l'air de beaucoup t'amuser toi, mais tu crois que ça me plaît de me retrouver à ta merci, tu crois que ça me plaît que mon esprit soit perturbé à chaque fois que je pense à toi, tu crois que ça me plaît d'avoir envie de te sauter dessus à chaque fois que tu es là. Ça y est, t'es content, je l'ai dit, je ne suis plus neutre, tu sais que je n'ai jamais été insensible a t'est charme.

Je finis par me retourner pour reprendre mon souffle. Je déteste montrer mes émotions. Malgré le fait qu'il soit sexy, je le déteste, il me fait ressentir un, je ne sais quoi qui m'horripile. J'essaye de m'enfuir de la pièce quand on me retient encore une fois. Doflamingo a passé ses bras autour de mon corps, il me serre comme si ça vie en dépendait. Je ressens son souffle brûlant sur ma nuque.

- Tu ne comptais pas me laisser après une telle déclaration d'amour ?

- Mais je t'ai jamais fait une déclaration d'amour !

- Vu comment tu laisses transparaître tes sentiments en tant normal, je prends ça comme tel. Et tu comptais montrer à tout le monde l'effet que je te fais ?

Me dit-il en me pointant mon bas-ventre qui montre en effet comment sa présence me fait réagir. Rouge de honte, je cache mon visage entre mes mains. Je me sens entraîné vers l'arrière. Quand j'ouvre les yeux, je me retrouve assis sur un WC, dans une cabine fermé avec l'autre emplumé accroupi en face de moi.

- Mais qu'est-ce que tu fais.

- Pour une fois, laisse moi faire les choses bien.

Je le vois se lécher les lèvres en retirant son manteau de plume. Il retire mon haut avant de me regarder comme pour me demander l'autorisation. C'est bien la première fois que je vois Donquixote Doflamingo aussi prévenant et doux. Je le regarde dubitatif, mais le sourire qu'il me lance me fait instantanément fermer les yeux et me détendre. Il passe ses grandes mains sur mon corps. Je déraille. Il commence à taquiner mon téton avec sa langue. Je n'y crois pas, il est vraiment doué le con. Il descend de plus en plus bas et j'ai du mal à retenir mes gémissements. Je le vois retirer mon pantalon et mon caleçon d'un seul coup, de là sort mon pénis dressé. Je cache mes yeux d'une main les joue rouge.

- Oh non pas question, je veux que tu voies ça.

Il retire mes doigts en commençant des va-et-vient sur ma verge. Sa tête se rapproche dangereusement de celle-ci. Je n'ai pas le temps de l'arrêter qu'il la prit en bouche. Ma tête par en arrière et mes yeux se révulsent dans leurs orbites. Si avant il me faisait déjà un effet de malade, là, c'était fichu, je n'arriverais plus jamais à retirer l'image de Doflamingo entrait de me sucer. Il va de plus en plus vite en accompagnant, c'est mouvement de gémissement érotique. Je n'en peux plus, je vais craquer. Ma respiration est irrégulière. Je pose ma main sur sa tête en tirant légèrement sur ses cheveux blonds pour capter son attention.

- Dofla... Doflamingo, je viens... Ar... Arrête.

Il ne m'écoute absolument pas et c'est quand il décide de faire une gorge profonde que je viens dans sa bouche. Ma tête est sur le point d'exploser, je ne suis même plus en capacité d'aligner deux pensers cohérentes dans mon esprit.

- Crocodile, écoute moi bien, il y a beaucoup de personne avec qui je m'amuse puis les jette. Mais avec toi, jamais au grand jamais, je ne m'amuserais avec tes sentiments ou envers toi. Si tu trouves que je te fais de l'effet, tu n'a pas encore vu les émotions que tu me fais ressentir par ta seule présence.

Il se relève en remettant son manteau. Je me rhabille et sors des toilettes encore chamboulés par ses paroles. Une fois sorti, je remarque Dracule Mihawk en tain de se laver les mains. Je me cache tant bien que mal avec mes mains. Mais c'est peine perdu avec l'emplumer qui me suit a la trace. On a vu mieux dans le domaine de la discrétion qu'un flamant rose de trois mètres. Dans les couloirs, on marche cote à cote, mais je vois bien que Doflamingo est légèrement en retrait. Après avoir allumé mon cigare, je tends ma main vers l'arrière pour attraper la sienne. Je le vois sourire du coin de l'œil. Nous rejoignons la salle de réunion nos mains jointes cachées par nos manteaux.