chapitre 17

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Ces mots sonnent dans ma tête comme une mélodie j'avais tant lui dire aussi que je n'ai pas oublié le baiser , ce baiser qui m'a fait comprendre mes sentiments pour elle cet amour fou pour elle .

Nous sommes en route vers la maison , je serre le volan d'une force que mes phalanges blanchissent je suis lâche je voulais tant lui dire tout ce que j'avais sur le cœur mais j'avais peur qu'elle s'enfuit et me jette c'est clair que je n'allait pas supporter cela je me concentrait seulement sur la route je ne voulais pas la regarder car son regard me rend faible beaucoup faible que je le pense .

On arrive à la maison je descend en premier et j'ouvre la porte à Roya mes hommes prennent les sacs de vêtements pour les monter la haut j'allais rentrer moi aussi mais Roya me retient par le bras .

- merci pour cette balade Marco .

Je lui sourit puis continue mon chemin je pivote ma tête à gauche pour la voir elle était parti vers la rembarre en métal qui donne sur l'océan bleu ce qu'elle était belle devant ce paysage j'aimerais tant la rejoindre mais je savais que je n'allait pas me contrôler. 

Dans mon bureau, je ne fais que la voir depuis ma fenêtre elle parlait avec Roberta et je voyais que leur conversation était animante puisque Roya rit de plus belle puis elles entrent toute les deux .

On toque a ma porte j'ordonne d'entrer .

- monsieur désolé de vous déranger mais monsieur Gonzalo m'a demandé de vous dire qu'il vous attend dans le garage. Dit un des mes hommes

- d'accord j'arrive tout de suite. Dis je en soupirant

Je descend les escaliers et je croise Pablo .

- Pablo je veux que vous prenez soin de Roya et que vous soyez à son intention quand elle demande quelque chose vous lui dites que je suis sorti pour le travail.

- oui monsieur.

Je continue ma descente jusqu'à arriver à la porte je m'engoufre dans une des voitures et le chauffeur m'emmène au garage. 

Une heure après j'y suis arrivé , ce garage était celui de mon père où il torturait ses adversaires où ses captives , il est ancien rouillé et l'odeur du sang s'évapore dans tout le coin, Carlos était là assis au milieu de mes hommes qui l'entourait, Gonzalo avait pris place un peu loin pour assister au spectacle.

- Marco je t'en suppli je n'ai rien à voir dans tout ça je ...

Je lui donne un coup de poings sur le nez avant même qu'il fini sa phrase , et quand il relève sa tête je lui donne un deuxième mais cette fois sur la mâchoire. 

- qu'est-ce que j'ai fait ? Dit il d'une voix peine audible

Je continue de le frapper jusqu'à son visage devient tout rouge de sang , je m'arrête quand je commence mal au main elles sont toute rouge et égratigné je reprends mon soutien et arrange mes chevaux avec un mouvements de main.

Je le prends par le colle de la veste .

- est-ce que tu l'as touché ? Demandé je d'un ton menaçant

- de qui tu parles ? Me demande Carlos en me regarde

- de la fille grec et je te préviens si tu ment je vais te tuer .

- je ...je l'ai giflé. Avoue t il en baissant les yeux

- avec quel main ? Lui demandé je en attrapant l'arme d'un de mes hommes.

- la ...la gauche .

Je prends l'arme puis je tire sur sa main gauche il crie de douleur mais je m'en fiche .

- la prochaine fois c'est ta tête qui va exploser si j'entends que tu engages de pauvres femmes pour ton sal business. 

Je le laisse avec son sang qui coule et supplices pour l'aider , j'allais monter dans la voiture mais cette fois pour aller au boulot je devais y aller pas pour travailler mais pour fuir Roya .

Réunion après Réunion je deboutonne ma chemise et respire profondément je n'arrive pas à me sortir de la tête j'ai appelé Pablo au moins dix fois pour m'assurer qu'elle va bien il disait qu'elle cherchait après moi je lui ai dit de ne pas m'attendre pour le dîner je  compte encore rester dans mon bureau. 

La bouteille de whisky sur le bureau et le verre à la main je bois comme je l'ai j'ai jamais fait en regardant la lune je me pose cette question que n'est toujours pas de réponse "est-ce que je mérite vraiment Roya ?" Je tourne plusieurs réponses dans ma tête mais aucune ne me convict je repose mon verre et sort du bureau pour rentrer à la maison .

Quand j'arrive il est plus de vingt trois heures, Roya doit surment être endormie je pénétre dans la maison et remarque que la cheminée est encore allumé je m'approche un peu et trouve Roya endormie sur le fauteuil, je m'apprête à la porter mais elle se lève.

- Marco ? Tu es enfin rentré. Dit elle en m'enlaçant

Je réponds à cette étreinte et la serre contre moi je sent le parfum doux de ses cheveux et soupire , elle s'éloigne de moi et me dévisage puis elle regarde mes mains un aire inquiet

- c'est quoi ça ? Me demanda Roya en prenant mes mains dans les siennes

- je t'ai venge Roya , j'ai donné à Carlos la leçon qu'il méritent. Dis je en l'a regardant intensément

Elle semble choquée elle baisse ses yeux vers mes mains et me les caresse tendrement. 

- je vais te ramener de la glace et une pommade.

Elle court vers la cuisine puis revient les mains remplis , elle s'installe et met la glace sur mes mains elle me regarde si j'ai mal mais je ne fais aucune réaction.

Elle m'étale la crème doucement sur mes phalanges puis met une compresse dessus, elle serre mes mains dans les siennes pendant qu'on se regardent. 

- tu n'as pas peur après ce que j'ai fait à cet enflure ? Lui demandé je

Elle sourit en agitant la tête puis s'approche un peu plus de moi .

- non c'est toi qui a peur , c'est pour ça que depuis que nous sommes rentrés tu t'es enfuie loin de moi .

Je l'a regarde étonné de savoir mes intentions et je sent qu'elle est agacée par mon comportement. 

- ne me fuit pas Marco tu n'es pas un monstre et je n'ai pas peur de toi . Murmuré t elle tout pré de mon visage

J'enlève mes mains des sienne et prend son visage entre eux .

- moi aussi je n'ai pas oublié ce baiser . Lui Murmuré je contre sa bouche

Elle me sourit , c'est la réponse qu'elle voulait entendre je m'approche un plus et colle mes lèvres aux siennes dans un doux baiser .

Roya ...la femme de l'île Où les histoires vivent. Découvrez maintenant