Chapitre 11 : Rage.

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Les kilomètres augmente pendant que j'essaie de retrouver le piste des voitures.

390. C'est le nombre de kilomètres que je fais sur une route autoriser à 80 kilomètres.

Je zigzague entre les voitures, j'étais si près du but à savoir où était ma cargaison que je ne peux pas abandonné.

J'aperçois les voitures des hommes qui l'ont kidnappé. Trois voitures réunis.

Je sors mon flingue en gardant en distances tout en tirant, mais les voitures sont blindés donc aucune balle entrent.

Par contre eux ils me tirent dessus maintenant, alors j'évite toutes les balles tout en brûlant les kilomètres encore.

Une balle atterri sur la roue avant, mon corps ce fait expulser en avant. Heureusement que il y avait peu de voiture.

Mon corps a atterri au sol mais je me lève aussitôt en rejoignant ma moto. Ces fils de pute.

Je sens du sang couler sur ma joue. Sans attendre je prend ma moto et je me dirige jusqu'à la bande d'arrêt d'urgence.

Je prend la pompe pour regonfler mon pneu trouer, puis une fois gonfler je pose un bouchons sur la roue pour reprendre la route.

Mais toute les voitures ont déjà disparu, alors je prend le sens inverse.

Si je rentre au réseau je risque d'éclater la geule au premier qui me parle pour m'avoir ralenti.

Alors je roule jusqu'à arriver à la salle de boxe pour me défouler, je descend de ma moto.

-Notre cher Valasco ! Tu vient d'entraîner ? Demande le chef.

-Je viens me défouler, ma salle privée est disponible ?

-Bien sur qu'elle est disponible !

Alors sans attendre je monte les escaliers pour aller dans ma salle, je retire ma chemise noir et rapidement je m'installe devant le punching ball.

Je sers les bandages blancs autour de mes poignées puis sans attendre je m'acharne dessus.

Après une bonne dizaine de minutes j'entends le gérant monter.

-Rafe tu ne met pas de gant ?

-Quand tu te bat tu met dans des gants toi ?

-Non mais c'est mieux pour to-

-Bah voilà, j'en est rien à foutre que de me mettre à sang le temp que je me défoule.

Je retire mes bandages au poignets inonder de sang a cause des coups, je remet ma chemise.

Et ces batards ne m'avaient pas louper en le faisant sauter de ma moto. Mes bras étaient éraflée, mes épaules et mon ventre aussi, ma temp droite et ma joue gauche, mon cou ainsi que ma lèvre fondu.

Mais dès que je la retrouverais je les massacrerais. Une vengeance froide.

Sans perdre de temp je boutonne ma chemise puis je pars en remontant sur ma moto avec ma colère intérieur.

Je reprend à toute vitesse le chemin pour tenter au réseau en priant pour qu'ils ont retirés les corps. Ils n'ont même pas besoin de mon signal pour le faire.

Une fois arrivé j'aperçois qu'il n'y a aucun corps, tant mieux.

J'éteins la moto que je range dans le garage, j'entre à l'intérieur du réseau. J'entre dans la cuisine en me prenant un verre d'alcool.

Je retire ma chemise qui colle à mes blessures, je la jette dans la poubelle à cause des déchirures. Je prend mon verre d'alcool et une cigarette que j'allume.

J'attrape la fumée toxique que je relâche par la suite. Une fois la cigarette terminée je la met dans le cendrier puis je marche dans le couloir en buvant mon verre jusqu'à atterrir devant le salon ou tout les cinq sont installés.

Je termine mon verre d'un coup sec en laissant l'acide piquée ma gorge. Je marche jusqu'à l'escalier mais quelqu'un m'interrompre.

-Ou tu était ? Demande Killian.

Ma mâchoire ce contracte automatiquement. Et mes doigts ce sers sur mon verre.

-Tu es blessé ? Rajoute Sarah.

-Accident de moto. Répondis-je sèchement.

-On va la retrouver. Ajoute Juan.

Le verre éclate entre mes doigts a force de le serrer.

-Celui qui ouvres sa putain de grosse geule de merde je lui fait avaler tout les bouts de verre. Dis-je en les regardant par dessus mon épaule.

-On est tes proches tu peut pas nous faire ça ! Dit Juan.

-Arrêtez de jouer avec ces nerfs. Dit Hugo.

-Monsieur est colère. Rajoute Luca.

-Je n'aurais pu penser qu'une fille qu'il a kidnappé le met dans cet état. Dit Sarah.

Je prend une grande inspiration pour calmer ma pulsion d'écraser leurs tête.

Mon téléphone sonne, je regarde et celui-ci vient d'un numéro inconnu.

Une photo. Je l'ouvre sans parler, les yeux s'écarquillent lorsque j'aperçois une photo de Daisy tenu par un homme qui l'étrangle en pointant une arme sur son front, son corps tremblant et ces yeux embuer.

Si ils la tuent avant moi je n'aurais jamais la cargaison !

-Merde fait chier ! Grognais-je.

Je monte les escaliers en courant je monte dans une chambre, heureusement que au réseau on as ajouté des chambres. Je prend une chemise en appelant le numéro.

Ça répond pas, je boutonne ma chemise. Je sors de la chambre puis je prend mon téléphone à l'oreille lorsque j'entends l'appel de l'inconnu.

Je descend les escaliers à toute allure.

-Bonjour Rafaël. Dit un homme avec un modificateur de voix.

-Sale fils de pute, si t'a des couilles envoie moi ta géolocalisation maintenant ! Hurlais-je au téléphone ce qui me vaut tout les regards.

-Ne pressons pas les choses.. Rafaël si tu savais à quel point j'ai attendu pour prendre cette jolie fille, si tu sait tout ce que je pouvoir faire maintenant..

J'entre dans la cuisine pour me servir un nouveau verre d'alcool.

-Je préfère plutôt te donner des indices.. humm. Je te connais depuis que tu es petit.

-Beaucoup de personnes me connaissent, tu as si peur que ça pour ne pas me donner la géolocalisation et changer de voix ?

-Je préfère garder la petite, tu sait pour m'amuser un peu avec elle.. bien sûr pas maintenant aussi non je m'ennuierais mais pourquoi pas dans quelque jours. Quesque tu en pense Rafe ?

Sans que j'ai le temp de répondre l'homme raccroche. Je range mon téléphone dans ma poche en avalant complètement mon verre.

En rage je sors de la cuisine.

-Je vous promet que le premier qui ouvres sa putain de geule il gagnera mon poing. Dis-je en leurs laissant un regard assassin.

Ils lèvent les bras l'air innocent puis je monte les escaliers en rage, je monte jusqu'à mon bureau.

Je m'assoie sur ma chaise et de nouveau mon téléphone sonne. Je prend mon téléphone. Un message et une photo que j'ouvre directement. Un couteau sous la gorge de Daisy.

-Et si nous commençons à la blesser physiquement, qu'en pense-tu ?

-Si tu fait ça dès que je trouve ton identité j'irais saigner ta famille.

-Es-ce des menaces ?

-Oui, retire ce couteau.

-Bien, le couteau est retirer. Essaye de nous trouver !

Je pose téléphone en éclatant de rage. Je prend un sachet de coke au quel j'aspire toute les rails et ma rage diminue doucement.

Je dois retrouver cette cargaison grâce à cette fille alors ils peuvent me la retirer bordel !

DaisyWhere stories live. Discover now