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La pièce était étincelante,le sol et le plafond couvert d'un magnifique carrelage blanc laissait la lumière se refléter sans aucun problème, aucune zone d'ombre n'était possible,aucune cachette.
Mes doigts se posèrent sur le mur et un frisson glacial me parcourut l'échine, tant de souvenirs était née ici...tant de cris arraché...
Mon doigts remonta sur les derniers interrupteur et comme je pouvais m'y attendre en son centre était toujours installé une chaise en acier chirurgical.
Le même type de chaise que l'on trouvais chez certains chirurgiens, le seul petit détail qui le différenciait était le manque de confort qui avait été consciemment retirer , ce n était qu une chaise basculable , totalement nu.

Une chaîne de 2 mètre, relier a un premier anneau soudez lourdement à la chaise était posé en son centre , l extrémité était relier à un collier en fer forger ajustable. Posant sur le plan de travail ma sacoche en cuire noir, offerte il y a déjà longtemps par mon paternelle,je m était juré de ne plus jamais l'utiliser mais ...pour lui je n'aurais aucun remord.

Le bruit métallique des instruments tinta melodieusement laissant leurs éclat scintillant émerveiller mes yeux.
Le temps ne leurs avait rien fait : scalpel, pinces, couteau, épingle.. scie.... tout avait survécut comme ci eux aussi avait su en avance pour ce jour fatidique.

Sans plus attendre je prépara ma salle, posant des compressés stérilisé sur un plateau ainsi que de petit scalpel à la lame si fine que leurs coupure ne se faisait pas sentir .
Au loin je vis un bocal avec un mot, l écriture était reconnaissable .
Mère et doc .
Le premier couplet était de mère.

" Mon fils,
Comme tu as pu le voir j ai toujours pris soin de ta salle de jeu, et de tes outils. J aurais préférer que ton vœux d'être un homme simple continue, mais hélas, ton passé te rappelle mais cette fois pour la bonne cause.
Laisse le démon en toi sortir ne lui laisse aucune humanité, il n en n'a pas eu pour ton ami.

Je suis fière,et ton père aussi.
Ta mère. "

Le second mot me fit sourire d amusement.

" Tu sais déjà le contenue du bocal, mais je te met en garde ne les touches pas. Actuellement ils sont en stase, comme endormi mais au moindre contact de chaleur il se réveil et tu te doute bien que ces petit monstre son affamé !
Utilise un pince longue et des gants quand tu les manipulera.
Fait payer à ce fils de pute, personne ne touche à la famille Haerumi !

P.S : Prend des clichés des différents stade ! C est pour la science ! "

Le contenue était un peu étrange. Un amas de brindille noirâtre, mais à peine ma propre chaleur avait réchauffer le verre que les bestiole se mirent à se tortiller de manière dégoûtante, rien que de voir ça me répugnait et je n'aimerais absolument pas les avoir en moi ! J avais hâte de les injecter dans le corps de Guneo...
Les reposant à leurs place gardant le mot dans ma poche reprenant mon installation.

- La préparation de la perfusion...~
Un moment de précision car c était cette poche qui donnera la force au corps de cette ordure la force de tenir sous mes tortures.
Bien sur dedans il n y avait que des minéraux, du sucre et de l eau aucun anti douleur mais ça il ne le saura pas...
Je prépara une autre poche avec un mélange de drogue, une drogue utilisez pour emplifier les sens.

En regardant ma montre, je me rendis compte que j avais encore le temps pour allez voir Miru.
Celui ci avait accepter de rentrer à la maison, il dormais dans ma chambre envelopper dans un amas de vêtement lui appartenant. D après doc cela était normal, il en avait besoin pour se calmer, j aurais aimer qu il se fabrique un nid avec mon odeur mais je ne devais pas le brusquer.

Fermant la porte en métal insonorisés , remontant les escaliers de la cave avant de me retrouver dans le garage, un de mes hommes se posta devant l entrer qui avait du être des-sceller.

Shut up or smileWhere stories live. Discover now