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Le silence de la pièce devenait pesant pour Guneo, mais je ne pouvais cacher mon impatience devant son mutisme. La drogue que je lui avait administré avait déjà bien fait son œuvre, je ne compte plus les longues minutes de cris strident jusqu'à ce que ses cordes vocal ne lâche, j était déçu que cela arrive si vite mais ce ne serais que parti remise.

- Alors tu as fait ton choix ? Les seconde défilé et ma patience aussi.

L'entente de sa voix totalement brisée fut aussi agréable que la mélodie d'une lettre à Élise.

- Pi..tier..

Il osait à nouveau. Oser demander grâce après ses actes, décidément cet homme était belle et bien stupide.
Si il n'était pas disposé à choisir cela me revenait.
J'hésitais vraiment à lui retirer un membre, mais cela changerais mes plans, la torture que je lui réservais était toute nouvelle pour moi, elle était lente et psychologique en plus d'être physique.
Dans le passé je me contentait de les faire hurler avant de leurs ôter la vie, mais la... après se qu il avait fait je voulais qu il vivent avec mes sévices et mes marques pour le restant de ses joues. Jusqu'au moment où il ne le supporterait plus et qu il viendrais ramper à ma porte, me suppliant une mise à mort. Mais ça,  ce choix ne me revenais pas. Non c était à Miru de le décider.

Ma main aggripait un coupé cigare , c était un objet simple certes mais au tranchant exceptionnel, il n'avait rien à envier au lame chirurgicale.
Le faite que l'homme sois attaché me fit légèrement frémir, il était impuissant devant mon geste.
D'une main habile je plaçait un de ses doigts à l intérieure de la bouche de métal qui brillait sous la lumière .

- et de Un ~

Tchac...

Un bruit léger de chaire se fit entendre avant que le doigt ne tombe au sol. Les cris de l'homme n'avait alors plus rien d'humain,il se tordait de douleurs les yeux baigner de larmes... je frémissait d extases .

Sans attendre je déplaçait le bout de métal et y insérant la première phalange du majeur .
L index n était plus.

- Et de deux.

Tchac...

Que ce son était doux à mes oreilles !

Beaucoup penserais que j'avais été clement envers lui, lui ayant coupé qu'un doigt et demi mais mon plan était plus cruelle.
Posant l'outil dégoulinant du liquide pourpre, laissant un petit filet d eau le rincer, je jettais mon dévolue sur une pince en acier noir.
Le même type de pince que l'on trouverais chez le dentiste.

- Ouvre grand !

Le bougre avait encore de la force et malgré mon énergie, je ne parvient pas de suite à lui ouvrir.
Soupirant d amusement je me mis à rire bêtement.

- Tu es têtue, mais sache que je te prendrais ces deux dents et que je te les ferais bouffer !

Drrring...driiiing.

- Deja ?

Mon amusement était déjà parti.
Le son qui venait de retentir était celui de la fin de mes tortures, il était déjà 6h.
Les torturent commençait à 20h et terminait à 6h, les mêmes horaires que ce chère monsieur avait infligé à Miru.
N'ayant pas terminer je me décidais : en plus de privatisation de nourriture , il serais privée de sommeil.

- On reprendra ce soir.

Il émit des supplications que je ne pris même pas le peine d écouter.
En sortant un de mes hommes vient me rejoindre, il était le gardien de la porte .

- Privation de sommeil et de nourriture, tu sais ce qu il te reste à faire.

L'homme hochai la tête et pris ma place dans la pièce, avant de ressortir quand un brouhaha monstre se mis à résonner dans la pièce.
Une fois la porte fermée, le silence était revenue.

.....

A peine avais je remonter les escalier qui remontait au salon que je fut accueilli par le doc.

- Alors ?!
- Je n est pas encore utilisé les verres.

La déception avait un visage à ce moment là. Le doc était déçu de mon approche.

- Tu lui a au moins coupée les couilles ?!
- Non, il a perdu un oreille, un ongle un doigts et demi... Demain deux dents se rajouterons ainsi qu un bon kilos de peau.
- Ce n est pas ta méthode..
- Il ne mérite pas de mourir rapidement.

Me servant un verre de whisky japonais laissant l amerturme réveillé mon corps. Je leva les yeux sur Miru qui venait d apparaître en haut de l escalier, mon odeur se dégageait de mon corps ce qui me fit comprendre que ce dernier avait dormi dans mon lit et cette idée était plus que rassurante : il ne me rejetait pas.

- Miru comment va tu ?

Le doc monta pres de lui et l invitait à aller dans la chambre pour une consultation, mais au lieu de ça il se mis à dévaler les escalier,avant de ce jeter sur moi et d enfouir son visage contre mon torse tâcher du sang de son bourreau.
Il ne le remarquais pas ou il semblait ne pas vouloir le voir.

- Je vais te faire un compte rendu de son état, et si il y a des complications je ferais appel à toi Doc.

Il fit mine de se sentir trahi, ce qui semblait amuser l'homme mais pas moi.
Miru était devenu tout pour moi, et savoir qu il devait être manipulé par un autre, même pour des soins me déplaisait.
Le doc ne lui ferais jamais de mal, et ne toucherais jamais à un homme. Il était marier à une femme, toute aussi folle que lui qui servait personnellement mon père.
Mais je voulais le garder pour moi dorénavant, uniquement pour moi.

Tendrement ma main remontait le long de sa nuque, effleurant le pansement.
- Je vais prendre une douche et je suis tout à toi.

Mais tels un koala attaché à son arbre, il ne me lâchait pas , au contraire je senti sa prise se refermer.

- Une douche à deux ?

Je n avait pas d arrière penser pour cette fois, je voulais juste qu il se sente en sécurité mais son regard me fit trembler..

Shut up or smileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant