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Une petite princesse ne devrait pas devenir la reine des putes.
Ça faisait trois jours que je pleurais non stop, je revivais ce que j'avais vécu il y a un an et ce batard m'avait promis de ne pas me refaire du mal pourtant il a réussi à me faire pire. Putain, comment il a pu?
Je lui ai tout donné, il manquait de rien, je me suis mis des gens à dos pour lui et c'est comme ça qu'il me remercie ?
Même avec Sonia qui passait tous les jours j'arrivais pas à allez mieux, normalement mon mariage était demain, j'arrive pas à croire qu'il m'ai fait ça.
Actuellement j'étais avec Sonia et les potes de Yassin, qui étaient de mon côté.
Matheo « Sérieux pleure pas petite sœur, il mérite pas tes larmes. »
Anas « T'es une femme forte, tu vas te relever, on le sait. »
Ils ont tous embrassé mon front puis sont parti, trois jours que je ne parlais plus, je pleurai juste. Aucun mot arrivait à sortir de ma putain de gorge.
Quelques minutes après que tout le monde soit parti, quelqu'un a toqué à la porte. Je me suis levé à contre cœur et après avoir ouvert la porte, j'ai fondu en larme quand j'ai vu mon père devant moi.
Il était venu exprès pour le mariage, l'horreur quand j'ai du lui annoncer ce que Yassin m'avait fait. Il l'a chercher dans toutes la cité mais apparement Yassin s'est barré je ne sais où n'assumant pas ses actes.
Papa « Ne parles pas ma fille, tu as besoin de dormir. Allons nous coucher. »
Il me connaît si bien, je me suis mis dans mon lit et il a pas tarder à me rejoindre. Je pleurais dans les bras de mon père comme si je venais de perdre un être chère, le fait de le voir me faisait du bien même si je sentais qu'il y avait toujours ce truc de casser en moi.
trois heures du matin
Quand je me suis réveillée ma mère était à côté de moi en train de dormir, j'ai souris attendri mais les larmes ont menacé de couler à nouveau. Dès que je suis réveillé, ça n'arrête pas, je n'arrive pas à les contrôler.
Je me suis levé pour allée boire de l'eau dans la cuisine, j'ai souris quand j'ai entendu les ronflements de mon père dans le salon. J'étais contente que mes parents soir réunis même si ce n'est pas dans d'excellente condition.
.. « Ça va mieux ? »
J'ai fermé les yeux, c'est la question à ne surtout pas poser. J'ai finis mon verre d'un traite et je me suis tourné vers mon père les yeux remplis d'eau.
C'est quand j'ai vu son regard rempli de peine que je me suis effondré en larme.
Moi « Pas du tout papa, je ne sens plus mon cœur battre. J'suis morte de l'intérieur papa, j'te jure. »
Il est venu me prendre dans ses bras, mon ancienne dépression a duré trois mois mais la je sais que je ne tiendrai pas autant non.. Je tiendrai pas du tout.
Papa « Tu vas allée mieux ma puce, je te jure que ça va allez. Tu vas y arriver, tu vas t'en sortir. »
