𝑌𝑒𝑠, 𝑏𝑜𝑠𝑠||L.R

XXVIII-Chapter twenty eight

Maeva: Alors, dis lui "maman, il faut que ça s'arrête"

Jack: Oh, tu connais pas sa mère...

Dean: On a passé un accord. Soit je tiens mes engagements, soit...rien du tout.

Victoria: Ramène une vraie copine. Sur la liste ou non. Vu ta mère, elle te poussera pas à la tromper.

Tuck: Une fausse copine?

Dean: T'es petit. Mais t'as de grandes idées.

Ben: Ne l'encourage pas.

Maya: Moi! Médaille olympique, sens de l'humour, sourire ravageur. Une occasion unique. Ne la laisse pas passer. Les lumières ont clignoté.

Jack: La panne de courant arrive.

Tuck: J'ai fini. Je peux y aller?

Ben: Ok...Excusez moi. Il a suivi le jeune garçon.

Maeva: Avec un peu de chance, la panne ne nous impactera pas tant que ça...

Après un bon petit dîner, la brune a quitté la table. En se promenant dans le couloir, elle a croisé son chef.

Maeva: Tu as eu le droit au "aloha" du capitaine?

Lucas: Il en a bien profité, on dirait...Tu sais quoi? On devrait partir un peu, toi et moi.

Maeva: Rien de plus simple avec le métier, notre secret et tout le reste.

Lucas: Tu as raison...

Maeva: Mais on peut toujours partir en vacance imaginairement parlant.

Lucas: Au Colorado?

Maeva: Je t'ai déjà dit que tu avais des destinations de merde?

Lucas: Plusieurs fois, oui. Oh, Vancouver, chalet avec cheminée.

Maeva: C'est un voyage imaginaire. Je pensais que dans ton imagination, je n'étais pas en tenu de ski. Ca te dit quelque chose la plage et les maillots?

Lucas: Hum...tu serais tout autant sexy dans une combinaison de ski.

Maeva: Ok, le plus compliqué n'est pas de partir en vacance à cause de notre secret, mais plutôt de trouver une destination...qui nous satisfait tous les deux.

Lucas: Il y'a de belle tenue de ski.

Maeva: Certes. Mais dans mon voyage, tu es torse nu constamment.

Lucas: Ah bon?

Maeva: Absolument. Honnêtement, ça peut s'arranger. Tombes malade environ cinq jours, je pose mon week-end. Ca passe tout seul.

Lucas: En voilà une bonne idée. Les lumières se sont éteintes. Un instant s'est écoulé avant que la brune ne se retrouve plaqué au mur.

Lucas et Maé avaient l'habitude des baiser doux, mais celui là ne l'était pas. Loin de là. Puis les lumières se sont rallumés. La plus jeune a regardé le blond en souriant avant de partir.

Travis: Tu as l'air de bonne humeur.

Maeva: Comme la majorité des jours.

Travis: Mais là, plus que d'habitude.

Maeva: Il m'a fait rencontrer sa soeur.

Travis: C'est vrai? Oh la la, le chef est vraiment tomber amoureux d'une pompière...

Maeva: C'est ça vas-y, marre toi.

Ils ont entendu l'alarme sonner et se sont empressés de rejoindre le hangar pour se préparer. Ils sont ensuite partis en intervention.