Chapitre 25 partie 2

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Pour ceux qui ne voient la dernière partie du chapitre le voici :

Le chapitre reprend ici

Je descends avec une certaine lenteur qui m'excite davantage. Je ne peux m'empêcher de l'embrasser tout le long jusqu'à sa cheville. Et remonter en posant ma bouche sur la seconde jambe. Je reviens à sa bouche et descends dans son cou. Pour l'instant, ça va, je maîtrise.

    — Si tu veux, tu peux retirer mon soutien-gorge. Si tu es prêt à voir ma poitrine dénudée.

    Charlie me perturbe avec sa suggestion. Son sourire confiant me rassure. Je passe mes mains dans son dos et défais l'attache. Je pose une main sur son sein et le tissu glisse.

    Je contemple sa magnifique poitrine, ses mamelons sont plus foncés que le reste de sa peau. Ses tétons sont tendus, durcis, absolument parfaits. Je ne perds pas de temps et viens mordiller le premier. Charlie pousse un gémissement de plaisir puis une deuxième lorsque ma main vient pincer son voisin.

    — Continue comme ça, c'est divin.

    Les halètements dans sa voix me confirment que je m'en sors bien. Enfin, ce n'est pas cette partie qui m'inquiète le plus...

    Elle me retire mon boxer et la sensation d'une main autre que la mienne sur mon sexe est particulière. Le toucher ne me dérange pas, c'est juste perturbant.

    — Ça va ? Tu veux que j'arrête ?

    — Non, c'est juste que ça me perturbe un peu c'est tout.

    Nos lèvres se retrouvent et Charlie utilise cette diversion pour poser mes mains sur les bords de sa petite culotte. C'est quelque chose que j'attends depuis longtemps, maintenant que cette envie atteignable, je perds mes moyens. Mon cœur accélère, mon souffle aussi. Mes mains tremblent. Charlie s'en rend compte et caresse mon visage.

    — Hé, ça va. Prends ton temps. Tu me l'enlèveras lorsque tu seras prêt, dans quelques minutes, demain, dans une semaine, la prochaine fois. Rien ne presse. Déplace tes mains, ne reste pas focaliser sur un blocage.

    Je l'embrasse pour arrêter de réfléchir et sa main fait de doux va-et-vient le long de ma verge. Son regard me détend, elle n'émet aucun jugement. Elle me comprend et ne me met aucune pression. Mes doigts reviennent sur son sein. De la voir si désireuse de plus, me donne envie d'aller plus loin. Pendant que mes lèvres se promènent sur sa mâchoire et son cou, mes mains descendent sur sa culotte et elle soulève son bassin. Je ne baisse pas les yeux vers sa féminité, pas encore. Ma main caresse sa hanche.

    — Je peux ? demandé-je, hésitant à presser sa fesse.

    — Bien sûr que tu peux.

    Son regard ardent trahit le plaisir qu'elle prend sous mes doigts. Je continue d'explorer son corps et m'autorise à contempler l'ensemble de corps. Ma main se promène à l'intérieur de sa cuisse et frôle son sexe. Charlie gémit tout en continuant de me stimuler. J'aime la voir aussi impatiente, qu'elle réclame plus de mon corps.

    J'écarte ses plis charnels et découvre que c'est humide. Je fais le même mouvement qu'elle, mais ça ne lui convient pas.

    — Ce n'est pas comme pour les hommes, c'est plus sensible et ne garde pas le même geste. Appuie moins fort.

    Elle pose sa main sur la mienne et me montre comment faire, ce qu'elle aime. Je comprends le moment où je trouve son clitoris, car elle resserre les jambes.

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