chapitre 3 Daniel

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10 h 30 Daniel été comme à son habitude a son bureau

Il y passait la majorité de son temps c été un endroit spacieux , avec une lumière douce, des rideaux délivré la lumière du jour avec douceur , et une énorme bibliothèque prenais sa place derrière le canapé a lintention de ces patients.

Cette bibliothèque afficher des souvenir de voyage ou des petites sculpture qu il aimait , c été un homme de goût, discret, gentil, avec une voix douce et affectueuse.

Il n'était pas bel homme, mais avait un intellect affûté et son sens de lhumour été à la hauteur de son professionnalisme.

Psychiatre de métier, il avait depuis 15 ans son propre cabinet, sa clientèle été surtout compose de personnes atteintes de trauma tel qu'anxiété , psychoses dont la schizophrénie, les troubles bipolaires ou la personnalité borderline .

Mais depuis 5 ans, il s'était fortement penché sur les personnes souffrant du trouble explosif intermittent le TEI, il était fasciné par ce problème de santé mentale qui se caractériser par de fréquents accès de colère excessive et d'impulsivité .

Il était obnubilé par ces épisodes disproportionnes et par ce qui pouvait déclencher ces crises , il constatait pour le plus grand nombre de ses patients que cela provoquer en eux une profonde détresse son rôle été donc dêtre attentif , patient et déterminer il devait recenser et repèrer les moindres failles.

Il mettait continuellement à jour ses dossiers et veiller à ses sujets comme on peut veiller à ses propres enfants.

Certains étaient en psychothérapie, car ils avait besoin de temps pour guérir de leur trauma, dautre nécessité même des séjours hospitalier pour les protéger deux même, mais dans la moyenne, il arrivait à maintenir léquilibre entre soins et maintient mental.

En aparté, Daniel offrait aussi ses services à la police depuis quelques années ,afin de faire les profils psychologiques de certains accusé ou même celui des victimes.

Il se tenait des deux cotés de la barrière et travailler donc avec la police et les avocats de certaines affaires.

Cest ce côté de son travail qui avait réveillé en lui un instinct primale et lavait mis en face de la justice, une justice qui dormais celons lui.

Il décida de créer dans sa tête, une organisation, presque comme un rêve au départ, ou une pensée qui s'égard

Il lui faudrait donc des gens qui avais chacun un statut bien précis dans cette société et qui pouvez faire en sorte quune justice plus juste à ses yeux se fasse.

Finalement, il était le maestro de beaucoup dêtre humain et avait sous la main des dossiers qui pesaient leur pesant dor au vu de ses projets futurs.

Il se mis donc à effectuer une sorte de casting, par jeu au début, mais il se rendit vite compte quil avait des profils susceptibles de mettre en réalité ses lubies du moment.

Il ne lui manquait q u une personne qui était passer à lacte avec en aparté un équilibre mental solide, une personne qui ne tuait pas par plaisir, mais avec raison.

La justice avait rendu Daniel amer les verdicts malgré ses recommandations ou ses avertissements sur certains cas n été jamais vraiment pris au sérieux la justice le prenais comme un pion et il en avait conscience.

Il pensait fermement que les tribunaux joués avec la vie des gens et pour lui, il estimait que ça le rendait aussi complice vu quil participait à cette mascarade.

Il exécrait ce monde suffisant et nourrissait en lui le besoin de se donner satisfaction, mais surtout sauver ces enfants, car les cas qui lui faisaient le plus souci étaient bien sûr les cas d harcèlement, de viol ou autre ignominie sur ces petits êtres qui navaient rien demandé.

Il vit donc débarquer 5 ans en arrière Chris a son cabinet accompagner de sa femme qui dailleurs été très mal à laise son teint blafard cacher déjà à ce moment des révélations qui allez bien au-delà de la moral .mais nous y viendront bientôt.

11 h le téléphone sonna c'été Chris, il prit le temps de sinstaller à son bureau et de sortir du premier tiroir à gauche un petit carnet bleu.

Il décrocha avec dans les yeux cette flamme comme si sa gourmandise préférée venais de lui être servie.

- Chris mon fou préféré comment vas-tu ? Que me vaut cet honneur super man, je técoute !!Jhésite entre un nouveau dossier et ,ou ta volonté de menvoyer chier, au sujet de lexercice décriture que jai imposé aux groupes Daniel ria comme un gamin content de sa blague et attendit avec impatience la réponse de son interlocuteur.

_pfff tu me fais rire sérieux, toi tes un psy !! Tu es le roi des cons, mais je taccorde au moins une chose, tu as du pif, car cest bien pour un nouveau dossier et effectivement, ça me fait vraiment chier décrire ton truc, enfin bref, t'a un peu de temps à maccorder ou pas ?

_hahaha !! Tu connais la procédure mon grand, je vois avec les autres et organise au plus tôt une réunion, tu sais très bien que par téléphone, il ne se dira rien.

_ouais je sais tu es un foutu dictateur doc Chris rigolait aussi d'un rire rauque et moqueur ;

_ Mais non mon super-héros, je vous aime comme mes enfants et je vous protège alors pour cela, il faut des règles, qui je te laccorde ne sont pas toujours facile a comprendre, mais elles sont essentielle crois moi

_Ok ok doc je te laisse me passer ton coup de fil, vu que même les sms sont proscrits tsss bientôt on va senvoyer des pigeons voyageurs avec tes conneries, enfin bref, j attend ton appel, a plus je dois retourner travailler à bientôt doc.

Chris raccrocha et Daniel avais un sourire des plus satisfait, pour lui, Chris été sa petite cerise sur le gâteau, il avait celons lui, un cur et un esprit qui dépassait les autres.

Il prit le temps de mettre quelques notes dans son carnet bleu, et commença à téléphoner au reste du groupe il du prendre 1 h de son temp car il fallait que tous trouve des disponibilités qui leur conviendrait.

Le rendez vous aurait donc lieu dans 15 jours au cabinet de Daniel a 21h , avec comme couverture la thérapie de groupe.

Daniel se dit que ca laisserai à tous le temp de finir leur exercice d' écriture et qu' il profiterai de cet rencontre pour récupérer leurs carnet bleu et débrieferais de leur ressentie .

Il maintenait fermement une espèce d'équilibre entre leurs travaux commun autour d'une même cause et leur propre protection psychologique.

Il était le père aimant, mais aussi le chef de bande celui qui avais crée cette immoralité si nécessaire au monde

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