Mon prince [ BxB ]

30. Menace

Pdv Amos

( Auteur : Il est temps maintenant d'avancer ici quand-même hehe, vous inquiétez pas, c'est juste moi et mes délires bizarres :)

5 mois.

Tout ces mois que je cherche... Non que nous cherchions avec Lorenzo et d'autre experts Az.

Il était introuvable.

Pas une seule image, témoins, rien...

Pas une seule trace et j'étais de plus en plus en colère chaques jours.

Je devais le trouver.

Je savais bien que si je ne le trouvais pas, c'était qu'Az ne voulait pas que je le trouve...

Je commençais même à me demander s'il n'était pas retourné en Enfer.

Si c'était le cas... Comment étais-je censé le récupérer ?

Je doute que la mafia puisse conquérir l'enfer... Az, à lui seul, pourrait tout nous tuer...

Mes points se serrent alors que la frustration montait mais je me controle puisque j'étais actuellement à la reunion mensuelle avec les trois démons et les autres dirigeants de la mafia en dessous de moi bien sûr.

Lycas me jeta un coup d'œil,

- Un problème ?

Je secoue aussitôt la tête,

- Non, continuez.

Il plissa légèrement des yeux mais passa...

Rax me jeta un coup d'œil rapide puis détourna le regard.

Il semblerait que ce que m'avait donné, il y a un peu près 5 mois, ce dernier marchait.

*Flashback*

La poignée de la porte de mon bureau céda presque tandis que j'entrais...

Pourquoi diable n'arrivais-je pas à trouver Az !?!?

Mon regard se tourna vers une lampe posé sur mon bureau, j'attrape alors le pied de celle-ci, la balanceant contre le mur sur le coup de la frustration.

Puis sans pouvoir me contrôler, mes mains firent voler violemment tout ce qu'il y avait sur mon bureau sur le sol, ordinateur, crayon, dossiers...

Je souffle légèrement...

- Il s'est enfuit n'est-ce pas ?

Je m'apprête à frapper au visage la personne derrière moi mais je m'arrête en constatant qu'il s'agissait de Rax.

Il me fixa,

- Je vous ai observé discrètement, je n'aurai jamais cru que le prince puisse se soumettre à quelqu'un, encore moins un humain.

Je fronçe des sourcils,

- Tu nous a...

Il me coupa :

- Quoiqu'il en soit, son odeur est partout sur toi, je ne peux pas te laisser comme ça.

Il s'approcha ensuite et je recule légèrement, le bas de mon dos touchant le bureau.

- Tu n'as pas besoin de me craindre, je ne pourrais jamais abîmer ce que le prince chérit.

Je fronçe à nouveau des sourcils,

- Quoi ?

Il me sourit soudainement,

- C'est pourquoi je dois te protéger, si le prince t'aime alors je le ferai aussi.