Chapitre 36 : Ses Mains

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Je sentais son corps au rythme du mien. Je le sentais pulser très fort alors qu'il me pénétrait. J'expirai.

— Attends c'est trop sec.

Je pris la bouteille de lubrifiant et en appliquai un peu sur son pénis enveloppé dans le préservatif. Il me penetra encore une fois, et par ce geste, il me transcanda.

— Ça va mieux ? Sinon on peut...

— Ça va mieux, ne t'inquiètes pas.

Au dessus de moi, je pouvais contempler chacune de ses expressions faciales. Il avait l'air si vulnérable. Il avait enfin retiré ce masque de gosse de riche imbuvable.

— Va plus vite.

Il alla donc plus vite, son pouce frottait mon clitoris. J'en deviens avide, j'avais besoin de plus, et en même temps, tout allait trop fort. Mon coeur allait exploser. Je griffai son dos musculeux. Je m'y accrochai, jusqu'à pouvoir sentir ses os tressaillirent.

— Je vais jouir Izzy.

— Non pas tout de suite.

Je me retirai et le plaquai contre le lit. Je vis sa frustration, bientôt masqué par la curiosité. Qu'est ce que cette petite femme veut me faire, se disait il.

J'attrapai ses mains, rougies, grandes, imposantes et les plaquai au dessus de sa tête. Avec ma petite culotte, je les attachai au lit.

— Izzy ?

— T'inquiètes pas, ça va aller. Dis par hasard, tu n'aurais pas...

— Heu... Première tiroir gauche sous le lit, j'imagine.

J'ouvris le tiroir et y trouvait effectivement mon bonheur.

— C'est la caverne d'Ali Baba dis moi ! Coquin !

Il rougit, et cacha un petit sourire. Je pris donc la cravache et caressai son torse avec. Il trembla, retint ses gémissements mais je ne voulais pas qu'il les retienne. Je le frappai une fois avec la cravache.

— Ne les retiens pas. Gémis ! Je veux que tu te lâches Bruce. Pour au moins une fois dans ta vie. Repose toi sur moi.

Je le caressai encore un fois avec la cravache, m'attardant sur ses tétons roses et dressés. Et je fus ravis d'entendre enfin du bruit. Un petit "hm..." Tout petit mais existant. Il soufflait aussi beaucoup que je caressai ses cuisses et ses cou. J'y accolai un suçon, avec tout l'amour que j'ai pour lui.

Et enfin il hurla. Son corps valsa presque, ses orteils accrochèrent les draps jusqu'à les détaché. Il souffla enfin, comme s'il avait enlevé le poids qui l'obstruait.

— Izzy, pénètre moi.

C'était presque un ordre, et j'avoue, ça m'a fait frémir jusqu'à mes orteils. Je le palpai d'abord. Dès que je rentrais les deuxième doigts, il fourra sa tête contre mon cou et ne cessa de me lécher. Je rentrai enfin un troisième doigt, et je l'entendis vibrer.

— Tu aimes ?

— J'en sais rien.

On dirait un gosse. Je pris le gode, l'engluai de lubrifiant et d'un préservatif puis le pénétrai.

— Attends, c'est pas une bonne idée.

— Bruce, détends toi. Je ne te ferai pas mal, ok ?

Je l'embrassai. Il déglutit alors que je m'enfonçais.

— Tu vois ? Tout est rentré. Je ne bouge pas tant que tu ne me dis pas de le faire.

Il hocha la tête. Il est trop mignon. Il suffoquait presque, m'embrassait partout où il pouvait. Ca faisait du bien de diriger pour une fois. J'étais celle à qui il s'accrochait, celle qui prenait les commandes. Celle qui le faisait jouir, celle qui le faisait gémir.

— Vas y Izzy.

Je bougeai tout doucement. Puis accelerai. Il gémissait. Pour de vrai, du plus profond de sa gorge, il gémissait. Il aimait ce que je lui faisais, et ça m'excitait.

Je serrai ses mains et il s'accrochait à moi comme s'il allait chavirer à tout moment. J'étais vitale pour lui.

— Je vais jouir !

— Jouis pour moi Bruce.

— J'avais un peu peur, tu sais ?

— Je sais. Et maintenant comment tu te sens ?

— Bien. Libre.

J'accelerai. Il ne fallut que quelques secondes pour que son sperme explose sur son ventre. Il m'allongea sur le lit et me lécha, jusqu'à que ce soit mon tour. J'enfouis sa tête, arrachai ses cheveux, et tremblai. J'enlevai les draps, je me plongeai dans un bain chaud de plaisir.

Mes pieds caressaient ses épaules, s'allongeai jusqu'à ses fesses bombées, les frappai un peu, avant de s'accrocher au drap. J'ai aimé cette sensation de ne plus être sur terre, de ne plus avoir de problèmes, de ne plus avoir de soucis, être comme des animaux, recherchant avant tout le plaisir. J'ai jouis.

J'ai aimé jusqu'à ce que ce soit fini.












Dark Embrace - A Bruce Wayne fanfictionWhere stories live. Discover now