Épilogue

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Moi : Arrête de me toucher

???: RHO TA GUEULE ET SUBI

Moi: Pourquoi vous faites ça je vous ai fait quoi

???: PUNTAIN TAIS TOI ET LAISSE NOUS CONTINUER NOTRE PLAISIR

ils me degoutaient ils me touchaient sans pression

Moi : Non, je ne vais pas me taire. C'est inacceptable, vous n'avez pas le droit de faire ça. Lâchez-moi immédiatement !

???: OH, ON A UNE GRANDE GUEULE, HEIN ?

Moi : C'est mon droit de défendre mon intégrité. Qu'est-ce que vous croyez accomplir en agissant de la sorte ?

???: T'EN FAIS PAS, C'EST JUSTE UN PEU DE PLAISIR ENTRE AMIS. TU VAS ADORER, C'EST POUR TON BIEN.

Moi : Je n'autorise personne à me toucher de cette manière.

???: T'ES MIGNONNE, MAIS TU SAIS QU'ON EST PLUS FORTS QUE TOI. TU FERAIS MIEUX DE TE LA FERMER ET DE TE LAISSER FAIRE.

Moi : La force ne justifie pas le non-consentement. C'est un crime, et vous en paierez les conséquences.


Moi : (pensant) Reste calme, respire profondément. Tu dois trouver un moyen de sortir de cette situation.

La peur me paralyse, mais je concentre mes pensées sur les options qui s'offrent à moi. Mes mains tremblent, mais je m'efforce de prendre le contrôle de mes émotions. Je réalise qu'il est essentiel de trouver de l'aide au plus vite.

Moi : (d'une voix tremblante) Écoutez, je ne veux pas de problème. Laissez-moi partir, s'il vous plaît. Je ne dirai rien à personne, je veux juste rentrer chez moi.

???: TROP TARD POUR ÇA. TU VAS RESTER SAGE ET PROFITER DU MOMENT.

La situation semble de plus en plus désespérée, mais je garde espoir. Soudain, j'entends des pas approcher, ce qui me redonne un peu d'espoir. Peut-être quelqu'un a entendu la scène et vient à mon secours.

???: CHUT, ON A DE LA VISITE. RESTE CALME ET PAS UN MOT.

Les pas se rapprochent, et j'espère que la personne qui arrive va m'aider à sortir de cette situation terrifiante.

La porte s'ouvre brusquement, laissant entrer un éclat de lumière qui éblouit momentanément tous les présents. Un homme apparaît dans l'encadrement de la porte, le regard froid et indifférent.

Homme : Qu'est-ce qui se passe ici ?

???: On s'amuse, rien de sérieux.

Moi : (pleurant) S'il vous plaît, aidez-moi, ils me font du mal.

L'homme jette un coup d'œil désintéressé à la scène et hausse un sourcil.

Homme : Ça n'a pas l'air de me concerner. Faites ce que vous voulez, tant que ça ne me dérange pas.

La surprise et la déception m'envahissent alors que l'espoir d'une intervention salvatrice s'évapore.

???: On ne voulait que s'amuser un peu, c'est tout.

Homme : (indifférent) Amusez-vous alors, mais faites-le vite. J'ai mieux à faire.

Il referme la porte derrière lui, me laissant seule avec mes agresseurs. La situation devient encore plus angoissante, et je ressens le besoin urgent de trouver un moyen de m'échapper de cette situation désespérée.

je me suis levée en sursaut ce cauchemar arriver en boucle depuis mon agression sexuel qui date d'il y a 4 ans environ

La chambre était plongée dans l'obscurité, et la froideur du sol contre mes pieds nus m'a rappelé que tout cela n'était qu'un cauchemar. Mes mains tremblaient alors que je tentais de reprendre mes esprits. La peur et l'anxiété engendrées par le rêve semblaient s'accrocher à moi, réactivant des souvenirs douloureux.

Je me suis dirigée vers la salle de bain, essayant de chasser les images du cauchemar qui persistaient dans ma tête. En allumant la lumière, mon reflet dans le miroir m'a rappelé que j'étais en sécurité, dans ma propre réalité. La respiration profonde et régulière que j'ai adoptée m'a aidé à reprendre le contrôle de mes émotions.

Assise au bord du lit, j'ai repensé à cet horrible moment il y a quatre ans. Les séquelles de cette agression continuaient de hanter mes nuits, même si j'avais fait des progrès considérables pour surmonter cette expérience traumatisante. Ce rêve récurrent semblait être un rappel brutal de cette période sombre de ma vie.

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Merci d'avoir lu n'oubliez pas de votez et de commentait tout ceci est réel bon continuation dans la lecture

Neyla - ENA W YEKWhere stories live. Discover now