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Second Reich/Germany (top) x Autriche-Hongrie (bottom)

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P.d.v : Autriche-Hongrie

Il y a longtemps que je suis tombé amoureux d'un homme... Un homme beau, fort mais froid et distant. Il s'appelle Germany, c'est comme ça que ces proches l'appelle.
Aujourd'hui, j'ai décidé qu'il était temps de lui avouer mes sentiments. Je ne sais pas comment mais je vais le faire ! Normalement on se retrouve ce midi et je pense que c'est le parfaite moment pour lui dire !
Je finis de me préparer et met mes lunettes pour sortir. Il fait plus tôt beau et chaud donc je suis habillé léger. Je me dirige vers notre lieu de rendez-vous content mais tout aussi stressé !
Arrivé, je l'aperçoit de loin. Je lui fit un grand signe de mains et il me répond d'un petit. J'ai cours vers lui avec une boule au ventre.

A.H : Bonjour Ger !*commence-ai-je avec excitations*

Germany : Salut Adonis, tu as l'air en forme aujourd'hui.*me sourit-il*

A.H : Oui ! Je suis surexcité car j'ai quelque chose de ultra important à...

Germany : À dire ? Tu ne finis pas ta phrase ? Qu'est-ce qu'il y a ?

A.H : Euh... Rien ! Oublie ! Je n'ai rien dit ! Je hum...*hésite-ai-je à lui dire*

Germany : Tu veux que je te prenne un truc à boir ?

A.H : Non, ne t'inquiètes pas ! Je... J'ai besoin de me vider la tête...*dis-je timidement*

Germany : Bien, si tu as quelques choses n'hésite pas à me le dire.*me répond t-il un peu inquiet*

A.H : Ça va ! Allons nous promener !

Germany : Allons-y.

On commença notre balade, je suis gêné. Devrais-je vraiment lui dire ? Maintenant ? Aujourd'hui ? Je n'en sais rien...
Nous continuons puis nous allons nous prendre une glasse, enfin, Germany va prendre pour moi ! On venait tout juste de rependre la marche quand, malheureusement, je me fit bousculé et ma glasse tomba à terre. Germany, me voyant triste d'un genre, me donna la sienne et je rougi énormément à cette acte. Je suis heureux et je souris idiotement. C'est à chaque fois comme ça.
Plus tard. Je me rendi compte qu'il faudra tôt ou tard que je lui avoue mes sentiments. Je m'arrête sur le chemin et commence à avoir peur mais je prend une grande respiration et commence mon discours avec beaucoup d'hésitation.

A.H : Hum Germany... Ça fait très longtemps qu'on se connaît et... Je dois t'avouer quelques choses de très, très important...*Dis-je timidement*

Germany : Que ce passe t-il ? Il y a quelques qui te tracasse ?*S'inquiète t-il*

A.H : On peut dire ça mais... C'est quelque chose qui me tien à cœur... Hum... J'aimerais... J'aimerais qu'on soit plus que ce qu'on est...

Germany : Tu veux dire quoi par là... Tu veux...*dit-il douteux*

A.H : Je veux être ton... Ton petit copain...

Germany ne disais plus un mot. Mon cœur battait de plus en plus vite ! J'avais l'impression qu'il ne ressentais pas la même chose pour moi... Je me mis à trembler.

Germany : Adonis, je... Je ne suis pas sûr... Hum-

A.H : C- ce n'est rien il faut que j'y aille !*Dis-je rapidement en m'en fuyant*

J'ai cru l'entendre, en partant vite, me dire d'attendre ou de ne pas partir mais je couré déjà et je ne pris pas la paine de me retourner ou de m'arrêter.
Ça faisait un moment déjà que je courait... Le soleil ce couché, je n'avais pas vu le temps passer. Mes larmes étaient froide comme la nuit qui s'installer petit à petit. J'étais triste, ce n'était pas le bon moment... J'ai peut-être tout gâché avec cette demande... Je me mis à marcher en aillant froid, mes vêtements légers ne m'aider absolument pas avec ce temps de canard. Le vent ce lève et les lampadaire s'allume un par un éclairant ainsi mon chemin. Je m'arrête un instant car j'en pouvais plus et que le froid m'empêcher d'avancer plus. Je m'accroupi sur moi-même et reste ainsi, sur le sol, un long instant. Je senti ensuite une mains ce poser sur mon dos.

Hongrie : Papa ? Ça ne va pas ? Qu'est-ce que tu fais dehors à une heure pareille ?*s'étonne t-il*

Il était entrain de fumer, j'imagine qu'il était avec son frère et qu'il l'avait mit dehors. Autriche n'aime les cigarette après tout...

A.H : Oh... Mon chéri... Je suis fatiguée c'est tout et je me suis un peu perdu en chemin... Et toi ?

Hongrie : Je me promène, tu sais qu'Autriche n'aime pas quand je fume à côté de lui.

A.H : Je vois... Je pense que je vais rentrer... Tu ne devrais pas rester seule, c'est dangereux la nuit.*Dis-je pour ne pas avoir plus de questions sur ce que je fais là*

Hongrie : Ne t'inquiète pas, papa, je serais me défendre. Enfin, je te libère.

A.H : À une prochain fois.*Chuchot-ai-je presque*

Hongrie : Ok, à plus.

Je repris ma marche sans vouloir retourner chez moi. En avançant dans la rue froide, j'entendis de la musique de plus en plus fort. En me rapprochant je compris que c'était un bar. Je ne réfléchis pas sincèrement et j'y rentre pour boire 2, 3 vers pas plus mais... Il n'ai jamais bon de faire ce genre de choses...
Je fini vite bourré ce qui fait que pas mal de personnes m'approche pour de mauvaises raison. Un homme de taille moyen me prit et je n'arrivais pas à m'enfuir ou juste à riposter. Il m'en mène je ne sais où mais je ne pouvais rien faire. Rien n'était claire dans ma tête, je commencé à voire noir, Je me perder dans mes pensé les plus sombre envahi par la peur qu'il me tue ou me torture qui sais, même me violé serait possible.
Je me sens tombé et percuté le sol, des bruits de coup et des cri de douleur me parvienne à l'oreille puis plus rien. Je dois mettre évanouie.
Je me réveil petit à petit mais pas dans une ruel froide et lugubre, non. Je me réveille dans une grande chambre avec une fenêtre ouverte menant à un balcon, vue du levé de soleil sur mer. Les rideaux volé grace au vent, je croyais rêver.
Je me lève et constate que je suis coucher sur un magnifique lit blanc à 2 place mais j'étais seul. J'essaye de me remémore la veille sans succès. Que faire ? J'ai l'impression de connaître cette chambre. D'où ? Je ne sais plus trop. Je regarde par cette fenêtre menant à ce balcon quand j'entendis une porte s'ouvrir et je vis le petit frère de Germany rentré dans la pièce.

D Reich : Oh, salut A.H.*me sourit-il*

A.H : Dritter ? Où je suis ? Qu'est-ce que tu fais là ?

D Reich : Eh bien... Tu es chez mon frère, enfin, cette maison et à lui et à moi aussi... Bref, il t'a ramené hier soir, il ma dit de te donné ça.

Il me donne une feuille plier en 1 fois. Je l'ouvre et lis ce qu'il y est écris.

Adonis, lorsque tu m'as avouer t'es sentiments je fut surpris.
Tu as mal pris ma réponse et j'en suis désolé. J'aurais dis oui si je ne me connaissais pas assez. Par là, je veux dire que je n'aurais probablement pas su prendre soin de toi comme tu aurais peut-être aimé que je le fasse. Je dois t'avouer que faire le teste ou l'expérience me fait peur.
Pour finir, pour pas que cette "lettre" ne soit pas trop longue.
Je t'aime aussi.

Je rougi au dernier mot qui était écrit. Dritter regarder la vu du balcon attendant que je finisse.

A.H : Dritter ?

D Reich : Oui ?

A.H : Où est ton frère ?

D Reich : Hum...*réfléchit il* Je crois qu'il est allé ce promener dehors.

A.H : Précisément !

D Reich : Dans le parc à côté. Tu veux le retrouver ?

A.H : Évidemment !*dis-je pressé*

Je me prépare à me lever quand Dritter m'interrompa.

D Reich : Tu ne devrais pas te lever...

A.H : Pourquoi ?!

D Reich : Tu es tombé sur la tête, si tu te lève trop vite, tu auras un mal.*me dit-il calmement*

A.H : Il faut que je vois ton frère maintenant !

D Reich :*Soupir* Lève toi en douceur et fait gaffe à pas perdre t'es bandage.

Je ne voyais pas de qu'elle bandage il parlait mais je m'en fichais en soi. Je me lève en douceur comme il me la dit et part dehors.
J'étais dans le parc et chercher Germany d'un coup d'œil, je le vis de loin et je me précipite vers lui ! Je l'attrape par le colle et l'embrasse. Il faisa duré le baiser plus longtemps ce que j'apprécie énormément.
Au final, il me ramena chez lui seul à seul et on eu une nuit à nous. <3

Fin.

One-shot CountryhumansWhere stories live. Discover now