1. Le Réveil

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LE RÉVEIL
** 19h54

**LOS ANGELES
**

HEY !

Avant de commencé je voudrais vous dire que il aura des passages en espagnol et italien ! C'est de Google traduction

           

Je me réveille dans un brouillard total, la lumière qui filtre à travers les rideaux me brûle les yeux.

Putain, j'ai la tête qui tourne comme si j'avais bu toute la réserve d'alcool de la ville.

J'essaie de me redresser, mais mes membres sont lourds, comme si j'avais fait une nuit de défonce.

Je sens un goût bizarre dans ma bouche,du métal mélangé avec du plastique brûlé.

Je me rappelle alors les derniers instants avant le black-out : Le gars. La lutte. La piqûre. Et puis, plus rien.

Je suis en train de paniquer. Est-ce qu'il m'a fait quelque chose ?

Où est-ce que je suis ? Est-ce que je suis en danger ?

Je tente de me lever, mais mes jambes refusent de me soutenir.

La pièce tourne autour de moi. Je ferme les yeux, essayant de reprendre mes esprits.

Après un moment qui me semble interminable, j'arrive enfin à m'asseoir sur le bord du lit.

Mes mains tremblent comme des feuilles alors que je me frotte le visage pour essayer de me réveiller.

Il faut que je me ressaisisse, que je trouve un moyen de sortir de cette galère.

Je fais de mon mieux pour me lève, mais mes jambes flanchent et je finis par m'effondrer au sol.

Bon sang, je suis complètement sonnée. À genoux, je tente de reprendre mon souffle et de calmer les battements affolés de mon cœur.

C'est alors que je remarque mes vêtements. Ou plutôt, les vêtements que je porte.

Et ce ne sont pas les miennes.

Je porte un caleçon Calvin Klein, bien trop grand pour moi, et un t-shirt qui sent le parfum d'homme.

Qu'est-ce que c'est que ce délire ?

Je cligne des yeux, espérant que ce ne soit qu'un mauvais rêve.

Mais non, c'est bien la réalité.

Je suis dans une pièce inconnue, complètement défoncée, et je me retrouve à porter des vêtements qui ne sont pas les miennes.

Avec un effort, je parviens enfin à me relever et à tenir sur mes pieds chancelants.

J'utilise le lit comme support, me forçant à rester stable malgré le vertige persistant.

Puis, je m'approche de la porte avec précaution, la tête toujours en ébullition.

Je saisis la poignée et l'abaisse lentement.

La porte s'ouvre dans un grincement léger, révélant un corridor sombre et luxueux.

**Corridor: Passage couvert mettant en communication plusieurs pièces d'un même étage.

Mes yeux s'élargissent alors que je contemple les murs tapissés de riches toiles, les lustres scintillants et les meubles élégants.

Je cligne des yeux plusieurs fois, incrédule devant le contraste saisissant entre la pièce où j'étais et cet intérieur somptueux.

CURSED LOVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant