Cahapitre 4 : Atlas.

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Après la réponse d'Atlas, qui nous a bien soulager, le Rodriguez n'as pas été tuer par un de nos hommes proches cependant il reste le problème de la balle.

Depuis on a passer toute la nuit à feuilleter les dossiers que j'ai en ma possession sur cette famille, je décide de me levé de mon siège pour me dégourdir les jambes et j'aperçois à travers ce mur fait de verre auquel j'étais de dos il y a quelques secondes que le ciel commence à changer de couleur, laissant place à l'éventail de couleur qui signifie que le jour ce lève.

J'attrape mon téléphone posé sur mon bureau qui est couvert de dossier sur dossier, je regarde l'heure cinq heure dix huit, je pense qu'il est temps d'aller réveiller Ales' son vol est décaler à sept heures il nous reste deux heures devant nous.  Mais mon père m'appelle je ne sais pas pourquoi, je lui réponds et nous échangeons quelques informations et au é de tout ça des banalité

Une vingtaine de minute après le coup de fil de mon père, je suis allé dans sa chambre, Ales'  était endormi comme un enfant. Son sac qu'il avait qu'il avait préparé de base pour rester, est poser sur le fauteuil placé à l'extrémité de son lit au moins il a pas à ce prendre la tête avec des valises ou autre. La facilité qu'il a toujours eu pour dormir me fascine.

Je commence à le secouer doucement, et j'entends un grognement, signe qu'il commence à se réveiller sous mon mouvement.

- Ales' il est l'heure de se réveiller, tu t'envol dans moins de deux heures. Je lui chuchote ces mots pour ne pas l'agresser dès son réveil.

Tout en s'tirant il me marmonne quelques mots.

- Je ne veux pas partir, et en plus tu sais bien que tu es leur cible....pas moi.

Ses yeux plissés se posent sur moi quand il décolle son dos du matelas pour relever son buste. Je ne lui réponds rien tout en le regardant sortir de son lit, et se dirigé vers sa salle de bain. Je sors de sa chambre en même, tout ce passe en silence, un silence qui vaut plus que des mots.

Il n'a pas tord tout le monde le sait , même moi mais comme je l'ai expliqué, Ales' à un risque de mourir plus élevé que moi étant donner qu'il est l'héritier. Mais bien sûr, il a fallu que je sois la seule fille à naître dans cette famille qui est connue pour ne donner naissance qu'à des garçons, surtout que la génération de mon père n'a vu naître aucune fille. Puis il ne faut pas oublier la cerise sur le gâteau qui est que je soit l'enfant ainé de monsieur intouchable des Mancini.

Mes lèvres laissent s'échapper un souffle remplis d'exaspération  pendant que je fais brouiller des œufs pour pouvoir servir un petit déjeuner aux garçons ainsi qu'à moi, nous avons besoin de force car je sens que je n'allais pas dormir de si tôt.

Je les appelle pour venir à table, tout le monde est dans un état pitoyable sauf mon petit frère qui a les cheveux mouillés qui me font comprendre qu'il venait de prendre une bonne douche. Le silence règne dans la maison , dans la salle à manger, quand je vois que tout le monde à terminer de manger je demande à Léo de poser Ales' à l'aéroport car il est connu pour transformer les trajets d'une heure en cinq minutes tellement il roule vite, mais en sécurité.

Avec Aiden on salue Ales' puis après avoir fermer la porte, je me dirige vers la salle à manger pour ranger la table et Aiden me suit pour m'aider.

- Tu n'as rien dit à Ales' ? Me demande Aiden doucement.

- Non, il n'as pas à savoir étant donné qu'il va être loin d'ici puis il ne va rien garder pour lui et faire faire une syncope à ma mère vu que c'est sa confidente, répondis-je.

Je l'entends émettre un petit rire, mais qui se fait aspirer par ls murs de cette grande, vide, maison.

- Fin bref grâce à ta réflexion sur le corps, on peut déjà virer les membres principaux de la famille car on est les seuls à faire ça et savoir ça, reprend mon cousin tout en posant les plats qu'il avait dans les mains.

AtlasWhere stories live. Discover now