OS Leonetta : Entre jeunesse et maturité, partie 2 !

40 2 0
                                    

Point de vue Vilu :

León vient de me dire qu'il veut m'emmener chez lui.

V: Ce n'est pas une bonne idée.

L: De quoi as-tu peur hein ? Tu peux me le dire?

V: C'est trop tôt !

L: De quoi tu parles ? Qu'est-ce qui serait trop tôt ?

V: Pour venir chez toi.

L: Pourquoi tu dis ça ?

V: Ça serait brûler les étapes.

L: Je n'ai pas brûlé d'étape, je t'ai juste proposé de venir chez moi et tu pourras rentrer chez toi tranquillement sans encombres demain.

V: Sauf si je viens chez toi, je vais avoir envie de dormir avec toi, et là ça sera brûlé une étape.

L: À ce moment-là, je prendrai le canapé et tu pourras t'installer dans l'une des chambres d'amis, afin de pouvoir bien te reposer.

V: D'accord !

L: On y va ?

V: Oui !

León donne sa veste à Vilu afin qu'elle n'attrape pas froid et ils prennent la direction de la maison de León.

Quelques minutes plus tard, ils arrivent chez León.

Vilu le suit.

L: «lui montre la chambre d'amis qu'elle occupera pour la nuit»

V: Par contre tu n'aurais pas quelque chose à manger ?

L: Si bien sûr ! Qu'est-ce que tu aimerais manger ?

V: Peu importe !

L: «va lui faire à manger»

Vilu est dans le salon.

L: «revient avec le repas de prêt»

Pendant qu'il préparait à manger, Vilu a trouvé un album d'eux à l'intérieur de la table basse.

L: Qu'est-ce qu'il y a, pourquoi tu fais cette tête ?

Vilu a toujours dans les mains l'album d'eux.

L: «lui pose son plateau près d'elle»

V: <rien ne change>

L: Hey Vilu ça va ?

V: <a les larmes aux yeux>

L: «va la prendre dans ses bras pour la rassurer et la calmer»

Vilu a toujours les larmes aux yeux.

L: «lui sèche ses larmes et resserre son étreinte»

V: Il y a toutes nos photos.

L: Oui c'est vrai, cela tu gênes ?

V: C'est juste qu'on était tellement heureux, avant que tu me laisses.

L: On pourrait le redevenir si tu en as toujours envie ?

Vilu lui rappelle ce qu'elle lui a dit.

L: Je sais, mais je n'aime pas te voir dans cet état.

V: Ça m'a complètement détruite.

L: Dans ce cas on est deux !

V: Ce n'est pas comparable, à Madrid je me sentais tellement seule sans toi.

L: Et moi donc !

V: T'avais ta famille.

L: Si on peut appeler cela une famille !

Os Leonetta 💞Where stories live. Discover now