OS - [Skz fanfic]

OS - Hyunjin x ? [Partie 1 - Plus fluffy qu'une barbe à papa] I'M WITH YOU

Un petit OS totalement romantique qui dégouline de sucre !!! En deux parties. 

Pas de révélation sur ship, parce que c'est le but de l'histoire de chercher un peu héhé

Sur un fond de musiques d'Avril Lavigne ! OMG c'est tellement niais à mourir mais c'est ma génération que voulez vous ! 

C'était une inspiration trop fulgurante pour ne pas la mettre en page. Au point qu'elle m'a coupé dans mes chapitres du Geai Bleu alors il fallait que je l'écrive. J'espère que ça vous plaira ! 

(Si je devais faire du hard, je prendrai le POV de Felix dans cette histoire, il est tellement sassy...)

Aller ! ENJOY !

C'était amusant, quoi qu'un peu cliché. Non en fait, c'était carrément ringard mais totalement surprenant.

Il regardait la petite enveloppe sous toutes ses coutures. Le grain du papier était plus épais qu'une simple enveloppe qu'on achetait en bloc pour le courrier ordinaire. La couleur n'était pas vraiment blanche, plutôt nacrée, un blanc cassé qui tranchait avec l'encre noir qui avait servi à écrire la première lettre de son prénom. Un grand « H », comme on l'écrivait du temps où écrire des lettres était encore le seul moyen de communication.

L'odeur qui s'en dégageait avait cette fragrance si particulière du papier neuf, celle qu'il aimait respirer quand il achetait un nouveau carnet de dessin, qu'il balayait les feuilles, juste pour sentir ce parfum délicat totalement lui couvrir les sens. C'était une odeur qui le faisait sourire et qui lui donnait envie d'ouvrir la lettre, le coin des lèvres légèrement étiré bien qu'il ne le fît pas et ça commençait à faire trépigner son ami, appuyé sur le casier voisin.

« Qu'est-ce que t'attends ? Lui demanda le blondinet. Ouvre la ! »

Il était presque plus excité que le grand brun dont les cheveux mi-longs étaient attachés grossièrement par un crayon de papier. Il avait encore de la peinture sur les mains, il venait tout juste de sortir de son club et il était venu récupérer ses livres pour travailler chez lui mais en ouvrant son casier il avait trouvé l'enveloppe. Bien posée sur les bouquins, comme si elle avait été mise exprès en évidence, en équilibre ce qui était proprement impressionnant.

Même la forme était un cliché.

Il pouffa intérieurement, détachant délicatement le papier à peine collé et en sorti la feuille, d'un grain tout aussi satisfaisant au touché, atypique. Proprement pliée en trois, il en découvrait l'écriture élégante, d'un autre temps, sans une tâche, et se retourna pour s'appuyer sur les portes de métal. Un peu plus confortable. Felix tirait sur son bras pour pouvoir lire avec lui, impatient et plus excité qu'une puce.