𝐑𝐄𝐂𝐔𝐄𝐈𝐋 𝐃𝐄 𝐓𝐄𝐗𝐓𝐄𝐒, 𝐇𝐀𝐑𝐑𝐘 𝐏𝐎𝐓𝐓𝐄𝐑 [tout ship confondu]
Un prompt, ou scénario en français, consiste en un thème (mot, situation, image, son) sur lequel on va venir construire une histoire, plus ou moins longue.
Ceci est un re...
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drarry, famille, romance — 1718 mots
IL FAIT NUIT DEPUIS UN MOMENT DÉJÀ, et l'été s'est bien installé sur Londres. Dans l'appartement, il fait chaud, vraiment chaud. Les fenêtres sont pourtant ouvertes, malgré le bruit de la ville, c'est toujours préférable à mourir à cause des températures excessives.
Harry dort, c'est l'avantage d'avoir un excellent sommeil et de bien supporter la chaleur. Il n'a jamais eu de problème avec ça, il peut faire trente degrés dans sa chambre, il parviendra à s'endormir malgré tout. Une capacité que beaucoup jalouse, à commencer par ses proches.
Mais voilà que les cris résonnent dans l'appartement, et que le babyphone retentit dans tout l'habitacle, Harry n'a d'autres choix que de se lever, même si cela signifie que son rêve –absolument incroyable au passage– doit prendre fin.
Il sort de son lit, et se dirige d'un pas un peu maladroit dans la chambre d'à côté, où pleure le petit Scorpius. Il le prend dans ses bras, et s'installe dans le fauteuil à bascule de la chambre du jeune enfant.
"Tu es tellement petit, tellement... Adorable.L'enfant calme ses pleurs et Harry en profite pour lui donner sa tétine.C'est tellement incroyable, d'avoir exactement sa tête, mais d'être aussi adorable. Remercie ta maman, petit gars, tu as évité les gènes de ta castafiore de père.L'enfant l'observe de ses grands yeux ouverts qui, petit à petit, à mesure que Harry le berce, se referme, jusqu'à ce que le petit être ne se rendorme, éreinté. Le brun va pouvoir finir sa nuit."
Lorsqu'il se réveille pour la deuxième fois, il fait jour, mais toujours aussi chaud. Il est encore très tôt, mais Harry est un matinal, une habitude qu'il a prise à force de travailler au Ministère où les heures ne se comptent pas, où l'on peut terminer aussi bien à dix-sept heures qu'à sept heures du matin. Aussi, le brun vit un peu en décalé.
En sortant de sa chambre, il enfile un tee-shirt, et se dirige vers la cuisine pour se préparer du café. L'appartement regorge d'objets moldus en tout genre, pour son plus grand bonheur, probablement seulement le sien, ceci dit.
En observant le précieux liquide s'écouler, il commence à siffler en ouvrant le frigo, cherchant de quoi se sustenter tandis que son estomac crie famine.
"Ta Gueule.Le brun manque de se cogner la tête en ressortant sa tête du frigo, et se retourne, remarquant une masse informe, à moitié avachie dans le canapé. Il ricane.
