𝐛𝐞𝐚𝐮𝐭𝐢𝐟𝐮𝐥𝐥𝐲 𝐰𝐢𝐜𝐤𝐞𝐝

CHAPITRE XXXI - L'Italie

Hello mes stars ✰

J'espère que vous allez bien ??

On a atteint les 2k de vue !! 🤍🫂

Je vous remercierai jamais assez pour tout ça enfaite ! Je ne m'attendais pas à autant d'engouement pour cette première histoire 🥹

Je reviens en tout cas en force en vous promettant un nouveau chapitre demain aussi ✊️

Bonne lecture mes stars et profitez bien de notre homme ✨️

ﾒのﾒの star'★

꧁꧂

Callum

- Je n'arrive pas à comprendre. Lâchais-je en passant une main dans mes cheveux alors que je l'observais ressembler toute ses affaires dans ses multiples valises. Pourquoi est-ce que tu pars ?

Je me ronge presque les ongles tandis que je la regarde pousser un soupir en m'attrapant les mains avant de me faire asseoir sur son lit de chambre.

Zade et Eylen sont de sortie aujourd'hui.

- Écoute Callum, j'ai une vie en Italie. Mon cartel compte pour moi, autant que toi.

Je n'arrive pas à savoir si je dois être toucher par ses paroles de manière blessante ou mignonne.

- Je ne veux pas te faire du malllll. S'exclame-t-elle. Mais, le cartel des Deimos est la seule chose qui me relie encore un tant soit peu à mon passé Callum. J'ai tout perdu. Mes parents, mon premier amour.

Je la regarde d'un air grave au mon premier amour et elle pouffe de rire avant de reprendre :

- Je ne me plaint pas de l'avoir perdu, au contraire, j'ai trouver mieux.

Un sourire de gosse grandit alors sur mon visage, et je m'allonge la tête sur ses cuisses pendant qu'elle passe la main dans mes cheveux.

- Mais il faut que je rentre. Je ne me souviens de rien sur mes parents. J'ai dû grandir sans leur amour et ça été vraiment dur pour moi Callum, mais malgré tout, je sais qu'une part d'eux était dans ce cartel et je veux conserver ça, au moins ça. 

Je hoche la tête positivement en poussant un soupir à mon tour. Je passe ma langue sur mes lèvres avant de lui répondre :

- Je comprends princesse... J'ai compris. Mais je ne partirai pas de l'Italie tant que tu y seras. 

- Quoi mais tu as ton propre cartel à diriger ! S'écrit-elle. Tu ne peux pas faire ça ! 

- Lolita. Je t'en pris, souviens toi de ce que je ne cesse de te répéter parce que j'ai l'impression que tu penses que se sont des paroles que je dis à la légère à chaque fois. 

Je me relève de ses cuisses, en concentrant entièrement mon regard sur elle et elle plonge à son tour les siens dans les miens. 

- Répète le moi princesse. Qu'est-ce que je ne cesse de dire ?