Partie 9

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Selem Aleykoum mes frères et soeurs.

Partie 9 :

Je me lève direct.

Moi : Oui mama?

Elle : Qu'est qui t'a pris d'aller raconté nos problèmes a d'autre personne ?

Moi : Mais mama j'avais besoin d'en parler a quelqu'un.

Elle : Tu pouvais venir me parler ? Je suis tout de même ta mère.

Je baisse la tête en disant :

Moi : Oui je sais mama. J'avais juste besoin de me confié a quelqu'un qui puisse me comprendre et qui me regarde pas avec de la pitié.

Elle : Sois pas triste mon bébé, ne t'inquiète pas je te comprend. Je veux juste que t'evite dans parler a tout le monde !

Moi : De toute façon j'en ai parler que a elle.

Elle : Wallay ma fille j'ai honte.

Moi : Mais maman qu'est-ce que tu raconte ? Pour quoi ta honte ?

Elle : Ma fille souffre et je ne peux rien faire. WAllah ça me tue.

Moi : Ne te rends pas malade pour ça c'est pas a cause de toi que je souffre mais à cause de lui. De toute façon je prends l'habitude..

Elle me prend dans ses bras et me serre fort.

Elle : Sois forte !

Moi : J'essaye.

Elle : Tu sais d'un côté, je suis contente que 't'en ai parler avec Malika.

Moi : Ah bon ? Pour quoi ?

Elle : Cette femme, je l'a sens s'insère. Je l'aime bien j'espère que je me trompe pas sur elle.

Moi : Tu l'as connaitra petit à petit. Tu verra, tu ne te trompe pas du tout sur elle !

Elle : On verra bien. Bon lève toi, tu vas allé prier.

Je me suis levé, elle m'a aidée a faire mes ablutions et elle m'a montré comment faire la prière sur une chaise comme je peux pas le faire sur un tapis de prière. Pour me baisser ça aller être galère.

Après avoir faire la prière je m'endors.

Bon je vais passé 1 mois il sait rien passer d'intéressant, pendant c'est 1 mois je sortais plus de cher moi a par pour acheter du pain ou des petits trucs. Sinon je resté cher moi, j'avais envie de voir personne. Les meufs elles me demandée tout temps de sortir mais j'inventer des mitos a chaque fois. En plus j'avais toujours pas reparler à Marwan. Plus les jours passé plus il me manqué. J'ai l'habitude de lui parler ou de sortir avec lui mais là non c'était no calculage. Quand on se voyais dans la rue, on se calculé même pas. On été comme des inconnus, wAllah cette situation elle me tuée grave. J'aime pas du tout quand on ai en froid. Mais bon c'est moi qui a fait ce choix faut que j'assume..
Du côté de mon père, il me rabaisse, me dit des mots blessant, me frapper toujours autant je fermais toujours ma gueule. Je subissais sans rien dire. Des qu'il est dans la maison je partais m'enfermer dans ma chambre. Plus je suis loin de lui mieux je me porte.
Avec Mister on se parler tout les jours, c'était devenu on va dire "Mon confident".
Moussa lui ma mère elle m'a dit il sait barré au bled pour des vacances. Il m'a meme pas venu me dire, j'avoue ça m'a un peu blesser quand même.
A oui j'ai oublié de préciser que j'ai enlevé mon plâtre mais j'avais quand même un atle.

On était en période de Ramadan, comme je vous êtes dis. Je sortais plus de cher moi.

Un jour vers l'après midi, j'étais dans ma chambre. Je sais plus exactement se que je faisais. Bref y'a quelqu'un qui sonne a la porte. Je me sens lever pour ouvrir la porte comme il y avais personne cher moi. Ma mère et mes petites soeurs été partit cher la mère a Moussa et mon père été au travail.

Chronique d'Hawa : Il a détruit ma vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant